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Défaut grec (suite 1)

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Grèce : le retour de la crise ? Alexis Tsipras tente un nouveau coup de poker. Mardi 12 avril au soir, le ministre des Finances grec, Euclide Tsakalotos a annoncé que le gouvernement soumettrait à la Vouli, le parlement hellénique, « la semaine prochaine » les réformes de la fiscalité et des retraites. Cette décision est un défi lancé à la face des créanciers.

La procédure prévue par le mémorandum signé en août dernier prévoit en effet que le gouvernement grec ne soumette au vote des députés que des textes qui ont été validés par les créanciers. Ceci était inscrit en toutes lettres dans l'accord signé : la Grèce ne devait pas procéder à des mesures unilatérales. Passage en force Or, Euclide Tsakalotos a retrouvé des accents martiaux ce mardi soir, mettant en avant la « souveraineté » de la Grèce, comme lors des moments de tension du premier semestre 2015. « Le gouvernement grec est souverain et c'est à lui que revient la décision sur la manière de réaliser les objectifs du mémorandum », a-t-il déclaré. Un pari risqué. Le chantage du FMI pousse Athènes à chercher le soutien de Moscou. Economie URL courte Vu le chantage exercé par le Fonds monétaire international à l'égard de la Grèce, cette dernière doit demander à la Russie, membre influent du FMI, de signaler cette pratique inadmissible lors d'une réunion du Conseil des gouverneurs du Fonds, a déclaré Notis Marias, député grec du Parlement européen, à l'agence Sputnik.

Selon une révélation de WikiLeaks, lors d'une téléconférence consacrée au sort de la Grèce, le directeur du Département Europe du FMI, Poul Thomsen, et la chef de la mission du FMI pour la Grèce, Delia Velkouleskou, ont envisagé l'idée de provoquer la faillite du pays afin de lui faire accepter les nouvelles mesures d'austérité non prévues par le troisième plan d'aide à Athènes. "Le FMI fait chanter la Grèce, et nous le savons très bien. Notre gouvernement connaît parfaitement la stratégie du FMI. WikiLeaks n'a fait que confirmer cette politique de chantage", a affirmé M. Marias. © AFP 2016 Louisa Gouliamaki. Exclusif : la Lettre de Christine Lagarde du FMI au Premier ministre Grec Alexis Tsipras. Je vous traduis ici rapidement la lettre que Christine Lagarde, la patronne du FMI, a publié sur son site mais, hélas, qu’en anglais et qu’elle vient d’adresser à Alexis Tispras en réponse aux enregistrements qui ont fuité via WikiLeaks, affaire bien vite oubliée et chassée par le scandale de Panama, qui lui-même sera tout aussi vite oublié puisque l’actualité se chargera de lasser l’opinion de ce sujet.

En attendant, le FMI, loin de faire amende honorable, maintient sa position et Christine Lagarde se paie même le luxe de s’interroger sur le fait de continuer à envoyer des collaborateurs du FMI en Grèce si c’est pour que leurs conversations soient écoutées. Bref, le FMI ne se veut pas particulièrement accommodant avec la Grèce, et les demandes risquent d’être encore une pilule plus que difficile à avaler pour les Grecs dans les semaines qui viennent. Charles SANNAT A Son Excellence Monsieur Alexis Tsipras Premier ministre de la République hellénique Athènes, Grèce Cordialement,

La Grèce veut des explications du FMI qui prévoit la faillite du pays d’ici juillet, selon Wikileaks. Après la révélation par Wikileaks des négociations entre Athènes et le FMI, où ce dernier évoque le défaut imminent du pays, le gouvernement grec a fait savoir qu’il «exige des explications» de l’organisation internationale. Samedi matin, l’organisation fondée par Julian Assange a publié la retranscription d’une conversation téléphonique interceptée entre le chef du département européen du Fonds Monétaire International (FMI) Poul Thomsen et la chef de mission du FMI pour la Grèce, Delia Velculescu.

Ils discutent de la stratégie à adopter dans les négociations, alors que le Fonds n'a toujours pas donné son accord au dernier plan d'aide à Athènes, en raison notamment de divergences sur la réforme des retraites et la réforme fiscale. Se plaignant de la lenteur des pourparlers et des différences entre les prévisions économiques pour la Grèce des Européens et celles du FMI, M. Thomsen interroge : «Qu'est-ce qui va amener au point de décision ? Athènes réagit aux révélations. Vidéos - Carrefours de la Pensée. Grèce : mettre les populations dans un sentiment d'impuissance. Dans ses célèbres conférences, l'historien Henry Guillemin, nous rappelait une phrase, datant de 1897, de Maurice Barrès, maître à penser de la droite nationaliste française, : « la première condition de la paix sociale est que les pauvres aient le sentiment de leur impuissance. » Ce paradigme éclaire le résultat des négociations menées par Alexis Tsipras.

Les citoyens furent appelés par leur premier ministre, à se prononcer, à travers un référendum, contre les propositions de l'UE qui furent rejetées par 61% des votants. A la suite, Tsipras accepte un accord encore plus défavorable pour les populations grecques. De plus, tout en se soumettant au dictat de l'UE, il déclare : « je ne crois pas à cet accord. C'est un mauvais accord pour la Grèce et pour l'Europe, mais j'ai dû le signer pour éviter une catastrophe » Double pensée Le déni de l'opposition entre les deux propositions empêche toute représentation.

Cette procédure est nommée clivage par la psychanalyse. Primauté de l'image. « Finalement, la volte-face d'Aléxis Tsípras s'explique très bien » © Inconnu On ne comprend plus grand-chose à ce qui se passe en Grèce. Grâce ou à cause d'Aléxis Tsípras, les Grecs ont massivement voté « non » aux diktats lors du référendum du 5 juillet, mais deux jours plus tard le même Tsípras acceptait de se soumettre à des mesures encore plus coercitives...

Le 5 juillet, les Grecs ont dit non, massivement non, à la politique d'austérité imposée par l'Union européenne. C'est la première fois qu'un peuple était appelé à se prononcer sur la sauce à laquelle on prétendait le manger. Plus précisément, c'est la première fois qu'un peuple se voyait donner la possibilité de se prononcer politiquement sur une doctrine économique, en l'occurrence la dogmatique de l'orthodoxie néolibérale imposée par les prêteurs usuriers de l'oligarchie mondiale. La volte-face d'Aléxis Tsípras a surpris tout le monde, mais s'explique finalement très bien. Et maintenant, que va-t-il se passer ? On repart pour un tour. Les agriculteurs grecs tentent la "prise de la capitale" La colère des agriculteurs grecs, qui s'exprime depuis plus de deux semaines, a gagné vendredi Athènes.

Des paysans de Crète ont tenté d'occuper le ministère de l'Agriculture pour protester contre le projet de réforme fiscale. La police a essuyé des jets de pierres, tomates et aliments pourris. La "prise de la capitale" durera au moins deux jours, avaient annoncé les manifestants. Les agriculteurs, venus de l'ensemble du pays, comptent manifester avec leurs tracteurs devant le Parlement. La police a fermé onze rues du centre-ville pour tenter d'éviter le chaos. Les syndicats des profession libérales, également très concernés par la réforme des retraites, ont appelé leurs membres à grossir les rangs paysans dans l'après-midi.

La police a établi des barrages aux péages autour d'Athènes, en provenance de la plaine agricole de Thessalie, au nord, et du Péloponnèse, au sud, pour empêcher la venue en masse de tracteurs dans la capitale. 130 axes routiers bloqués "Assainissement" Des nouvelles de la Grèce : effarant ! Merci, merci l'UE ... « Des milliers de Grecs se sont suicidés plutôt que de subir la crise » Grèce : Le gouvernement Syriza s’attaque aux retraites.

Or, ce plan ne change en rien des précédents : accentuation de la baisse des retraites (jusqu’à 25 %) et prolongation des années de travail, dans un pays où se poursuit la fuite des jeunes à l’étranger. C’est ce qu’ont bien compris les travailleurEs… mais aussi les partis protroïka, du Pasok à la droite, qui adoptent un discours aux accents Syriza de 2013-2014 : refus de voir baisser les pensions, ce que dénonce Tsipras, qui rêvait d’un vote quasi unanime de l’Assemblée ! Dans ce contexte confus, la seule perspective pour avancer est celle du combat décidé, indépendant et unitaire de la classe ouvrière, avec comme objectif que les mobilisations empêchent la venue du projet devant l’Assemblée. Certes, les confédérations, GSEE pour le privé et ADEDY pour le public, projettent des grèves (24 heures d’avertissement, puis 48 heures), une manifestation le 16. Certes, le courant syndical du KKE (PC), PAME, a organisé une manif réprimée par les MAT (CRS).

Source : L’Anticapitaliste. Grèce : Tsipras redouble de violence contre le mouvement social. Les interpellations, arrestations, perquisitions, expulsions, saisies de matériel et tentatives d’intimidations se multiplient. La tension monte un peu partout et les luttes s’intensifient depuis trois mois : grèves, manifestations, blocages, occupations, grèves générales, émeutes… Même les camarades et compagnons qui accueillent généreusement des réfugiés dans les îles sont persécutés. Plusieurs cantines solidaires ont été détruites par la police, ainsi qu’un local destiné aux familles les plus vulnérables. Toute personne essayant de filmer est menacée, y compris des professionnels accrédités, au point de subir la confiscation de leur caméra.

Le régime devient de plus en plus autoritaire et le programme de Thessalonique est depuis longtemps à la poubelle. La promesse de septembre de compenser les conséquences dramatiques du troisième mémorandum par un dispositif social et solidaire a également été abandonnée. Yannis Youlountas. Grèce : près de 150 000 foyers menacés d'expulsion. « Les lettres de la banque se font de plus en plus menaçantes.

On me demande de régler dans les plus brefs délais l'intégralité de mes 45 000 € de dettes. Sinon, c'est dehors ! » Cette somme, Thanassis ne l'a évidemment pas. Il risque de se voir saisir son appartement de 90 m2 en banlieue d'Athènes, où il habite avec ses deux fils, étudiants à l'université, et sa femme. Professeur dans une école privée, Louiza perçoit 1 300 €, un salaire amputé de 40 % ces dernières années, qui représente pourtant l'unique ressource du foyer. Insuffisant pour s'acquitter des 700 € mensuels qu'exige la banque, au titre du remboursement d'un prêt immobilier et de crédits à la consommation. « A la fin des années 1990, les banques faisaient tout pour attirer les clients avec des prêts très alléchants, explique Thanassis.

Les expropriations, nouveau sujet de tension avec l'Europe Le soutien aux ménages surendettés était effectivement une promesse de campagne du Premier ministre grec. » Grèce : l’économie s’est effondrée au troisième trimestre. Source : La tribune, Romaric Godin, 27/11/2015 L’économie grecque s’est contractée de 0,9 % au troisième trimestre. (Crédits : Reuters) Le chiffre révisé du PIB hellénique entre juillet et septembre a mis en lumière une contraction de 0,9 %, au lieu des 0,5 % annoncés d’abord.

Tous les signaux sont au rouge, notamment le tourisme et la consommation. Voici deux semaines, la publication « flash » de l’évolution du PIB grec pour le troisième trimestre avait surpris les observateurs. La baisse annoncée, -0,5 % sur un trimestre, semblait particulièrement faible au regard des événements de ce trimestre. En réalité, la contraction de la richesse grecque était évidemment plus prononcée. Tous les signaux au rouge Pour retrouver une contraction supérieure à ces 0,9 %, il faut remonter au premier trimestre 2013 (-1,8 %). L’investissement recule de 9,5 %, l’investissement productif de 7 %.

Rares éléments positifs Reste qu’il existe quelques rares éléments positifs. Quelle responsabilité ? » Grèce : Alexis Tsipras déjà dos au mur, par Romaric Godin. Source : La Tribune, Romaric Godin, 09/11/2015 Alexis Tsipras tente de résister aux créanciers (Crédits : ALKIS KONSTANTINIDIS) L’Eurogroupe de ce lundi 9 novembre doit refuser la libération d’une tranche de 2 milliards d’euros à Athènes, plaçant Alexis Tsipras dans une position délicate. Alexis Tsipras va devoir prouver sa capacité de résistance à la volonté des créanciers. Alors qu’en moins de deux semaines, le premier ministre grec a fait voter deux lois « omnibus » contenant de nombreuses réformes, alors qu’il a accepté de faire voter une loi sur les banques ôtant à l’Etat grec tout moyen de contrôle sur ses dernières, l’Eurogroupe (réunion des ministres des Finances de la zone euro) de ce soir devrait refuser le déblocage de la tranche de 2 milliards d’euros du programme « d’aide. » Faciliter les expulsions pour mieux renflouer les banques Pourquoi ?

L’ennui, c’est que ces expulsions risquent de provoquer des situations sociales dramatiques. Logique politique ? Le pourra-t-il ? Banques grecques : La grande escroquerie. Lors des déclarations d’Alexis Tsipras sur son programme, l’un des rares points qui ont suscité des applaudissements dans les rangs des députés de la coalition gouvernementale a concerné les banques.

Le Premier ministre a qualifié leur recapitalisation imminente – dont le peuple grec va encore supporter le poids, puisque cela va augmenter la dette – comme la dernière occasion de sauver le système bancaire grec. Pour prévenir le mécontentement justifié des contribuables, il a promis que cette fois les banques nécessitant une recapitalisation sur fonds publics auront le management correspondant. Les députés de la coalition gouvernementale se sont enthousiasmés à cette déclaration, croyant que cela signifierait le contrôle du gouvernement, de l’Etat, de la société sur les banques ayant succombé à de multiples égarements. C’est le signe d’un grande légèreté… prouvant que la plupart d’entre eux n’ont même pas lu le troisième Mémorandum qu’ils ont voté de façon expéditive. Exagération ? » Grèce : comment renflouer les banques ? Par Romaric Godin. Et hop, 14 milliards d’euros, et un risque ENORME pour les gros investisseurs privés too big to fail, qui appelleront à l’aide en cas d’inévitable problème… Source : Romaric Godin, La Tribune, 02/11/2015 Les banques grecques auront besoin de 14,4 milliards d’euros.

(Crédits : Reuters) La BCE a estimé les besoins de capitaux des banques grecques à 14,4 milliards d’euros. Un mécanisme complexe devrait être choisi pour préserver les intérêts des investisseurs privés et des contribuables européens. Les banques grecques ont jusqu’à vendredi 6 novembre pour faire connaître les moyens par lesquels elles entendent trouver 14,4 milliards d’euros nécessaires à leur recapitalisation. La mécanique du renflouement Cette estimation correspond aux attentes du marché et est nettement inférieure à la somme de 25 milliards d’euros que les créanciers avaient mis à disposition des banques grecques dans le cadre du mémorandum.

Pourquoi les CoCos ? Préserver les investisseurs privés Débat sur les expulsions. Combien pour sauver les banques grecques? le verdict tombera samedi. 29 Oct. 2015, 15h05 | MAJ : 29 Oct. 2015, 15h05 L'opération de sauvetage qui sera ainsi enclenchée fait partie intégrante de l'accord du 13 juillet conclu in extremis entre Athènes et ses créanciers, UE et FMI, pour maintenir le pays dans la zone euro et lui redonner l'oxygène financier nécessaire pour émerger. Asphyxiées par le surendettement du pays, et cinq ans d'austérité, et ébranlées au printemps par une amorce de panique bancaire sur fond de craintes d'une sortie de la monnaie commune, les banques se sont vu promettre une enveloppe de 25 milliards d'euros, sur le total des 86 milliards de prêts consentis à Athènes sur trois ans.Dix milliards d'euros ont déjà été mis en août à disposition du Fonds hellénique de stabilité (FHS), qui doivent être complétés par une rallonge de 15 milliards d'euros à la condition qu'entre temps, le gouvernement de gauche radicale ait tenu tous ses engagements de nouvelles mesures de rigueur et réformes.

Ces sommes suffiront-elles? Grèce : Communiqué du Secrétariat du META* Les tâches du mouvement syndical après le 3éme mémorandum. | Association Grèce-France Résistance. Tsipras joue au plus malin avec Poutine, échec assuré. » [TRÈS RECOMMANDÉ] Notre Printemps d’Athènes, par Yanis Varoufakis. Discours de Zoe Konstantopulou contre le 3e mémorandum | Anti-K. Greece Long Term Interest Rate. Nouveau sondage en Grèce : les indécis en tête. Réflexions sur la Grèce et l’Europe. La crise grecque dans le GEAB depuis 2010 mise à nu! | GEAB.

Grèce : 25 députés, fidèles aux engagements pris contre l'austérité, quittent Syriza et forment un nouveau groupe parlementaire. Varoufakis: symptôme, exemple et martyr? Cette crise grecque qui fait des heureux : des aéroports régionaux bradés à une société publique allemande. Grèce : 25 députés, fidèles aux engagements pris contre l'austérité, quittent Syriza et forment un nouveau groupe parlementaire. » Carnet de juillet 2015, par Tariq Ali. » Tryfon Alexiadis : “Des pays européens tentent d’attirer les armateurs grecs chez eux”

VAROUFAKIR !!!

Alexis Tsipras, meilleur ambassadeur du néolibéralisme austéritaire ? Parlons clair numéro 57. Zoé, Yanis, Panagiotis et les 39 autres rebelles face aux capitulards tsipriotes. Le Vice et la Vertu. Sans Commentaires. Quel avenir pour Varoufakis? Avec la bénédiction de "L'Humanité", troisième plan d'austérité en Grèce. La guerre américaine pour les ressources - 3e partie : La Grèce. » Pourquoi Syriza a-t-il signé un curieux pacte militaire avec Israël ? SYRIZA : une trahison de plus du parti de l’étranger. Syriza, l’Euro et les opinions des grecs. » Grèce : pourquoi le nouveau plan d’aide est déjà un échec. » Tim Geithner révèle sans détour comment les dirigeants de l’Europe ont tenté un suicide financier.

» Quand Varoufakis projetait secrètement de pirater son propre ministère. Pour Varoufakis. Conférence téléphonique entre Yanis Varoufakis, Norman Lamont et David Marsh le 16 Juillet 2015 : stratégie de Varoufakis, passée, présente et à venir. » La Grèce est traitée comme un état hostile occupé, par Ambrose Evans-Pritchard. Discours de Zoe Konstantopoulou au Parlement grec le 22 juillet 2015 : La soumission totale d’un pays démocratique à la volonté d’autres gouvernements ne constitue pas un accord. » Sauvetage grec, « un nouveau traité de Versailles » pour Yanis Varoufakis. A méditer pour le cas Grec : Comment l'ultralibéralisme peut anéantir un pays, les accords de Bretton Woods. Grèce : tous aux abris. Victoria Nuland rôde. Exclusif : Comment un faucon belge anti-grec a caché son intérêt financier dans les privatisations de l'énergie en Grèce.

« Varoufakis pourrait être le prochain premier ministre de la Grèce, il faut donc l’anéantir maintenant » Varoufakis : « Pourquoi j’ai voté OUI ce soir » Les Panzer des banques allemandes écrasent la Grèce, Washington grimace. L’Europe impose à la Grèce un plan de privatisation punitif.