background preloader

Conducteurs professionnels

Facebook Twitter

Les déplacements professionnels sur autoroute - Association Prévention Routière. L’ASFA et l’association Prévention Routière révèlent les résultats d’une étude menée auprès d’automobilistes empruntant l’autoroute pour raisons professionnelles (trajets domicile/travail ou missions) qui met en évidence trois facteurs de risque importants : usage du téléphone ou smartphone, somnolence et excès de vitesse. Ces résultats ont conduit les deux partenaires à proposer, sur internet, les radios d’autoroutes et les réseaux sociaux, un dispositif de sensibilisation pour les salariés et les employeurs, qui complète les actions incluses dans le kit « Prévention des risques routiers en entreprise » de notre association. Trois facteurs de risque Téléphone au volant. Les conducteurs prennent des risques : Somnolence au volant 62,5% des conducteurs en mission professionnelle ont déjà lutté contre le sommeil sur l’autoroute.

Excès de vitesse Ils sont 51,9 % en mission professionnelle et 40,3% sur les trajets domicile/travail à déclarer rouler au-dessus des limitations de vitesse. 2016/04/06 | Chauffeur routier, un métier sous contraintes. Perte d'autonomie, surveillance accrue, délais de plus en plus serrés… Le quotidien des chauffeurs routiers a changé ces trente dernières années, avec plus de pression à l'arrivée.

La conséquence d'évolutions réglementaires et organisationnelles. Dans les années 1970, l'image du chauffeur routier était celle d'un conducteur sillonnant le pays vers de lointaines destinations, sachant quand il partait mais ignorant quand il allait rentrer. Depuis, la réalité de ce métier du secteur logistique a beaucoup changé. Si certains risques sont toujours présents, de nouveaux ont émergé. 2014/11/27 | Trajets professionnels sur autoroute, téléphone au volant, somnolence et vitesse : les conducteurs avouent des prises de risques importantes.

Alors que la CNAMTS recense en moyenne chaque année près de 400 accidents mortels de la route qui représentent la moitié des accidents du travail, l’ASFA (Association professionnelle des sociétés françaises d’autoroutes et d’ouvrages routiers) et l’Association Prévention Routière révèlent les résultats d’une étude menée auprès d’automobilistes empruntant l’autoroute pour raisons professionnelles (trajets domicile/travail ou longue distance pour des missions professionnelles). Cette étude met en évidence trois facteurs de risque routier importants : l’utilisation de distracteurs (téléphones et smartphones), la conduite fréquente en état de somnolence et la conduite régulière en excès de vitesse. Face à ce constat, l’ASFA et l’APR se mobilisent et déploient sur Internet, les radios autoroutières 107.7 et les réseaux sociaux un dispositif de sensibilisation des salariés et des employeurs. Téléphone au volant : un risque ignoré des professionnels. 2014/05/19 | Somnolence au volant : les chauffeurs de poids lourds sur la ligne blanche.

Par la rédaction d'Allodocteurs.fr, avec AFP Rédigé le Plus d'un conducteur de poids lourd sur quatre (28%) dort moins de 6 heures avant de prendre la route pour un long trajet et près d'un sur trois (30%) s'estime susceptible d'avoir un accident à cause de la somnolence, selon cette étude de la fondation Vinci Autoroutes. Parmi ces 30% de routiers, 59% ont connu un "presque accident" pour cause de somnolence au cours de l'année précédent l'enquête. En 2013, selon une étude publiée par l'Association des sociétés françaises d'autoroutes, la fatigue et la somnolence représentaient la première cause de mortalité sur autoroute.

Le docteur Maria-Antonia Quera-Salva, qui a dirigé l'étude, constate que "les conducteurs de poids lourds dorment plus dans leur camion que chez eux", selon le communiqué de la fondation Vinci. Autre danger : seul une minorité de routiers (41%) déclare s'arrêter au moins une fois après deux heures de conduite. Somnolence : évitez le coup de barre ! 2014/05/18 | Conducteurs de poids lourds et somnolence | VINCI Autoroutes. Tels sont quelques-uns des premiers résultats d’une enquête scientifique inédite sur le sommeil des conducteurs de poids lourds, réalisée par l’Hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Assistance Publique - Hôpitaux de Paris) dans le cadre du programme de recherche scientifique de la Fondation VINCI Autoroutes dédié à la prévention de l’hypovigilance et de la somnolence au volant.

L’objectif de cette étude est de mieux connaître les habitudes de sommeil des conducteurs de poids lourds, d'évaluer leur risque d’endormissement au volant et d'identifier les contre-mesures qu’ils adoptent pour lutter contre la somnolence. Un déficit de sommeil important du fait d'une veille prolongée avant le départ - 28 % des conducteurs interrogés déclarent dormir moins de 6 heures la nuit précédant leur départ. Le Dr. Des conducteurs de poids lourds plutôt lucides quant à leur exposition au risque de somnolence Des mesures inefficaces, voire dangereuses, à proscrire. 2014/05/17 | Un déficit de sommeil chez les conducteurs de poids lourds. Les chauffeurs de poids lourds manquent de sommeil. C’est la conclusion d’une étude menée par la Fondation Vinci autoroutes qu’Europe1 vous révèle en exclusivité.

Un routier sur quatre dort moins de 6 heures. Un routier sur quatre avoue même prendre le volant en ayant dormi la veille moins de 6 heures, alors que les médecins recommandent 7 heures de sommeil minimum. Conséquence : lorsqu'ils partent (souvent pour plusieurs jours voire plusieurs semaines), le danger est déjà là. Ce manque de sommeil, 30% des conducteurs de poids lourds disent en avoir conscience, la moitié ayant même évité de justesse l'accident à cause de cette somnolence.

Ils sont 12% à conduire en téléphonant. Pour y remédier, chacun a sa petite astuce : 60% des routiers font ainsi la sieste. Des résultats qui font froid dans le froid dans le dos quand on sait que les routiers interrogés dans cette enquête roulent en moyenne 125.000 km par an. Téléphone au volant : un chauffeur routier mis en examen. 2014/05/17 | Sécurité routière : trop de chauffeurs routiers fatigués au volant - Le Parisien.

Au volant de leur 40 t, ils admettent continuer à rouler, les paupières lourdes et la trajectoire trouble. Selon une étude pour la Fondation Vinci Autoroutes* que nous révélons, près d'un conducteur de poids lourd sur trois s'estime susceptible d'avoir un accident dû à la somnolence. Et pour cause : ils sont 28 % à prendre la route après une nuit de moins de six heures ! « Ce qui est surprenant, c'est de voir que, parmi ceux qui s'estiment susceptibles d'avoir un accident, 59 % en ont frôlé un de près », remarque la docteur Maria-Antonia Quera-Salva, responsable de l'unité du sommeil de l'hôpital Raymond-Poincaré à Garches (Hauts-de-Seine), qui a dirigé l'étude.

Trois conducteurs sur quatre admettent ainsi avoir récemment roulé sur les lignes blanches sonores le long de la bande d'arrêt d'urgence à cause du manque de sommeil. Des accidents aux conséquences terribles Somnolents, les chauffeurs mesurent aussi leurs difficultés : ils sont 75 % à s'arrêter davantage pour faire une sieste. 2014/05/16 | Etude sur la somnolence des conducteurs de poids lourds sur autoroute. L’Hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Assistance Publique - Hôpitaux de Paris) a réalisé une enquête inédite sur le sommeil des conducteurs de poids lourds. Cette étude rentre dans le cadre du programme de recherche scientifique de la Fondation VINCI Autoroutes dédié à la prévention de l’hypovigilance et de la somnolence au volant.

Un des premiers enseignements que nous apporte cette enquête est le manque de sommeil d’une partie des conducteurs de poids lourds avant un départ. Plus d’un conducteur sur quatre (28%) a déclaré dormir moins de 6h la nuit précédant le départ. Les conducteurs eux-mêmes reconnaissent le danger du manque de sommeil puisque 30% s’estiment susceptible d’avoir un accident dû à la somnolence. Plus inquiétant encore, plus d’un conducteur de poids lourds sur 10 a reconnu avoir eu un épisode de somnolence important au volant (au point de devoir s’arrêter).

A l’inverse, pour faire face à la fatigue, les conducteurs adoptent également de bonnes pratiques. 2014/05/05 | Somnolence au volant : un risque sous-estimé. Le saviez-vous ? 30% des conducteurs de poids lourds dorment moins de 6 heures avant de prendre le volant, alors qu’il leur en faudrait au moins sept. 12% avouent avoir déjà somnolé en conduisant et 11% reconnaissent avoir été obligés de s’arrêter à cause d’une somnolence trop importante. C’est le résultat d’une étude (1) menée par l'unité de sommeil de l’Hôpital de Garches (92) et financée par la fondation d’entreprise Vinci Autoroutes. 22% des accidents mortels dus à la somnolence Près de 30% des sondés sont toutefois conscients du danger potentiel qu’ils représentent. Un danger non négligeable puisque 22% des accidents mortels pour lesquels le chauffeur poids lourds est reconnu responsable, sont dus à la somnolence, selon l’Asfa. Contrairement à la fatigue, la somnolence est un abaissement du niveau de vigilance qui ne disparaît qu'avec le sommeil.

L'apnée du sommeil de plus en plus fréquente © Tous droits réservés. 2012/08/04 | Somnolence au volant, ennemi des automobilistes et des chauffeurs poids lourds. Somnolence au volant sur autoroute. 2008 - ASFA Somnolence.