background preloader

Atypique

Facebook Twitter

Rachel Désir

L'atypique écrivaine.

Ben...

Mélancoliquement girl... Just moi... Je suis zoom de toi... Moments de vie. Papillons dans le ventre. - La nudité de l'esprit. Vendredi sait... - La nudité de l'esprit. Espalier. - La nudité de l'esprit. Reflet de vie. - La nudité de l'esprit. Fugue temporelle. - La nudité de l'esprit. Liberté. - La nudité de l'esprit. Tramontane. - La nudité de l'esprit. Printemps. Spmetnirp. - La nudité de l'esprit. Traviata. - La nudité de l'esprit. Mon p'tit bout. - La nudité de l'esprit. Quelque chose à réécrire. - La nudité de l'esprit. Au bon coin. - La nudité de l'esprit. Au reflet de ma mère. - La nudité de l'esprit. Au reflet de ma mère.

Au reflet de ma mère. - La nudité de l'esprit.

À l'aube du mendiant au chevet d'un naufrage, aussi loin m'entraîne la larme au reflet de ma mère. Diligence d'une prunelle le carrousel de l'âge tendre, au fin fond de nos mirettes quand frissonnait l'airelle, le printemps et sa jupette couronnaient nos années. Ce que le cœur ne dit pas les doigts le jouent. - La nudité de l'esprit. Tant... - La nudité de l'esprit.

Au reflet des saisons. - La nudité de l'esprit. Tant que cause l'orchidée. - La nudité de l'esprit. Tant que cause l'orchidée.

Tant que cause l'orchidée. - La nudité de l'esprit.

Emmène moi dans ton rêve là où la planète est bleu, ce bleu du ciel sans horizon. L'aveugle a souri quand tu es partie pourtant dans ma prunelle brouillonne le reflet d'une mère. L'herbe tremblante caresse ma main, écheveau de misère tes cheveux blancs nappent la couche avortée. Aux plaisirs des dieux ta tendresse en otage, un dernier bagage la larme de mars. Amour de draps blancs, grandma starts again. - La nudité de l'esprit. Antivirus.

Mon ange, mon démon. Les fleurs de mon mal ont trouvé leur jardin. Les fleurs de mon mal ont trouvé leur jardin.

Les fleurs de mon mal ont trouvé leur jardin.

Belle du dimanche, caresses apprivoisées, corbeille de roses blanches, corsage affriolé, elle sait faire la manche, L'impôt de la vie. Comme un ange... Rachel Désir. Les sentiers. Les sentiers.

Les sentiers.

Les compagnons de mes vieux jours, comédiens au petit jour, tous ces silences d'un coin de rue, se ruent tous mes soleils. Défilent les heures creuses à pas cadencé, une main, une chemise et la vie glisse... L’asphyxie de la tendresse, du bout des doigts la caresse des vieux gestes. Puis ce vieux con de chien errant le temps à bout de bras. La sourdine des mots, passants. Les demoiselles d'Avignon. Le langage des astres. Le petit marseillais. Le petit marseillais.

Le petit marseillais.

De port en train s’entrelacent les dimanches, un petit air de connivence. Allez maestro ! Joue moi encore tous les sanglots de novembre... Ta chemise blanche étendard du grand boulevard, tu es cet oiseau sur la branche, merle charmeur. Flirte la fièvre, un bout de trottoir et ta main charme toutes ces fesses à scandale. . . . * Le surréalisme d'un écrit... Le hard existentiel ne le cofondez pas avec un récit autobiographique. Fraises des bois. El Chichón. Émeraude. Chapelet du temps d'une littéraire autodidacte. Chapelet du temps d'une littéraire autodidacte.

Chapelet du temps d'une littéraire autodidacte.

Un p'tit calepin, joli gamin, entre mes mains. La vieille intello a pris le dernier métro, chantent ses sanglots au bord de l'eau. Musique sur le parvis et larmes au vent d'autan mais je reste cette bohémienne. Sous la tonnelle dans ma gibecière des vieux bouquins rapiécés... Il n'est plus belle misère que celle de ma bohème, un vol d'oies sauvages comme c'est étrange mon ange ces frissons de froufrou et si on se faisait belle, histoire de guincher dans un autre temps. Les parapluies de l'automne, autant en berce le temps à la lèvre du jour riverain, le soleil mendiant insouciant. Parole d'auteur. Comme un tiroir. Pourpre people. Bohème au vent. Une p'tite compo... Consigne. Fingerless glove.

Fingerless glove.

Fingerless glove.

Je me fais mon p'tit ciné à la porte de minuit quand grince le verrou de la vie. Mais la vie, Mélanie, c'est ce gosse qui sourit quand sa mère découche sans bruit. Mon p'tit loup, ma p'tite louve, les jours sont des goulus... Flanche un vieux parapluie et moi je planche sur un ciel gris. Mira dort à jamais, qu'il a dit le poète les jeux interdits glissent dans ta prunelle, mélancolique girl. Pigeon vole. Ma plume en deuil. Saint Valentin 2018. L'amant apprivoisé. L'amant apprivoisé.

L'amant apprivoisé.

Des accrocs sur sa veste, des primevères à la main, il était assis sur un de ces bancs publics où frissonne la nostalgie des va-nu-pieds... Il avait le cœur SDF, la fièvre gourgandine des quatre chemins. Dans sa prunelle toutes ses caresses de bohémien valsaient précieuses au petit matin. Un petit bon dieu des années 30, musette au vent... Venise, Capri, Vérone, Paris et tant d'autres, il avait le flegme de ces charmeurs baroudeurs, d'écluses en quais ne jamais ouvrir la porte d'une église simplement froisser sa chemise et repartir. Musique coupée. Plaisir de vivre. Fleur de cendre. L'inconnue. P'tit cœur. Par la lucarne.. Par la lucarne..

Par la lucarne..

Tu te déshabilles ma pucelle dans la vallée des ombres, gitane sans charme au flamenco de l'hiver. Tous nos tangos moroses aux sanglots libertins, blonde d'un entre-seins au crépuscule dînatoire flambent nos aubes libertines. Ci-gît clandestine la larme orpheline, tant nos caresses ont grimé un été indien. Retiens nos draps de libres coucheuses à la dormeuse. Au port fugueur de nos jeunes années tant de marins ont sculpté de leur mains notre cœur d'orphelin. Quand les cieux s'éveillent. La môme-vieille. Et quand ton mec te saoule...

Mon effrontée. Qui es-tu ? L'hôtesse de l'air. Érotiquement girl. Érotiquement girl.

Érotiquement girl.

Et...J'entends le murmure de septembre quand se meurent les aurores aux reflets de mes roses.L’équinoxe lègue ses pleurs au solstice hivernal, pierre tombale les longs sanglots de décembre aux aubes moroses. Et...Je songe aux ricochets des rivières estivales. Et se presse mon pas quand dans le ressac je vois arriver la vague. Légitime bohème ; en un corset si fin un cœur apprivoisé,lycéenne aux caresses sans abri,à l'écueil de mes seins ta main s’enfuit ; nébuleuse à la traîne joueuse, se brûlent nos ailes. À la digue du temps, en aval la cavale des saisons dénudées,me ressemble novembre aux spirales de cendres. Petite fille aux yeux clairs je t'ai vu mourir entre mes bras ;au fin-fond de nos draps. Petit mot de l'auteur :Petite fille aux yeux clairs ; ben... À méditer. Esprit de Noël. Slogan flingueur. L'âtre. La dormeuse du val... Petit papa Noël ... La lettre. L’île aux merveilles. L'amante. Les vieux intellos. Les vieux intellos. Le silence est la noblesse de la parole, de lèvres sages enfouissant le verbe des yeux humides jusqu’au fin fond d’une gorge et la bouche pleureuse sèche ses larmes dans le désert d’une intimité cachée dessert d'une vie.

Les vieux intellos... Ils ont la larme au bord des yeux, la page toujours trop pleine à la rame d'une plume rétro. Rame d'un métro s’asseyent tous leurs dimanches sur un quai, le reniflard à fleur de cœur. Guinche la pluie... Pléonasme : Typex et gomme, texte effacé. Rachel Désir. Petite bohème. Haïku des anges.

Broderie d'eau. Parce que cette citation est mon moi propre. Au déclin de l'aurore. Les portes du pénitencier. - La nudité de l'esprit. Le Bienheureux. Somme à lie, Somalie. La boiteuse. S'il m'avait dit... Douane fugitive. Couac d'amour. Sème-merde. - Accueil. Aucun travail n'est inutile. Quand partent les oies sauvages. Protagoniste pantin d'amour, antagoniste le clown triste. L'espérance des sanglots, esperança de sollozos. L'espérance des sanglots, esperança de sollozos. La traversée des feuilles mortes et altesse s'enfuit la vie. - « Mon pauvre vieux chien tu aimes encore prendre le soleil...

Allez ! Viens ! On se tague une borne, histoire d'une histoire sans parole. » Et sous cette alcôve suppléante de misère ; deux ou trois verres du malheureux, la force de survivre. Les gamins de Paris, le cœur à l'oubli, ont longtemps chanté cette triste mélodie. Quatre notes sur un bout de papier, mon beau Noël blanc a quitté sa parure ; et si le berce encore le vent de l'automne... L'albatros. Coeur de bohème. Le bégueule. Le dernier port... Extrémiste amour. Flosculeuses. Nouvelle culte. Ancien combattant. Comme un homme... Mon p'tit clochard au cœur lourd, ta main tremblante sur le dernier quai, hibernent tes souvenirs au bruit des wagons. Se griffonne un sms, résonne un aïe phone, chassé-croisé une lèvre, des idées noires... C'était hier, un petit minois au sourire narquois te dévisageait au travers d'une vitre de ce train vagabond des frontières. La prunelle endimanchée tu avais le cœur au sud, elle, elle se dirigeait vers le Nord.

Les violons de novembre auront longtemps joué l'orphelin, se tortille sur les vieux bancs de cette gare une lettre à Élise. Elle avait six heures d'attente pour son prochain train. . - « Mademoiselle ! Et la radio chantait : « Ah ! La grand'Blème. La grand'Blème. Une larme de rue et le cœur cour-vêtu... Allez ! Essuyette ta petite mouillette. Un air rétro d'un vieux métro... Au trémolo survêtu notre petite guinguette. S'il plaît au poète de s'inventer des mots c'est parce que la vie est le mine de ses rimes. Il arrive un jour où l'on gare ses valises, nos rêves dans la soute à bagages... Mimosa, un mime osa... Déstockage limité.