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Aaron Schartz

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The Truth about Aaron Swartz’s “Crime” « Unhandled Exception. I did not know Aaron Swartz, unless you count having copies of a person’s entire digital life on your forensics server as knowing him.

The Truth about Aaron Swartz’s “Crime” « Unhandled Exception

I did once meet his father, an intelligent and dedicated man who was clearly pouring his life into defending his son. My deepest condolences go out to him and the rest of Aaron’s family during what must be the hardest time of their lives. If the good that men do is oft interred with their bones, so be it, but in the meantime I feel a responsibility to correct some of the erroneous information being posted as comments to otherwise informative discussions at Reddit, Hacker News and Boing Boing. Apparently some people feel the need to self-aggrandize by opining on the guilt of the recently departed, and I wanted to take this chance to speak on behalf of a man who can no longer defend himself. Pourquoi tant d’émotion après le suicide d’Aaron Swartz? Aaron Swartz s’est suicidé vendredi 11 janvier.

Pourquoi tant d’émotion après le suicide d’Aaron Swartz?

A moins que vous ne soyez un passionné d’Internet, et plus particulièrement de l’Internet libre, son nom ne vous dit sans doute rien. Pourtant, si vous utilisez des flux RSS pour recueillir, classer et lire vos articles et billets de blogs préférés, c’est en partie grâce à lui. A seulement 26 ans, Aaron Swartz avait, en plus de sa participation à la création du format RSS (il avait 14 ans!) , fondé Demand Progress, un comité d’activistes pour la liberté sur Internet, mené la lutte contre Sopa, fondé Infogami (qui a fusionné avec le très populaire site Reddit), et avait été enseignant-chercheur à Harvard sur la corruption institutionnelle. publicité On avait aussi entendu parler de lui parce qu'il avait téléchargé illégalement des millions d’études scientifiques disponibles sur les serveurs du Massachussets Institute of Technology (MIT).

Un jeune en quête de mentors La possibilité d’un martyr Le communiqué officiel de sa famille dit ainsi: Hommage à Aaron Swartz. Aaron Swartz (né le 8 novembre 1986 à Chicago, mort le 11 janvier 2013 à New York) était un informaticien, militant et activiste.

Hommage à Aaron Swartz

Il a entre autres participé à la création du format RSS 1.0 à l'âge de 14 ans, et à la naissance du site Reddit. En 2011, il est accusé d'avoir téléchargé et mis à disposition en ligne 4,8 millions d'articles scientifiques disponibles dans JSTOR (JSTOR - contraction de Journal Storage - est un système d'archivage en ligne de publications universitaires et scientifiques, merci Wikipédia). Une impressionnante liste d'hommages et d'articles, pour un fervent défenseur de valeurs de liberté et de partage qui nous a quitté : Par Jérémie Zimmermann sur la liste April : « Aaron Swartz, codeur héros de l'accès libre et de la lutte pour les libertés sur Internet, s'est donné la mort deux ans jours pour jour après avoir été arrêté pour avoir downloadé des millions d'articles scientifiques. Je suis très triste. (suite des témoignages dans le reste de la dépêche) Lessig Blog, v2.

En hommage à Aaron Swartz, en route vers le paradis des geeks. De toutes les informations d’un week-end chargé, du ciel malien au pavé parisien, celle qui m’a le plus ému est venue d’Amérique : le suicide d’un jeune homme de 26 ans, Aaron Swartz, petit génie du Web et homme engagé.

En hommage à Aaron Swartz, en route vers le paradis des geeks

Je ne le connaissais pas personnellement, et son nom m’était vaguement familier. Et pourtant, tout ce que je lis depuis l’annonce de sa disparition me donne le sentiment d’une perte énorme, presque intime. Pourtant largement passée inaperçue en France. Aaron Swartz : disparition tragique d'un révolutionnaire du Web. La vie peut décidément être aussi cruelle qu'injuste.

Aaron Swartz : disparition tragique d'un révolutionnaire du Web

Alors que le monde numérique n'en a souvent que pour Mark Zuckerberg, Eric Schmidt ou Tim Cook, pratiquement personne ne parle d'autres vrais génies plus discrets. Ceux qui contribuent largement au développement d'Internet mais aussi à ce que des gens mal intentionnés ou tout simplement maladroits n'en fassent pas n'importe quoi.

Aaron Swartz était de ceux là et il a malheureusement décidé de nous quitter le 11 janvier 2013 en se donnant la mort par pendaison au sein de son appartement de Brooklyn. D'une intelligence rare, Swartz participe dès l'âge de 14 ans à l'élaboration de la spécification 1.0 du célèbre format Really Simple Syndication (RSS) que tant d'entre nous utilisent encore au quotidien. Selon ses proches, la mort de Swartz est "le résultat d'un système judiciaire où l'intimidation et les poursuites excessives sont monnaies courantes" . Aaron Swartz : Barack Obama appelé à sanctionner la procureur. Le suicide d'Aaron Swartz pourrait prendre une dimension politique inattendue aux Etats-Unis, avec l'ouverture d'un débat public qui confirme le statut de martyr de l'activiste qui se battait pour favoriser la libre diffusion des connaissances sur Internet.

Aaron Swartz : Barack Obama appelé à sanctionner la procureur

La mort tragique du jeune homme de 26 ans, qui risquait jusqu'à 35 ans de prison pour avoir téléchargé illégalement des écrits universitaires et scientifiques dans le but de les mettre en ligne, fait naître un débat national sur le système judiciaire et la proportion des peines. Alors que le MIT et surtout JSTOR, victimes du piratage, avaient décidé de retirer leur plainte et même de donner satisfaction à Swartz en publiant gratuitement des revues scientifiques autrefois payantes, le bureau du procureur du Massachussetts avait choisi d'aller jusqu'au bout dans les poursuites.

Avant que le suicide ne l'oblige à y mettre fin. "Il est trop tard pour faire quoi que ce soit pour Aaron Swartz", regrette le texte de la pétition. Manifeste de la guérilla pour le libre accès, par Aaron Swartz #pdftribute. My Aaron Swartz, whom I loved. We used to have a fight about how much the internet would grieve if he died.

My Aaron Swartz, whom I loved

I was right, but the last word you get in as the still living is a hollow thing, trailing off, as it does, into oblivion. I love Aaron. I loved Aaron. There are no words to can contain love, to cloth it in words is to kill it, to mummify it and hope that somewhere in the heart of a reader, they have the strength and the magic to resurrect it.

I can only say I love him.