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Articles / Revus journalistiques

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Episode 18 : les sites e-commerce de vins & spiritueux. Restera t-il Encore des Purs "Pure Players" dans 10 ans ? Post de fond un peu long, parfois "technique", mais sans doute une bonne "food for thought" pour les pure players... Aux Etats-Unis, sur les 100 1ers CA réalisés en eCommerce, on n'a aujourd'hui que 17 Pure Players, le reste étant le fait de retailers ou VPCistes. Et si on considère le CA réalisé par les 100 1ers acteurs de ce canal : Retailers et VPcistes en réalisent 66%Amazon en réalise environ 27%Les autres pure players 7% Et si on enlève ces 2 acteurs particuliers que sont NetFlix et VistaPrint, les Pure Players ne représentent plus que 4%...

La réalité US est simple, les Pure Players - à l'exception très notable d'Amazon - sont devenus marginaux dans le CA total du canal eCommerce. Cette montée des acteurs traditonnels est tout ce qu'il y a de plus logique car ils jouissent d'avantages concurrentiels majeurs, avec une marque, une notoriété, un sourcing puissant, une connaissance des besoins clients, la possiblité de faire du cross-canal, etc. 2014 : Wallmart contre Amazon, la vraie bataille entre Brick and mortar et pure player va commencer. - A ma gauche : - Walmart leader mondial du commerce de détail (CA / 500 Md$ pour 17Md$ de bénéfices) et passé aussi à la vente en ligne. 200 000 000 de clients par semaine .... Date de création 1962. A ma droite : - Amazon leader mondial du e-commerce CA / 160 Md$ avec une progression fulgurante, qui vient d’être récompensée hier par Wall street avec une progression de 9,4% de son cours, due à un trimestre exceptionnel (+/- 26Md$ ce qui projette un CA annuel qui dépassera certainement le 80 Md$ cette année alors que ses prévision étaient de 74 Md$…) Rappelons que son CA en 1997 était de 148 M$ (112M€).

Sa valorisation actuelle ? 134 Md$. Vous suivez ? A ce rythme, l’enjeu de Wallmart est simple : "si je ne gagne pas la bataille du e-commerce, je perds à terme mon leadership mondial … au profit du pure player ! Mobilisation générale : Wallmart met 1500 personnes sur la table pour gagner la bataille du e-commerce mondial. L’obsession d’Amazon ? L’obsession de Wallmart ? 2014???

Pourquoi les Pure Players échouent dans le monde réel ? 25 octobre, 2013 0 commentaire Matière à réflexion : Bernard Petitjean et Corinne da Costa – Seprem Etudes & Conseil Et si l’éclatant succès du magazine « Marmiton », déclinaison imprimée et payante du site éponyme, était l’arbre qui cache la forêt des semi-échecs enregistrés par les Pure Players ayant tenté d’exister dans le monde réel ?

Si les éditeurs de médias imprimés n’ont pas à rougir des diversifications de leurs marques qu’ils développent tous azimuts (web, supports imprimés, collections, services, évènements …) et à marche forcée, on ne peut pas dire que les publications imprimées lancées par les Pure Players envahissent les kiosques. Pourquoi les Pure Players ont-ils tant de mal à déployer leurs marques dans le monde réel, alors même (étude One) que l’on sait que les « hyper-connectés » possédant un Smartphone, un ordinateur et une tablette sont les plus forts lecteurs de presse imprimée ?

Bernard Petitjean (bpetitjean@seprem.fr) et Corinne da Costa (cdacosta@seprem.fr) Vocabulaire: ne dites plus «pure player», dites «tout en ligne» Du e-commerce au magasin physique, ces pure players qui misent sur la proximité. Crédits photo : Ken Wolter / Shutterstock Le retour en grâce du magasin prédit par plusieurs experts aura bien lieu.

En tout cas, c’est ce que pourrait indiquer la tendance actuelle portée par les sites de e-commerce. LDLC.com, Promovacances, Cdiscount, et FitnessBoutique ont ainsi décidé de passer du virtuel au réel ou « click to mortar », selon l’expression anglophone. Quant au géant du secteur Amazon, le groupe aurait l'idée d'ouvrir un premier magasin en dur aux Etats-Unis, mais l'information n'a pas été confirmée. Alors que le processus inverse s’opère – afin d’être plus compétitif, le commerce traditionnel développe une offre web -, les géants d’Internet prennent donc le contrepied pour tirer parti des avantages du commerce de proximité. Dans cette optique, le recours au modèle de la franchise n’est pas un phénomène isolé.

La relation client au cœur de la démarche Au-delà des performances du e-commerce, certains pure players ont opté pour un développement physique. 2013 : année de disparition des « pure players » Le modèle « pure player » est-il mort ? Et si oui qui la tué et par quoi va-t-on le remplacer ? Fin de l’année 2012, on apprenait la mort imminente des Virgin Megastores, coupables de ne pas avoir su négocier le virage du digital.

Dans le même secteur, la FNAC cherche désespérément des solutions pour garder la tête hors de l’eau, quitte à remettre sérieusement en question son positionnement historique et son catalogue produits. Dans les 2 cas, le commerce en ligne est désigné comme coupable, et le verdict tombe : les enseignes physiques doivent se digitaliser ou mourir… Dans le même temps pourtant, plusieurs études (Xerfi, Bearing point etc.) démontrent que le si l’e-commerce progresse spectaculairement en chiffres absolus, il représente toujours moins de 10% des ventes de détails, le reste étant bien sûr aux mains des réseaux de points de vente physiques.

Les taux de conversions sont également largement plus favorables au commerce classique. Comment intégrer les deux stratégies ? SMC Research Awards 2013 : les social media decryptés par la recherche. Edouard de Pouzilhac (5eme Gauche) "Les pure-players ont une expertise que les agences digitalisées n'ont pas" Invité de l'émission "Les Décideurs du Net", Edouard de Pouzilhac est venu présenter son agence et ses perspectives de développement. Edouard de Pouzilhac était l'invité de l'émission "Les Décideurs du Net", présentée par le JDN et Décideurs TV en partenariat avec Offremedia, ce jeudi à 12h30. "Dès que les problématiques deviennent un peu plus pointues, que l'on parle d'e-commerce, de création de services ou de mobilité, les agences pure-players ont une expertise que les agences de communications qui se sont digitalisées n'ont pas", explique-t-il d'emblée pour illustrer le positionnement de son agence 5eme Gauche.

Interrogé sur les caractéristiques d'un bon site-ecommerce, l'une des spécialités de 5eme Gauche Edouard de Pouzilhac répond : "L'e-commerce ne peut plus se penser comme un simple site mais comme un parcours d'achat avec la montée du m-commerce et la digitalisation des points de vente notamment". Classement e-business : les 100 premiers "pure players" du Web en France. Quelles tendances pour 2012? Crédit: Flickr/CC/Nathan Wells Au rayon journalistico-numérique, les paris sont ouverts sur les mutations qui vont marquer l’année à venir. Sur quoi miser? >> Read this article in english >> Des morts parmi les acteurs du Web En France, le nombre de pure players – ces sites qui existent sans support imprimé – par habitant est plus élevé qu’ailleurs. «Ce dynamisme français se voit sur trois niveaux», m’explique Nicola Bruno, journaliste qui co-rédige actuellement un travail de recherche sur les pure-players en France, Allemagne et Italie qui sera publié l’année prochaine par le Reuters Institute for the Study of Journalism.

Trop d’acteurs sur un trop petit marché? Peine perdue, alors? La lecture en différé Quel contenu lit-on tout de suite? Lit-on «plus tard» des contenus longs, comme le suppose cette présentation? La voix qui contrôle la navigation «Vous pouvez parler A votre téléphone plutôt que de parler DANS votre téléphone», a lancé Nikesh Arora, de Google, au Monaco Media Forum. «Pure player», le seul anglicisme défendu en France. Les pure players vont-ils rester les acteurs favoris des web-acheteurs ? Neuilly-sur-Seine, le 8 décembre 2011 Les pure players vont-ils rester les acteurs favoris des web-acheteurs ? Les pure players vont-ils rester les acteurs favoris des web-acheteurs ? Le cabinet d’audit et de conseil PwC publie une étude comparative sur les comportements et motivations du web-acheteur dans sept pays. Cette étude révèle qu’en France, 23% des web-acheteurs ont effectué leur premier achat en ligne l’année dernière.

En France, plus d’un web-acheteur sur 5 a effectué son premier achat en ligne ces 12 derniers mois. L’Europe continentale reste un marché à fort potentiel en termes de fréquence d’achat L’étude PwC révèle des disparités à l’international entre les pays en termes de maturité et de fréquence d’achat: Ces divergences entre pays s’expliquent en partie par la disponibilité de l’offre : en 2009, seules 47 des 100 plus grandes enseignes en Allemagne proposaient un site marchand et 56 en France, contre 65 aux Etats-Unis et 71 au Royaume-Uni.

A propos de l’étude. Pure-players, il faut bien se faire une région. La petite rédaction travaillait là, dans cette maison en briques, derrière la gare d’Amiens. Au rez-de-chaussée et au premier, une colocation de mecs - on aperçoit du foutoir derrière les portes de chambres, des consoles de jeu. Au deuxième étage, donc, sous les combles, quelques bureaux, et un tableau Velleda qui servait d’agenda, aujourd’hui vide. C’est là qu’a bossé l’équipe du Télescope d’Amiens pendant un an et demi. Le pure-player d’info locale a mis la clé sous la porte fin avril, le troisième après Dijonscope et Carré d’info, fermés respectivement en mai 2013 et en janvier 2014. Un même constat sur la PQR «On est en train de tout vider», s’excuse presque Fabien Dorémus, cofondateur du site amiénois. Pour Sabine Torres, fondatrice de Dijonscope, l’envie de créer un pure-player local est elle aussi «née d’une frustration de journaliste de presse régionale» : «J’en pouvais plus des publirédactionnels, des déjeuners de presse, du copinage.»

L’échec du payant… Du branding au e-branding : bien plus qu’un simple changement de décor pour les marques… Il y a quelques mois, Georges Lewi publiait « e-branding », un des tous premiers livres dédiés à la gestion des marques sur internet*. L’ouvrage, co-écrit avec l’excellente Thina Cadierno, a le grand mérite de présenter de manière synthétique et pédagogique les enjeux auxquels les marques (qu’elles soient « multicanales » ou pure players internet) sont confrontées sur le web.

Or que nous disent ces auteurs ? Tout d’abord, au grand dam des brand managers les plus chevronnés, que « l’e-branding n’a rien à voir avec le branding à la papa« . Si les consommateurs manifestent globalement le même degré d’exigence online et offline vis-à-vis des marques, toutes les règles du branding se trouvent en effet bouleversées sur la toile, voire inversées.

>> Le jeu des 4 différences entre marques et e-brands 1 – Le « modèle » de l’e-brand repose davantage sur la destruction que la création de valeur 2 – Deux approches opposées de la notoriété 3 – La mixité sociale et le mélange des cibles About these ads. Du branding au e-branding. Les « pure players » donnent de la voix - Dossiers. 26/03/2010 - Alors que les publicitaires accélèrent leur « digitalisation », les agences interactives affirment leur rôle de conseil en stratégie digitale globale et renforcent leurs expertises, notamment dans les contenus et l'animation de communautés. Le temps où il suffisait à une marque d'avoir un site Web pour assurer sa présence en ligne semble si loin… Internet, à la fois média, canal de distribution et outil de marketing relationnel, est devenu un lieu de conversation et d'échange où les internautes ont pris le pouvoir et la parole (mise en ligne de billets, de vidéos, avis de consommateurs, site de ventes aux enchères), et peuvent être ainsi mis à contribution par les marques (relais d'influence, cocréation publicitaire, « crowdsourcing » de services et de produits, etc.).

Recomposition et mercato Alors que le marché du numérique semble avoir été relativement épargné par la crise et qu'il repart fort en ce début d'année, sa situation est loin d'être stabilisée. Sous-papier. Ces pure players qui tiennent boutique - Textile, habillement. L'incroyable succès des «pure players» - Dossiers. 25/02/2010 - Les femmes internautes consomment du Web communautaire et des bons plans Un mélange que les «pure players» ont su mettre en œuvre avant la presse féminine. Mais où sont les magazines féminins sur Internet ? Dans la dernière vague d'audience de Médiamétrie, en décembre 2009, Mediafemme, le groupement publicitaire des sites Internet de treize des principales marques de presse féminine (Elle, Marie Claire, Version Femina, Psychologies, Madame Figaro, Glamour, Vogue, etc.) a totalisé 5,15 millions de visiteurs uniques.

Une performance globale qui relègue néanmoins les marques du papier au troisième rang des sites ciblant la gente féminine, derrière les «pure players» Aufeminin (7,1 millions de visiteurs uniques) et Lejournaldesfemmes (7 millions), qui raflent les deux premières places du classement. Seules des marques phares de la presse féminine, comme Elle ou Marie Claire, recueillent environ 2 millions de visiteurs uniques par mois. A parité avec les hommes Cécile Barbière.

Quel avenir pour les pure players journalistiques en France ? Aurélie AUBERT, « Le paradoxe du journalisme participatif. Motivations, compétences et engagements des rédacteurs des nouveaux médias », Terrains et Travaux, n°15, 2009, p. 171-190 Franck BOUSQUET, Nikos SMYRNAIOS, « L’information en ligne et son territoire : positionnement comparé entre un pure player départemental et un quotidien régional » in Jacques NOYER, Bruno RAOUL et Isabelle PAILLIART (dir.), Médias et territoires : permanences et mutations, Presses Universitaires du Septentrion, 2013 (à paraître) Nicola BRUNO, Rasmus Kleis NIELSEN, Survival is Success: Journalistic Online Start-Ups in Western Europe, Reuters Institute for the Study of Journalism, Oxford, 2012 CEVIPOF, Mediapolis - Résultats de l’enquête, 2010 Jean-Marie CHARON, Patrick LE FLOCH, La presse en ligne, La Découverte, 2011 Jean-Marie CHARON, « La presse magazine, un média à part entière », Réseaux, n°105, 2001 Caroline DATCHARY, « Ce que le Web 2.0 fait à l’autonomie journalistique.

Cyril LEMIEUX, Mauvaise presse. 123 - Tendances distribution : Marques enseignes vs pure players, Comment exister sur le Net ? Les pure players et la diversification. Zoom Rue du Commerce crée sa tablette et vente-privée crie se lance dans l'alimentaire : la diversification se poursuit tous azimuts Dans un contexte de croissance ralentie sur la toile, pusieurs initiatives de pure-players méritent le détour. La première revient à vente-privee.com qui lance « Miam Miam » et s’ouvre ainsi à l’alimentaire. Il s’agit d’une nouvelle offre qui surfe sur la vague du « made in France » avec une sélection de produits des régions françaises du terroir.

Créé en 2001, la « boutique virtuelle » a dépassé le milliard d'euros de chiffre d'affaires et compte aujourd'hui plus de 19 millions de membres. A part la gastronomie, l’autre secteur où il fait bon se régaler est celui de la tablette. [Les experts] Pourquoi les pure players de l'eCommerce sont morts? par Gregory Pouy.

Je vous vois déjà penser à Amazon et relier cette note avec la décision d’interdire, en France, la cumulation de la livraison gratuite et des 5% de remise sur les livres. Pourtant, il n’en n’est rien. Amazon est effectivement un cas unique parmi l’ensemble des e-commerçants tant par la stratégie mise en place que par les fonds qui ont permis au modèle de tenir le cap pendant des années en étant malgré tout parfois déficitaire. Alors pourquoi une telle assomption? En réalité, l’idée n’est pas neuve puisque déjà en 2011, le PDG d’Ebay annonçait la « mort de l’ecommerce », repris dans un très bon livre blanc diffusé par la Fevad d’ailleurs.

Il est important de comprendre plusieurs choses quand on parle d’ecommerce: 1. L’ecommerce ne représente qu’une infime partie du retail (5% en France, 8% au mieux aux U.S.) et ne pourra jamais dépasser les 20% car les consommateurs (hormis pour certains secteurs comme le voyage) aiment pouvoir se rendre dans les magasins même lorsqu’ils achètent en ligne.