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La promesse recèle une part d’infini, une part d’éternité qui nous dépasse.

La cérémonie du handfasting. Le handfasting est une tradition qui nous vient directement des pays Anglo-Saxons. A la base, elle consistait en une cérémonie païenne au cours de laquelle deux personnes pouvaient se promettre l’un à l’autre durant une période de un an et un jour. Au bout de cette période, si aucun enfant n’avait couronné l’union, une séparation à l’amiable pouvait être prononcée. Aujourd’hui, cette cérémonie a bien évidemment évoluée et il n’est plus question de répudier votre femme sans embarras si elle ne vous a pas donné d’enfants au bout d’un an ! Mais alors, quel est l’intérêt du handfasting ? Nous vous en avions déjà parlé récemment, les mariages civils manquent parfois de romantisme, et nombreux sont les couples qui, pour pallier à ce manque d’intimité, prévoient une cérémonie ou un rituel au cours de leur union, afin de donner une touche d’originalité et d’émotion à leur grand jour.

C’est bien dans cette volonté de combler un manque de romantisme que s’inscrit la cérémonie du handfasting. Les traditions du mariage hindou. En Inde, selon les régions, les castes et les religions existantes, les mariages différent. Chaque état et chaque caste suit des rituels différents au cours des cérémonies, de la même façon que les tenues nuptiales varient, mais certaines coutumes se répètent dans la majorité des célébrations.

Nous allons les découvrir dans cet article. La tradition hindou veut que toute une série de cérémonies prénuptiales aient lieu avant le jour du mariage qui peut durer entre 3 et 7 jours. Une fois celles-ci célébrées, voici les rituels qui se dérouleront tout au long du jour du mariage : Le Haldi (curcuma) Ce rituel concerne les préparatifs des deux mariés, juste avant leur union. Baraat (la procession) De la maison du marié au lieu des festivités, traditionnellement, le marié se déplaçe à dos de cheval ou d’éléphant bien que de nos jours il est aussi fréquent de le voir à bord d’un véhicule luxueux couvert de fleurs.

Varmaala (guirlande de fleurs) Kanyadaan (don) Saat Phere (les sept étapes) L'Encantada. Domaine Mariage Moures. Loin Devant. Family honors grandma's memory. Margaret Hubl passed away last July in Nebraska at the age of 89, but it’s safe to say her legacy will continue to live on. You see, Hubl was a quilter. While some people make quilts as an afternoon pastime, she made them to communicate her love for her family. This was very clear at her funeral, when her children and grandchildren decided to drape all of the quilts that she had made over the backs of the pews. Courtesy of Christina Tollman Hubl's quilts were draped over each pew at her church to honor her memory. “Never did I imagine how many there were,” Hubl's granddaughter, Christina Tollman, told TODAY. And while the quilts are special, the meaning behind them really takes the cake.

Hubl spent her life caring for her family. RELATED: Bride asks 92-year-old grandmother to be a bridesmaid: 'She is my best friend' Hubl initially started sewing in order to make clothes for her children, but as they grew up and had kids of their own, she had to make those kids something as well. Sens des funérailles. Père Jean-Christophe Chauvin : Christian de Cacqueray est directeur du Service Catholique des Funérailles, qu’il a fondé en 2000 à la demande du cardinal Jean-Marie Lustiger. Marié et père de quatre enfants qui ont aujourd’hui entre 22 et 14 ans, il est titulaire d’une maîtrise de Droit public et diplômé de l’Institut d’études Politique de Paris. Après avoir commencé sa carrière professionnelle dans le conseil auprès des entreprises concernant leurs relations avec les pouvoirs publics, il a rejoint à l’âge de 30 ans (en 1992) le groupe des Pompes Funèbres Générales en tant que directeur de la communication.

Dans le livre qu’il a écrit en 2002, La mort confisquée, il raconte dans un chapitre intitulé Ne dites pas à ma mère que je suis croque-mort, elle me croit dans la communication : « Je suis entré aux pompes funèbres un 2 novembre, jour des morts. Je ne l’ai pas fait exprès, mais je ne suis pas prêt de l’oublier. Ce jour-là, je suis resté cloîtré dans mon bureau. Échange de vues.