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Boson de Higgs ''Particule de dieu''

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Onde gravitationnelle. Big Bang : une découverte historique - Europe1.fr - Sciences. Frères Bogdanov. En zététique, un dieu n’est soumis à l’analyse critique que dans la mesure où des « preuves » sont apportées à son existence, ou bien lorsque l’hypothèse « dieu » est utilisée dans une démonstration rationnelle. Entraînons-nous à trouver les erreurs dans l’argumentaire des deux frères. Nous n’avons pas encore fait ce TP. Vous en faites une analyse ? Ecrivez-nous. Richard Monvoisin Extrait d’une interview au journal Suisse Le Matin – Les frères Bogdanov: « Dieu est une radiation fossile », par Anne-Catherine Renaud, 5 juin 2010. (…) Vous avez enfin trouvé Dieu? Igor : Oui, Dieu existe de manière très évidente.

Grichka : Nous pensons que l’on peut aller vers Dieu à travers l’astrophysique théorique et la cosmologie. Mais c’est quoi Dieu pour vous : un rayonnement, une force, une intelligence, un être ? Igor : Il est une intelligence, un esprit. Grichka : Dieu est une information au sens qu’il est immatériel. Si l’existence de Dieu est prouvée, qu’en est-il de la foi ? Planck. Constante de Planck: h = 6,626 069 57 10-34 joule.seconde Constante de Planck réduite: = 1,0545771628 10-34 joule.seconde Cette constante est utilisée pour donner la taille des quanta. C'est le coefficient de proportionnalité entre l'énergie du photon et sa fréquence. C'est aussi une mesure de l'unité de moment angulaire des particules. La rotation de la Terre correspond à 1068 unités de Planck. Voir Principe d'incertitude d'Heisenberg D'une petitesse extrême, cette valeur représente la plus petite quantité d'énergie existant dans le monde physique.

Max Planck, physicien allemand (1858-1947), prix Nobel en 1918, proposa l'idée suivante en 1900: Les radiations électromagnétiques sont émises ou absorbées par paquets, les quanta. Pour une radiation de fréquence , le quantum d'énergie est: E = h . En 1905, Einstein émit l'idée que la lumière aussi est composée de quanta, les photons. L'effet photoélectrique (Philipp Lenard: 1902) établit clairement la nature corpusculaire de la lumière. Temps de Planck. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le temps de Planck, également appelé échelle de Planck, est en physique l'unité de temps du système des unités de Planck. Ce temps peut être noté tP. Définition[modifier | modifier le code] Le temps de Planck[1] est défini par : avec : soit dans le système international d'unités : avec une erreur relative de l'ordre de 10-3 .

Le temps de Planck est le plus souvent utilisé comme ordre de grandeur caractérisant des phénomènes encore mal décrits par la physique actuelle; c'est pourquoi on l'arrondit généralement à 10-43 s. Interprétation[modifier | modifier le code] Le temps de Planck est le temps qu'il faudrait à un photon dans le vide pour parcourir une distance égale à la longueur de Planck[1]. L'âge de l'Univers est estimé à environ 14 milliards d'années, soit 4×1017 s. Notes et références[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Portail de la physique.

Le Grand collisionneur de hadrons. Le LHC, l’accélérateur de particules le plus grand et le plus puissant du monde, est le dernier maillon du complexe d’accélérateurs du CERN. Il consiste en un anneau de 27 kilomètres de circonférence formé d’aimants supraconducteurs et de structures accélératrices qui augmentent l’énergie des particules qui y circulent. À l’intérieur de l’accélérateur, deux faisceaux de particules circulent à des énergies très élevées et à une vitesse proche de celle de la lumière avant de rentrer en collision l’un avec l’autre. Les faisceaux circulent en sens opposé, dans des tubes distincts placés sous un vide très poussé (ultravide).

Ils sont guidés le long de l’anneau de l’accélérateur par un puissant champ magnétique, généré par des électroaimants supraconducteurs. Ces derniers sont composés de bobines d’un câble électrique spécial fonctionnant à l'état supraconducteur, c’est-à-dire conduisant l’électricité sans résistance ni perte d’énergie. Large Hadron Collider. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Le Large Hadron Collider (LHC, ou Grand collisionneur de hadrons[1] en français) est un accélérateur de particules mis en fonctionnement le [2] et inauguré officiellement le au CERN. Situé à la frontière franco-suisse, c'est le plus puissant accélérateur de particules au monde construit à ce jour, dépassant en termes d'énergie le Tevatron aux États-Unis. Il est même présenté comme le plus grand dispositif expérimental jamais construit pour valider des théories physiques[Note 1].

Le LHC a été construit dans le tunnel circulaire (26,659 km de circonférence[3]) de son prédécesseur, le collisionneur LEP (Large Electron Positron). Ces protons seront accélérés jusqu'à une énergie de 7 TeV, soit près de 7 500 fois leur énergie de masse. Situation du LHC. Objectifs[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Le coût total du projet est pour le CERN de 6 milliards de francs suisses[5] (soit environ 5,2 milliards d'euros).

Sciences : La « particule de Dieu » enfin dévoilée. Au terme de deux présentations historiques effectuées au Cern *, à Genève, le directeur de l'organisation, Rolf Heuer, se tourne vers l'auditoire, un grand sourire aux lèvres: «Je pense qu'on l'a. Qu'est-ce que vous en dites?» Dans une grande clameur et un tonnerre d'applaudissements, les dizaines de physiciens réunis dans la salle lâchent un vibrant «Yeah!».

L'explosion de joie est à la mesure de la découverte, l'une des plus importantes de ces dernières décennies: après trente ans de traque, ils ont enfin mis la main sur le boson de Higgs , la «particule de Dieu». Ce boson serait à l'origine d'un mécanisme, imaginé au début des années 1960 par le Britannique Peter Higgs et les Belges François Englert et Robert Brout, qui expliquerait la notion même de masse. Sandrine Laplace, qui a travaillé pour le compte du CNRS sur Atlas, explique la prouesse expérimentale par une analogie. Une masse entre 125 et 126 GeV Le boson pèserait environ 130 fois la masse d'un atome d'hydrogène.

Boson de Higgs. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir BEH. Le boson de Higgs, aussi connu sous d'autres noms dont celui de boson BEH, est une particule élémentaire dont l'existence, postulée indépendamment en 1964 par Robert Brout, François Englert, Peter Higgs, Carl Richard Hagen, Gerald Guralnik et Thomas Kibble, permet d'expliquer la brisure de l'interaction unifiée électrofaible en deux interactions par l'intermédiaire du mécanisme de Brout-Englert-Higgs-Hagen-Guralnik-Kibble et d'expliquer ainsi pourquoi certaines particules ont une masse et d'autres n'en ont pas[3].

Son existence a été confirmée de manière expérimentale en 2012 grâce à l'utilisation du LHC et a conduit à l'attribution du prix Nobel de physique à François Englert et Peter Higgs en 2013. Description[modifier | modifier le code] Le modèle standard de la physique des particules ne prédit l'existence que d'un seul boson BEH : on parle de « boson de Higgs standard ». DØ et CDF.