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Ultra droite

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Dissolution des groupuscules d'extrême droite Troisième voie et JNR. Serge Ayoub a pris les devants.

Dissolution des groupuscules d'extrême droite Troisième voie et JNR

Trois semaines après le décès du jeune militant d'extrême gauche Clément Méric, les groupuscules d'extrême droite Trosième voie et son service d'ordre Jeunesses nationalistes révolutionnaires ont été dissous. >> Lire aussi: la dissolution des groupuscules d'extrême droite, une fausse bonne idée?

Une procédure légale avait été lancée par le gouvernement mais leur leader Serge Ayoub - alias Batskin - a pris les devants: "J'ai dissous pour l'honneur, pour ne pas être dissous par d'autres. Ces tartufferies, c'est fini", a-t-il déclaré, précisant que la dissolution était enregistrée depuis "une semaine" à la préfecture. Les skinheads d'extrême droite impliqués dans la mort du jeune homme de 18 ans étaient proches de ces groupuscules. "Le combat continuera" "Notre avocat travaille déjà à un contre-argumentaire", a déclaré Alexandre Gabriac, président des Jeunesses nationalistes, en marge d'une conférence de presse à Lyon.

Avec. Une liste d’ultradroite sur la corde raide. Jean-François Carenco, le préfet du Rhône, dira ce vendredi matin s’il valide ou non la liste «Vénissieux fait front» d’Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac, candidats dans cette commune de la banlieue de Lyon (Rhône).

Une liste d’ultradroite sur la corde raide

Figures de l’ultradroite lyonnaise, ces deux hommes sont respectivement les ex-dirigeants de l’Œuvre française et des Jeunesses nationalistes, deux groupuscules dissous en juillet 2013 par Manuel Valls. Valider. Officiellement, la décision de Jean-François Carenco ne sera pas liée à la demande que lui a faite, mercredi, Marine Le Pen de ne pas valider les candidatures de Benedetti et Gabriac, premier et troisième sur la liste. «Il est clair que la dénomination de cette liste constitue un acte de parasitisme du nom Front national», écrit la patronne du FN. Ajoutant que son parti «n’a rien de commun avec les parasites qui animent cette liste».

«Problème». Catherine COROLLER.

Combat 18

Ultra-droite: des musulmans à la rescousse. On croise beaucoup de gens au Marco Polo, le restaurant italien situé près du Sénat, qui appartient à Renato Bartolone, le frère de Claude, président de l'Assemblée nationale.

Ultra-droite: des musulmans à la rescousse

Le jeudi 30 janvier, Christine Boutin y déjeune. Elle s'apprête à partir quand elle aperçoit le journaliste Eric Zemmour, qui partage un café avec l'avocat Karim Achoui. L'ancienne ministre de Nicolas Sarkozy s'invite à leur table et leur offre un deuxième café. "La famille, la patrie, la religion : nous combattons pour les mêmes valeurs", confie Achoui, élu "personnalité de l'année 2013" par le site communautaire musulman aux 6 millions de connexions mensuelles Oumma.com.

Il ajoute : "Autour de moi, ceux que je sonde se sentent aujourd'hui plus représentés par Alain Soral que par Jamel Debbouze. " Additionner les forces Dans certains établissements de Seine-Saint-Denis, le taux d'absentéisme a atteint 50%. Le plan secret de l'ultra-droite. Il a touché la grille de l'Elysée.

Le plan secret de l'ultra-droite

Le 24 mars 2013, ce jeune homme, opposant très déterminé au mariage gay, profite de l'affolement des forces de l'ordre à l'issue d'une grande manifestation pour palper de ses mains la porte du pouvoir. Il en retire un sentiment mêlé : toute-puissance et envie de contre-révolution. Dix mois plus tard, le 26 janvier 2014, le voilà défilant au Jour de colère, un pluvieux dimanche, avec des dizaines de milliers de personnes. Le 6 février 1934, «un mythe fondateur» de l'extrême droite.

L'évènement est emblématique d'une époque, les années 1930, que certains comparent à la nôtre.

Le 6 février 1934, «un mythe fondateur» de l'extrême droite

Il y a quatre-vingt ans jour pour jour, le 6 février 1934, des manifestations emmenées par les ligues nationalistes dégénéraient en émeutes à quelques pas de l'Assemblée nationale. Celles-ci faisaient quinze morts, et laissaient croire à une tentative de coup d'Etat de la part de l'extrême-droite. Etait-ce le cas ?

Quelles furent les conséquences du 6 février, et quelle place occupe-t-il aujourd'hui dans l'imaginaire droitier ? Les réponses d'Olivier Dard, professeur à la Sorbonne, auteur de Charles Maurras (Armand Colin, 2013) et de Les années trente - Le choix impossible (Le Livre de poche, 1999). Que s’est-il passé au juste le 6 février 1934 ? Pour le comprendre, il faut commencer quelques jours plus tôt. Contrairement à ce qu’ont pensé les contemporains de gauche, il ne s’agissait pas d’un coup d’Etat fasciste. Qui sont les émeutiers ? Pas vraiment, car la France a considérablement changé.

Liste d'ultradroite à Vénissieux : le préfet soupçonne des «faux candidats»