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Ces femmes au service de la France en 14-18. Durant la Première Guerre mondiale, les femmes ne se sont pas contentées d’être des mères et des épouses affectueuses et soucieuses de renforcer le moral de leur mari ou de leur(s) fils au front.

Ces femmes au service de la France en 14-18

Devenues chefs de famille, elles se sont aussi mobilisées, ont participé à l’effort de guerre, qu’elles aient été paysannes ou ouvrières. Plusieurs d’entre elles ont apporté un soutien direct à l’armée comme infirmières, espionnes, « marraines de guerre » ou comédiennes. Nombreuses ont été les veuves. >Voir ces femmes, héroïnes oubliées Les paysannes, « gardiennes du territoire national » Dès l’été 1914, les femmes remplacent les hommes partis au front. En plus d’assurer le quotidien de la ferme, elles se consacrent à la culture des champs. À cela s’ajoute le poids de l’éloignement du mari ou du (des) fils. Carnet de chants - Tourneuses d’obus. La Grande Guerre est une période charnière de l’histoire des droits des femmes.

Carnet de chants - Tourneuses d’obus

Avant-guerre, si nombre d’entre elles sont militantes, “suffragettes” battant le pavé à la poursuite du droit de vote, les consciences s’élèvent moins chez les hommes. La guerre et son effort marquent un tournant. A partir de 1915, le conflit s’installe dans la durée, huit millions d’hommes sont mobilisés. La société française a besoin des femmes non seulement aux champs – l’exception jusqu’alors – mais aussi dans les usines et les arsenaux. Les femmes rejoignent l’espace professionnel. En encourageant cette participation à l’effort de guerre, la musique apporte sa pierre à l’édifice de l’émancipation et permet de dissiper le mythe de la femme fragile.

On a les bras dans l’huile On est dure au métier Nous avons des ampoul’s aux mains Et nous somm’s des femm’s pas fragiles Les Tourneuses d’obus est la chanson la plus connue rendant hommage à ces « munitionnettes ». L'artillerie. Edward Alexander Wadsworth, Dazzle-ships in Drydock at Liverpool (Navires camouflés en cale sèche à Liverpool), 1919, huile sur toile, 304,8 x 243,8 cm, National Gallery of Canada, Ottawa Edward Alexander Wadsworth (19889-1949) est un peintre et graveur britannique proche du courant vorticiste, un mouvement d’avant-garde britannique du début du XXe siècle.

L'artillerie

Pendant la Première Guerre mondiale, il collabore avec la Royal Navy dont il peint les coques de bateau pour mieux les camoufler. En 1917, en pleine première bataille de l’Atlantique, Norman Wilkinson, lui-même peintre et lieutenant de la marine, imagine une solution innovante pour camoufler les coques des bateaux en les recouvrant de peintures géométriques et contrastées. Ces lignes ne font pas disparaître le bateau dans le paysage mais brouille la vision de l’ennemi qui ne sait plus de quel type de bateau il s’agit, ce qui rend beaucoup plus difficile le travail des sous-mariniers en charge de les couler.

BD Les gueules cassées. POUR UN PEU DE BONHEUR - tome 1 - Grand Angle - BD. La chambre des officiers jpg crop display. La Guerre 14-18 - La couleur des larmes - 75 - Eric Kennington. Explosions. 14-18 Folie meurtrière - Jacques Hubert FROUGIER - Vos poèmes - Poésie française - Tous les poèmes - Tous les poètes. La Guerre 14-18 - La couleur des larmes - Liste des peintres. La Guerre 14-18 - La couleur des larmes - 14 - John Nash. La Grande Guerre dans les toiles de Thérèse Bisch. Histoire des arts : les corps cassés de la guerre-la Première Guerre mondiale...

Bande de filles, film de Céline Sciamma.

Histoire des arts : les corps cassés de la guerre-la Première Guerre mondiale...

Drame (France), 2014, 1 h 55. Depuis deux très beaux films (Naissance des pieuvres et Tomboy), Céline Sciamma poursuit une réflexion passionnante sur les genres et leurs ambiguïtés, sur la redéfinition du corps des femmes, sur la notion même de féminité. Avec Bande de filles, elle confronte son cinéma subtil à un genre très codé, le film de banlieue français. Marieme est une collégienne de troisième confrontée à de multiples pressions. Mère de remplacement pour ses deux petites sœurs, elle subit la violence de Djibril, grand frère protecteur et agressif qui s'est substitué à un père absent.

Les espaces et les habitants de la cité vus sous l'angle de la domination masculine. Céline Sciamma décrit la banlieue sous l'angle des relations inégalitaires entre hommes et femmes. Afin de tenir la dragée haute à son frère, Marieme entame un processus de transformation physique qui la conduit à adopter des attitudes plus viriles.