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Les lignes directrices développées par le Cloud Select Industry Group. Le Cloud Select Industry Group a présenté à la Commission européenne des lignes directrices destinées à aider les entreprises européennes à utiliser le cloud computing. L'initiative pourrait aboutir à une première : la mise sur pied d'un référentiel européen pour les contrats du cloud. But ? Rassurer les clients en créant en cadre équilibré et prévisible, afin de stimuler la technologie. Le cloud computing, ou informatique en nuage, « peut se résumer au stockage, au traitement et à l’utilisation de données contenues dans des ordinateurs distants et auxquelles on accède par Internet ». C’est ainsi que la Commission européenne définit cette nouvelle forme d’infogérance informatique. Les lignes directrices ainsi présentées par le Cloud Select Industry Group entrent dans cette perspective de développement de l’utilisation du cloud computing en Europe.

Le Cloud Select Industry Group, ou C-SIG, est constitué de professionnels du cloud. Gestion de documents, licences et Cloud Computing - JDN Cloud computing. Comme tous les étés, nous constatons l’arrivée dès septembre de nouveaux acronymes dont certains prêtent d’ailleurs à sourire. 2014 n’est pas en reste ! Les analystes, consultants ou fournisseurs de tous poils, n’ont, une fois de plus, pas manqué de créativité.

Après le SaaS, PaaS, IaaS, … le MHaaS (managed hosting as a service) ! Autrement dit l’informatique dans les nuages n’en finit plus de stimuler nos neurones. Le Cloud oblige en effet à revoir nos processus et modes opératoires.Pendant longtemps les logiciels liés à l’éditique, à l’output managent, à l’archivage… n’étaient proposés qu’en mode Licence. Déployer des solutions dans le cloud - JDN Cloud computing. En fonction du type de fonctionnalité utilisée : légères , génériques ou de fonctionnalités métier critiques, comment déployer des solutions dans le Cloud ? Aujourd'hui, l’utilisation privée de services et de fonctionnalités basés sur le Cloud est devenu banale, qu'il s'agisse de services de messagerie tels que Gmail ou Outlook.com, d'outils de partage de fichiers comme Dropbox, ou simplement de jeux en ligne !

Virtuellement toutes les entreprises utilisent aussi le Cloud, bien qu’elles ne soient pas toutes au courant ! Nous pourrions citer en exemples la diffusion d'un questionnaire interne via la plateforme Google Drive, l'utilisation de messagerie en ligne ou l’emploi d'outils de communication/collaboration comme Skype. Face à ces principaux obstacles, les entreprises doivent disposer d'un large choix lorsqu'elles souhaitent déployer leurs applications dans le Cloud. Déploiement sur un Cloud Public ERP as a Service Personnes mobiles et objets connectés : le Cloud est un point d’accès. Sécurité des environnements cloud, attention aux idées reçues ! Par Tanguy de Coatpont, Directeur Général de Kaspersky Lab France. 21 % des responsables IT des grandes entreprises classent la sécurisation des infrastructures virtualisées parmi leurs toutes premières priorités pour les 12 mois à venir. Ce résultat n'a rien d'étonnant dans le contexte de migration soutenue des architectures IT vers le cloud que nous observons depuis plusieurs mois.

Du reste, dans la même enquête, plus de la moitié des entreprises reconnaissent que les environnements virtuels occupent une place grandissante dans leurs infrastructures informatiques. Aujourd'hui, le recours aux VM (machines virtuelles) n'est plus seulement de mise pour faire tourner les applications métier basiques, mais devient aussi de plus en plus fréquent pour les applications critiques, comme celles qui concernent la gestion des données clients ou encore les transactions financières, par exemple. Idée reçue n°1 : Les environnements virtuels sont plus sûrs que les environnements physiques Faux. Faux. Malheureusement si ! Ce serait trop simple ! Cloud : Microsoft défie Amazon Web Services dans les grandes entreprises. Une étude révèle que le cloud de Microsoft affiche de belles progressions en termes d'adoption.

Les grandes entreprises sont nombreuses à tester et vouloir utiliser Azure. 2016 pourrait bien être une "année tournant" pour Microsoft dans le cloud computing. L'engouement en faveur de son offre Azure n'aurait en effet jamais été aussi important, en particulier chez les grandes entreprises. D'après une étude réalisée par Rightscale auprès de 1 060 décideurs IT à travers le monde, 28% des sociétés de plus de 1000 salariés testent actuellement le cloud d'infrastructure (IaaS) de Microsoft, et 13% prévoient de l'adopter.

Deux indicateurs, illustrant un réel intérêt, dont les niveaux se révèlent bien supérieurs à ceux affichés par les principaux concurrents du groupe (voir le graphique ci-dessous). Toujours selon Rightscale, Microsoft demeure leader sur le terrain du PaaS (Platform as a Service) avec un taux d'adoption de 13% toutes entreprises confondues. Le cloud, base de toutes les ruptures technologiques à venir. Dans le monde actuel piloté par la technologie, il est facile de se laisser prendre dans un enchaînement sans fin de nouveaux termes à la mode. Vous savez de quels termes je veux parler : "rupture", "culture de l'innovation", "ère de l'application", "consumérisation de l'IT"... la liste est interminable. Récemment, j'ai préparé pour mes responsables une présentation sur les tendances technologiques. En relisant mon travail, j'ai constaté que ces termes (et beaucoup d'autres) revenaient tout du long.

Et bien le fondement de tous ces termes et modèles économiques peut être résumé en un seul mot : "cloud". Car la nature distribuée du cloud computing a amené la "démocratisation de l'informatique" (dernier terme à la mode entre guillemets, je le promets). Cette démocratisation a brisé la barrière des coûts d'accès à l'informatique, tout au moins en surface, et a facilité la conception et le déploiement de nouvelles solutions d'entreprise. Prenons Uber, par exemple. Les 7 compétences clés dans le Cloud et le Big data. Les besoins en compétences Cloud et Big Data sont fortes et évoluent rapidement. Pour mieux appréhender ces évolutions, l’Observatoire paritaire des métiers du numérique, de l’ingénierie, des études et du conseil (OPIIEC) a validé le mois dernier l’étude Cloud et Big Data du cabinet Ambroise Bouteille & Associés et de l’Idate.

Celle-ci a été réalisée auprès de 200 entreprises de la branche en France ou utilisatrices de ces technologies. 7 compétences par domaine sont mises en avant. Dans les métiers de la data, l’expertise technique ne suffit plus, les « soft skills » – capacités relationnelles, sens du leadership – peuvent faire la différence, notamment pour les data scientists très prisés. Effacés par la popularité de ces experts de l’analyse statistique des données, également capables de répondre à une problématique business, les métiers de l’infrastructure restent essentiels pour que les données puissent être traitées, analysées et apportent de la valeur à l’organisation concernée. Quelle définition pour le « Cloud Computing » Comment définir simplement le terme de « Cloud Computing » et savoir ce qu’il englobe ? Le National Institue of Standards and Technology (NIST) en a donné une définition qui est souvent citée comme référence.

Cette définition a été reprise dans le magazine Global Security Mag et nous souhaitions vous la faire partager : « L’informatique dans les nuages » est une nouvelle façon de délivrer les ressources informatiques, et non une nouvelle technologie. » C’est un modèle qui permet l’accès au réseau à la demande. Les ressources sont partagées et la puissance de calcul est configurable en fonction des besoins.

Un accès en libre-service à la demande aux capacités de calcul. Le NIST dénombre 3 modèles de service : Cloud Software as a Service (SaaS) : l’utilisateur a la possibilité d’utiliser les applications du fournisseur de services via le réseau. Selon les approches des entreprises, on distingue plusieurs modèles de déploiement des services de Cloud Computing :