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Cinéma

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Reportages, Témoignages et Bruits pas sages. Trouver un lieu de tournage - Répéreur et régisseur. Dossier Marketing Relationnel: Cinéma. Lemenicier - la panoplie des interventions dans le cinéma. L’exception culturelle française dans le secteur du cinema et de l’audiovisuel : la panoplie des interventions par Alexandra Lemennicier, 1999 A la fin des années 1920, l’industrie française du film était la cinquième au monde. Dix années plus tard, la production française avait doublé, et elle se classait au second rang mondial derrière les Etats Unis.

Pendant toute cette période, l’industrie française du cinéma n’a jamais reçu un franc de l’Etat. Les entraves à l’importation de films étrangers étaient inexistantes et rien ne s’opposait à l’arrivée et à la diffusion de films américains. En 1936, par exemple, les six plus grands succès de l’année étaient tous de films français. Tableau 1 Il faut tout d’abord remarquer qu’entre 1952 et 1961, s’est opéré un changement radical dans la structure de la production française. Plusieurs raisons expliquent cette évolution : Dès 1960, est mise en place une politique d’aide sélective qui facilite la production de premières œuvres à petit budget. L'image sonore. L'image sonore Image sonore désigne le lien établi entre une image visuelle et le son qui l'accompagne ; le cinéma n'est qu'une des occurrences de cette relation. Image sonore caractérise également une faculté propre au son. Ecouté seul, tenu hors de tout accompagnement visuel, le son engage en chacun de nous une production d'imaginaire.

Lecture sans narration, les sons entendus entretiennent une polysémie toujours active. Lorsque l'on entend un verre se casser, la nature de ce son permet de l'associer à un verre en Duralex, une bouteille ou une vitre. Dans son déroulement rien n'est attendu, la surprise se renouvelle à chaque instant de l'écoute. La question musicale n'est pas ici en jeu. L'écriture documentaire - DERIVES .tv. Entretien avec les réalisateurs Emmanuelle Bidou, Mariana Otero et Moussa Touré, propos recueillis par Sylvain Sailler lors des Etats Généraux du Documentaire à Lussas, du 17 au 23 août 2003 En fait, l’histoire, c’est que j’ai fait un premier film sur un foyer de travailleurs en Afrique du Sud (Ubuhule Bembali : la beauté des fleurs).

Ça fait douze ans que je travaille en Afrique du Sud, j’enregistrais des musiques. Je suis ethno-musicologue à la base, je n’ai jamais fait de cinéma avant, je n’ai jamais fait d’études de cinéma. A quelle époque c’était ? Assez tard, j’ai commencé à y travailler en 1997. Ce n’était plus sous l’apartheid ? Non, mais j’étais depuis 1989 en Afrique du Sud. S’imprégner du terrain Vous étiez déjà dans les foyers ? Avant, je travaillais sur le jazz, dans les townships. Vous y étiez, pendant toute cette période ? J’y suis allée presque tous les ans. Vous aviez le même producteur ? Sans vous demander de projet ? On m’a dit : tu vas l’écrire, hein ? Ecrire pour un diffuseur.

Aides

Finance & Cinéma. Financement région. Numérique. Infos pratiques. L'ADRC : L'Agence pour le Developpement Regional du Cinema. Le médiateur du cinéma. JLG. Les films que j'aime d'amour (en cours) Actualités - BNP Paribas prolonge « La Fête du Cinéma » du 3 au. Salles afrique. Japon.