background preloader

Babasticot

Facebook Twitter

Bastien

Migrants. Merkel empêtrée dans une crise politique en Allemagne. Ce lundi, Angela Merkel rencontre l'aile la plus à droite de sa coalition pour tenter de résoudre un conflit sur la question des migrants qui pourrait faire tomber le gouvernement allemand. La chancelière est désormais ouvertement contestée en Allemagne sur sa politique migratoire et souvent critiquée à l'étranger, notamment en Europe de l'Est et par Donald Trump. Angela Merkel et l'aile la plus à droite de sa coalition gouvernementale se réunissent lundi pour une ultime tentative de résoudre un conflit sur les migrants qui menace de faire tomber le gouvernement allemand. Au centre du bras de fer: la politique de la chancelière à l'égard des demandeurs d'asile que le parti bavarois très conservateur CSU, membre de la fragile coalition gouvernementale mise en place en mars, veut à tout prix durcir. Trois scénarios Devant les cadres de son mouvement M.

Seehofer a évoqué trois scénarios. La question serait alors de savoir si le parti du ministre quitte lui aussi, ou non, la coalition. Coupe du monde 2018 : la France fait de nouveau peur à l’étranger. Vu de l’étranger. Quel est le service national prévu par Macron ? La France s’achemine vers l’instauration d’un Service national universel (SNU), une version légèrement édulcorée du rétablissement du service militaire promis lors de la campagne. La presse européenne s’est intéressée de près à la mesure. “Les Français de seize ans feront un mois de service national, conséquence de l’édulcoration d’une promesse de campagne du président Macron pour apaiser les dirigeants de l’armée.”

Ainsi The Times résume-t-il le projet présenté mercredi 27 juin en conseil des ministres. L’objectif annoncé est de favoriser “la mixité sociale” tout en donnant un aperçu de la vie militaire. Si les détails de l’application concrète, et du coût exact, ne sont pas encore connus, c’est notamment que le projet a dû faire face à de fortes réticences, y compris internes. Comme le relate La Vanguardia, la première version prévoyait un mois de service exclusivement militaire. Les militaires eux-mêmes ne voyaient pas d’un très bon œil cette possibilité. Consultation nationale. Coupe du monde 2018 : « On dirait qu’un immense carnaval a déferlé sur les onze villes russes »

Luc Vinogradoff : Nous nous quitterons donc comme nous nous sommes rencontrés, avec ce GIF dont on ne soupçonnait pas, avant le Mondial, qu'il serait aussi populaire. Merci d'avoir participé à cette petite discussion avec Benoît Vitkine et moi-même, j'espère qu'elle a été enrichissante. On se retrouve samedi à 14 heures pour préparer le huitième de finale de l'équipe de France de football masculin. C'est contre l'Argentine. Maradona sera dans les tribunes, le Chaudron de Blanqui sera bouillant, le Chat sera devant son écran.

A demain. Luc Vinogradoff : Chère Kimberley, je crois que vous avez voulu utiliser "augmenter" à la place "d'éviter", et dans ce cas, la réponse est oui. Ils vivent le football comme une obsession, c'est difficile à expliquer, mais magnifique à regarder. Certains s'en sortent bien, d'autres... on préfère ne pas trop en parler, encore moins donner des noms. Pour la première fois depuis le 14 juin, il n'y a pas de match de la Coupe du monde. Début du match à 15 heures. La crise de la politique étrangère française. La politique étrangère d'Emmanuel Macron est-elle en train de s'effondrer. Patente depuis plusieurs semaines, sa crise s'est accélérée à l'évidence. C'est le résultat des illusions du Président de la République, illusions sur l'Allemagne mais aussi sur le pouvoir de la communication. Cette crise se traduit par une dramatique perte d'influence de la France dans la politique internationale, une perte d'influence qui résulte de mauvais choix diplomatiques et d'erreurs répétées dans les alliances.

Mais, sur le fond, elle reflète aussi l'effondrement d'une politique internationale basée sur l'idéologie et non les intérêts supérieurs du pays, sur la communication, sur la manipulation des émotions, au détriment de la politique. Un constat d'échec © AP Photo / Michael Sohn L'accumulation des échecs subis par Emmanuel Macron et par la France depuis ces dernières semaines est frappante.

. © REUTERS / Hannibal Hanschke L'abandon d'une vision multipolaire du monde © Sputnik . La question des alliances. Macron annonce que la France « n’ouvrira pas de centres » d’accueil pour les migrants. Accord sur le nucléaire iranien : l’Union européenne malgré et contre l’allié américain. « L’Union européenne regrette profondément l’annonce par le Président des États-Unis du retrait de l’accord conjoint sur le plan d’action […].

L’UE est déterminée à travailler avec la communauté internationale pour le préserver » (Federica Mogherini, Haute représentante de l’UE pour la politique étrangère, 9 mai 2018) Un électrochoc diplomatique pour l’UE Depuis les grands débats qui avaient émaillé la relation transatlantique sous les administrations de George W. Bush (2001-2009), rarement l’Union européenne (UE) n’aura été aussi franche dans son opposition diplomatique à une décision de son partenaire étatsunien que ces dernières semaines. Cet activisme diplomatique s’accompagne d’une tonalité inhabituellement critique envers les États-Unis, comme lorsque le Président du Conseil européen Donald Tusk a déclaré : « Au regard des dernières décisions de Donald Trump, on pourrait même penser : avec des amis comme cela, qui a besoin d’ennemis ? Un compromis durement arraché.

Emmanuel Macron au Vatican : "Il n'y a pas de religion politique dans la République" Migration : les membres de l'UE concluent un accord à l'arraché. La Suède durcit sa politique migratoire - Le Journal International. Le 4 mai dernier, Stefan Löfven, Premier ministre suédois à la tête du gouvernement social-démocrate a annoncé le durcissement des règles d’asile. Cette mesure, déjà mise en place temporairement en 2016, va être adoptée et renforcée, instaurant un quota d’environ 14 000 réfugiés par an, soit deux fois moins qu’en 2017.

Une politique qui n’est pas sans rappeler celle du gouvernement Philippe, et plus généralement, celle de nombreux gouvernements européens ces derniers mois. Après la Hongrie, la Suède deuxième pays en terme de demande d’asile De telles restrictions sont d’autant plus surprenantes de la part de la Suède : En 2015, le pays nordique a enregistré 160 000 demandes d’asile au cours de l’année, l’un des plus haut scores d’Europe derrière la Hongrie. La première mise en place de contrôles aux frontières a eu lieu en novembre 2015, entre le Danemark et la Suède, lieu clé du passage de migrants par le pont de l’Oresund. Immobilisme européen Que va changer cette réforme en Suède ? Migrants : le modèle d'accueil canadien commence à faire débat. 15h00 , le 27 juin 2018 Le Canada jouit d'une image positive lorsqu'il s'agit d'immigration. En 2016, le pays comptait 21,6% d'immigrés, d'après Statistique Canada. La même année, 296.000 résidents permanents – étape ultime avant l'obtention de la citoyenneté –, avaient été acceptés, soit environ 1% de la population.

Comme si la France octroyait ce statut à 650.000 personnes par an. Une politique totalement assumée par Justin Trudeau, qui avait promis dès son arrivée au pouvoir d'accueillir davantage d'immigrés, de 310.000 en 2018 à 340.000 en 2020.Le pays développe sa politique migratoire depuis les années 1960. "Ses objectifs sont clairement précisés dans la loi, explique Idil Atak, professeure à l'université Ryerson de Toronto. Pourtant, n'immigre pas qui veut au Canada. Les réfugiés, en revanche, sont protégés par une convention internationale. La politique de Trump à la frontière mexicaine contestée dans son propre camp. La polémique enfle aux États-Unis sur la séparation systématique des familles de migrants. Des voix indignées s’élèvent dans le propre camp du président Trump, notamment celle de l’ancienne première dame Laura Bush. “Je vis dans un État frontalier. Je mesure le besoin de faire respecter et de protéger nos frontières internationales, mais cette politique de tolérance zéro est cruelle.

Elle est immorale. Et elle me brise le cœur.” Ces lignes de Laura Bush, extraites d’une tribune publiée dans The Washington Post, symbolisent la contestation de plus en plus forte vis-à-vis de la politique de séparation des familles de migrants mise en place par le gouvernement Trump. Comme le rappelle l’ancienne première dame, épouse de George W. “Des parlementaires républicains, l’ancienne première dame Laura Bush, un quotidien conservateur et un ancien conseiller de Trump se sont joints aux démocrates pour condamner les séparations de familles”, observe The New York Times.

Melania Trump prend position. Trump-Poutine : ce qu'il faut attendre de leur rencontre le 16 juillet à Helsinki. 07h00 , le 29 juin 2018, modifié à 07h25 , le 29 juin 2018 Le président américain Donald Trump et le président russe Vladimir Poutine vont donc se rencontrer à la mi-juillet à Helsinki en Finlande. Un sommet pour tenter de rapprocher leurs deux pays. Au micro d’Europe1, la chronique du rédacteur-en-chef international du JDD, François Clemenceau. Ce n’est pas par hasard si Donald Trump et Vladimir Poutine se retrouvent à Helsinki.

Pendant la campagne présidentielle au contraire, il a multiplié les déclarations de respect à l’égard de Poutine en souhaitant améliorer la relation entre les Etats-Unis et la Russie. Après sa victoire, Donald Trump a pris ses distances vis-à-vis de Poutine, pour ne pas donner des gages aux enquêteurs sur sa proximité avec la Russie mais aussi parce que la situation internationale l’exigeait. Côté américain en revanche, l’exercice est plus difficile. Une cohésion jugée, à tort ou à raison, par Poutine comme une menace, et par Trump comme une concurrence. Le sommet de Singapour point de départ de nouvelles relations entre les États-Unis et Corée du Nord ? Après des mois d’escalade et de désescalade autour de la péninsule coréenne, de sommets prévus puis annulés, la rencontre historique a finalement eu lieu entre le président des États-Unis, Donald Trump et le leader de Corée du Nord Kim Jong-un le mardi 12 juin dernier à Singapour.

Donald Trump a pris le monde de court en participant au premier sommet bilatéral entre la Corée du Nord et les États-Unis. La Corée du Nord, petit État d’Asie du Nord-Est a enfin obtenu, à coups d’intimidations nucléaires, un sommet bilatéral avec la première puissance mondiale, gage de reconnaissance et de sécurité pour le régime. Quels sont les enjeux et les intérêts de chacun des participants à ce sommet ? Quelles évolutions cet accord peut-il insuffler à une région marquée historiquement par la Guerre froide et par une montée en puissance de la Chine dans le pré-carré américain ? La Corée du Nord pourra-t-elle changer de visage ?

Cette rencontre est-elle un tournant significatif pour la paix mondiale ? Politique migratoire européenne : "que dirons-nous à nos enfants ?" Quelques jours après que l'Aquarius, ce bateau transportant plus de 600 rescapés de la traversée de la Méditerranée, ait été accueilli en Espagne suite au refus de l'Italie d'ouvrir ses ports, un nouveau navire de plus de 230 personnes, avec 4 bébés à son bord, est resté bloqué au large de Malte, faute de consensus entre États membres pour l'accueillir. Dans ce contexte, en tant qu'association représentant les familles, toutes les familles, quelles que soient leurs origines, nous ne pouvons que nous poser cette question : dans quelques années, que dirons-nous à nos enfants de la manière dont l'Europe a traité ces personnes ? Juncker : "Refouler des bateaux qui arrivent dans nos ports, ce n'est pas cela, l'Europe" "Refouler les bateaux qui arrivent dans nos ports, mettre le feu aux camps de réfugiés ou ignorer des gens qui sont dans la misère et livrés à eux-mêmes: ce n'est pas cela, l'Europe.

"Cachez cette misère que je ne saurais voir" La Ligue des familles dénonce La ligue des familles. La Turquie d'Erdogan restera un partenaire international difficile. La Turquie d'Erdogan restera un partenaire international difficile. Abaissement de la vitesse : à quoi ressemble la France des 80 km/h ? En Egypte, 28 personnes accusées d’avoir voulu renverser le régime. Les poursuites contre ce groupe s’inscrivent dans le cadre d’une récente vague d’arrestations d’opposants et de membres de la société civile.

Le procureur général égyptien a annoncé dans un communiqué, dimanche 10 juin, avoir renvoyé devant un tribunal spécial vingt-huit personnes accusées d’avoir formé un groupe en vue de renverser le régime. D’après le procureur Nabil Sadek, les suspects, dont neuf sont détenus, sont poursuivis pour avoir créé le Conseil égyptien pour le changement, une organisation considérée comme illégale. Celle-ci est accusée d’avoir voulu porter atteinte à la Constitution, aux lois et à l’unité nationale, ainsi que d’avoir, entre autres, diffusé de fausses nouvelles en Egypte et à l’étranger dans l’intention de nuire aux intérêts nationaux et économiques du pays. Explosion des prix Lire aussi : La jeunesse égyptienne désabusée par la politique.

Rencontre avec Kim Jong-un : Donald Trump face au défi de la diplomatie. Le président américain devrait devenir le premier à s’entretenir avec un dirigeant de la Corée du Nord, mardi à Singapour. Après deux ans de coups d’éclat, il va devoir lancer un processus complexe. Le Monde | • Mis à jour le | Par Gilles Paris (Singapour, envoyé spécial) Donald Trump va mettre à l’épreuve ses instincts, le 12 juin, à Singapour, en devenant le premier président des Etats-Unis à s’entretenir avec un dirigeant de la Corée du Nord, Kim Jong-un. « Vraiment confiant », il a jugé samedi matin, avant de quitter prématurément un sommet du G7 particulièrement houleux, au Canada, qu’il saurait peut-être « dès la première minute » si cette rencontre sera un succès.

Après avoir multiplié, au cours de ses seize premiers mois passés à la Maison Blanche, les initiatives unilatérales, les coups d’éclat et les attaques verbales sur son compte Twitter, y compris lundi matin à Singapour, il va devoir construire. Opportunité historique Enjeux multiples.