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Audrey211

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Les produits vantés par les stars de télé-réalité dangereux pour la santé ? Cela n'a échappé à personne, encore moins aux jeunes adolescents qui suivent leurs candidats de télé-réalité préférés sur les réseaux sociaux : nous assistons à une invasion de placements de produits ! Thé amincissant, blanchiment des dents, compléments alimentaires, c'est le business des stars de la télévision française. Mais ces produits fonctionnent-ils vraiment ? Comportent-ils un risque sur la santé des consommateurs ? Un marketing très bien calibré Jessica Thivenin [VIDEO], Nikola Lozina, Julien Tanti, Coralie Porrovecchio, Thibault et Shanna, Ricardo et Nehuda, Amélie Neten, Martika, Jessy et bien d'autres (la liste est longue), tous vantent les mérites d'un ou plusieurs produits et publient un post sponsorisé sur Instagram ou Snapchat au moins une fois par semaine.

Grâce à une phrase d'accroche bien rodée et un code promo, ils incitent leurs abonnés à acheter des marques comme Fittea, Natural Mojo, Anaca 3 ou encore BBryance. BBryance Natural Mojo Quels sont les risques ? Fittea. Passer trop de temps sur Instagram favorise les troubles alimentaires. Instagram est le royaume de la contradiction, où corps efflanqués et healthy food côtoient fesses plantureuses et pizzas huileuses. Cette relation ambigüe dit quelque chose de notre rapport au corps et à la nourriture, entre amour et dégoût. « A force de voir des filles longilignes ou super sportives sur Insta, j’ai commencé à me regarder, moi et mes petits bourrelets, moi et ma cellulite, moi et mes grosses fesses.

Et à déprimer », raconte Julie*, 19 ans, qui a lentement glissé vers l’anorexie. Instagram met en scène le corps et la nourriture (parfois les deux en même temps), de manière un peu obsessionnelle, voire totalement obscène. Crédit photo : Med Coolman / Flickr Une récente étude anglaise, menée par l’University College de Londres, établit un lien direct entre le réseau social et les troubles de l’alimentation. L’image règne en maître sur le réseau social aux 40 milliards de photos et de vidéos postées. *le prénom a été modifié. Au secours, Instagram me donne des complexes ! - ElleAdore. Instagram est un endroit étrange. Si c'est là que le mouvement body-posi s'est développé, et si l'on y trouve de plus en plus de personnes qui prônent l'acceptation de soi, c'est aussi un lieu qui a tendance à développer des complexes.

La faute aux hashtags et aux publications suggérées, qui nous montrent des hommes et des femmes aux physiques "parfait", c'est-à-dire qui correspondent aux standards de la société. Pas facile de ne pas complexer quand, en boucle, on voit des corps fins, musclés, des femmes aux cheveux brillants et bien coiffés, à la peau lisse et nette… Bref, Instagram est un endroit où "perfection" semble être, pour beaucoup, le maître-mot.

Mais attention à ne pas vous laisser avoir. Car comme bien souvent, la perfection a un prix, et ça, de plus en plus de personnes tentent de le dénoncer. Eh oui : sur Instagram, les photos sont bien souvent retouchées. C'est officiel : instagram est l'application la plus nocive pour notre santé mentale. Les problèmes mentaux et les réseaux sociaux ont toujours eu un lien particulièrement complexe et il est difficile de juger de nos comportements sur internet. Partager sa vie sur la toile offre l'opportunité d'en gommer tous les côtés sombres et on peut y dévoiler une version aussi belle que mensongère de la réalité. Vous avez déjà probablement scrollé à l'infini sur le compte Instagram d'une personne à la vie « naturellement » parfaite en pensant que la vie est franchement injuste. Mais les plateformes telles qu'Instagram, Tumblr ou encore Twitter ne sont pas uniquement dédiées à notre voyeurisme un tantinet masochiste, elles ont également la capacité d'ouvrir nos perspectives et nous faire prendre conscience d'autres réalités - en théorie.

Il est intéressant de constater que malgré les récentes polémiques autour de la censure de vidéos LGBT, YouTube est apparu comme la plateforme la moins nocive. Texte Wendy Syfret. CYBER-HARCÈLEMENT : L'enfer que j'ai vécu pendant 1 an. Elle ne se trouvait pas belle : Milly, 11 ans, annonce son suicide sur Instagram. Une petite fille de 11 ans s’est suicidée en janvier 2016 en Irlande. Elle avait annoncé sur son compte Instagram son intention de se donner la mort. Voilà pratiquement deux ans que la petite Milly a choisi de se donner la mort. Le 4 janvier 2016, en Irlande, l'enfant de 11 ans a perdu la vie à l’hôpital, trois jours après avoir essayé de se suicider, rapporte ce vendredi le «Mirror». Sur son compte Instagram, la fillette partageait régulièrement ses états d’âme, ne cachant pas son envie de mettre fin à ses jours.

Dans ce journal virtuel, elle racontait à quel point elle était malheureuse à cause de son physique, se dévalorisant régulièrement et écrivant même que les «belles filles ne mangent pas». C’est un premier message le 3 novembre 2015 qui avait mis la puce à l’oreille. Ce jour-là, elle avait fait part de son intention de mourir à une date précise. Toute reproduction interdite. Les réseaux sociaux, un vrai danger pour les plus jeunes. Des espaces de convivialité qui ne sont pourtant pas sans danger.

Une étude parue lundi et réalisée pour l'Union nationale des associations familiales (Unaf), la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) et l'association Action innocence, pointe les risques des réseaux sociaux pour les ados. Selon celle-ci, 48% des 8-17 ans indiquent avoir un compte sur Facebook.

Problème: alors que le célèbre réseau est en principe interdit aux moins de 13 ans, 18% d'entre eux s'y connectent, dont 9 % avec l'accord de leurs parents. Une statistique préoccupante pour Isabelle Falque, vice-présidente de la Cnil «car cette tranche d'âge est candide et donc plus exposée». Le manque de vigilance souligné Autre sujet de préoccupation: les comportements addictifs des jeunes à l'égard de Facebook. Car 59% d'entre eux déclarent s'y connecter tous les jours et seulement 23% des parents limitent leur durée de connexion. Conseils aux parents Le manque de vigilance souligné Conseils aux parents.

L'impact des réseaux sociaux sur notre vie. Qu'ils soient sur invitation, réservés aux professionnels ou ouverts à tous, les réseaux sociaux et les blogues prennent de plus en plus de place dans notre vie. Avec des millions d'adeptes - Facebook compterait plus de 2.13 milliards d'usagés mensuels -, ils s'imposent comme outils de communication et de changement. Bien sûr, les réseaux sociaux offrent des avantages à ceux qui s'y inscrivent, mais aussi quelques inconvénients. Nous énumérons quelques-uns des impacts ici. Les avantages des réseaux sociaux Des outils de communication Les réseaux sociaux sont rapidement devenus un outil de promotion pour les entreprises commerciales et les fournisseurs de service. Ils sont aussi des vecteurs de changement, de mobilisation. Des outils d'information C'est également via les réseaux sociaux que les entreprises de presse et les organes de communication informent leurs membres (followers) des derniers développements dans l'actualité.

Des outils de rapprochement Des outils de partage L'intimidation. Comment les réseaux sociaux influencent le comportement des ados | Ado Zen. Les chercheurs de l’UCLA (Université de Californie) ont découvert que les adolescents ressentaient autant de plaisir lorsqu’il récoltait des « j’aime » sur leurs publications et celles de leurs pairs sur les réseaux sociaux qu’en mangeant du chocolat ou en gagnant de l’argent. Au niveau du cerveau, c’est le noyau accubens, intégré dans le circuit de la récompense et particulièrement sensible pendant l’adolescence, qui s’active alors.

Ce qui a été constaté également est que l’observation du comportement des pairs (connus ou inconnus) pèse sur la décision d’aimer une publication. L’avis et l’action d’aimer une photo est fortement influencé par le nombre de « j’aime » attribués par la communauté. Cette « validation sociale » alimentée par un désir d’appartenance, de conformité et une peur du jugement peut avoir des effets positifs comme négatifs.

Ainsi, des « j’aime » sur des photos représentant des situations à risque peuvent inciter les adolescents se mettre en danger… Source Noyau Accubens. Les dangers d'Instagram - Le guide d'influence. Instagram, cet univers utopiste où tout est surjoué : poses, décors, mise en scène et j’en passe. On a du mal à déceler le vrai du faux et c’est parfois effrayant. Pourtant les réseaux sociaux auraient un impact non négligeable sur la santé mentale de notre génération. Bon, ça paraît un peu disproportionné d’aller jusqu’à dire que nous pourrions être à ce point perturbés par Instagram. Et pourtant … Le réseau social pourrait avoir un impact négatif autant pour nous, internautes avec nos 100 abonnés qui se courent après, que pour les influenceurs.

Oui, les personnes que nous suivons pour leurs photos magnifiques aux quatre coins du monde ou que nous envions pour leurs nouveaux vêtements offerts par les marques. Explications. Pour nous, confrontés tous les jours aux photos des influenceurs en vacances, le phénomène Instagram pourrait nous amener à nous sentir exclus pendant que d’autres profitent de la vie.

Influence sociale. L'influence sociale couvre un champ très vaste. Les phénomènes étudiés peuvent être observés au quotidien. Les normes sociales[modifier | modifier le code] Une norme sociale est définie comme étant une règle implicite ou explicite qui prescrit le comportement adéquat à adopter en société dans des situations bien déterminées. Ces normes sont donc une source d'influence importante de par le fait qu'elles prescrivent aux gens la façon dont ils devraient se comporter afin de ne pas être catégorisés comme « hors norme ». Les normes sociales sont influencées par la culture et peuvent donc varier drastiquement d’un pays à l’autre ainsi que toucher des sujets très divers comme la nudité ou la manière de se saluer. Les normes régulent également beaucoup de domaines différents de la vie quotidienne comme les repas, les loisirs, l’espace personnel, le temps, les interactions, etc.

Le rôle social comprend un ensemble de normes attendues sur la façon de se comporter[2]. Aux États-Unis, David G.