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Effluents Vinicoles

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Services et solutions pour le traitement des effluents viti-vinicoles - Clairéo. De la distillerie à l’agro-industrie : GRAP’SUD, la culture de l’audace…. Bien gérer ses effluents viticoles. La gestion des effluents phytosanitaires (volumes morts de fond de cuve et eaux de rinçage) reste un enjeu important dans les exploitations viticoles et peut représenter un budget non négligeable.

Bien gérer ses effluents viticoles

L’arrêté du 12 septembre 2006 régit toutes les règles de gestion de ces effluents, que ce soit le rinçage à la parcelle ou sur une plateforme dédiée. Le rinçage à la parcelle s’avère être la solution la moins coûteuse. Cela impose d’avoir une cuve d’eau claire sur l’appareil. La réglementation impose aux constructeurs que cette cuve ait un volume minimal équivalent à 10 % de celui de la cuve principale. Cependant, ajouter une cuve d’eau claire n’est pas toujours évident sur les pulvérisateurs viticoles les plus anciens. 5 innovations viti-vinicoles primées au Sival. Le jury du Sival a distingué cinq produits ou matériels viti-vinicoles dans son palmarès de l'innovation.

5 innovations viti-vinicoles primées au Sival

Voici lesquels. Dans la catégorie intrants, Bioline reçoit une médaille d'argent pour Tricholine Vitis. De la vigne au vin : Lancement de Vitivalor Solutions. Dévoilée à l’occasion du VITeff, Vitivalor Solutions est la marque “Conseils et Services” issue de l’alliance des expertises de deux acteurs majeurs de la filière viti-vinicole.

De la vigne au vin : Lancement de Vitivalor Solutions

Avec Vitivalor Solut... Dévoilée à l’occasion du VITeff, Vitivalor Solutions est la marque “Conseils et Services” issue de l’alliance des expertises de deux acteurs majeurs de la filière viti-vinicole. Avec Vitivalor Solutions, Soufflet Vigne et CEMIR unissent leurs forces et leurs compétences pour proposer à la filière une offre de plus de 30 solutions concrètes et éprouvées, couvrant l’ensemble des besoins stratégiques et opérationnels d’une exploitation.

Élaboration de nouveaux processus. Sécheresse, pénurie, qualité : comment préserver l'eau en Corse ? Antoine Orsini, hydrobiologiste à l’Université de Corse, est formel.

Sécheresse, pénurie, qualité : comment préserver l'eau en Corse ?

Les masses d’eau superficielle (cours d’eau et lacs) de Corse sont en bon ou en très bon état écologique à 80 %. Et même un peu davantage en ce qui concerne les masses d’eaux souterraines. Seule la masse d’eau souterraine des alluvions de la Plaine de la Marana- Casinca se trouve dans un état qualifié de «médiocre». Pour ce qui est de l’état chimique, le bassin de l’île est très peu affecté par la pollution des substances chimiques. « Excepté les quatre masses d’eau de transition, c’est-àdire les étangs, et deux masses d’eau côtière, toutes les masses d’eau sont en bon état.

Mais la vigilance reste de rigueur ». Et le scientifique d’affirmer également que les cours d’eau et les plans d’eau sont également en bon ou très bon état, sauf Codole où la présence de cyanobactéries est désormais avérée. On a constaté jusqu’en 2014, une forte augmentation des ventes des produits phytosanitaires. Viticulture / oenologie : Les Vins de Pays Charentais tentés par les mesures agro-environnementales.

« Il est impératif de mettre en place des mesures respectueuses de l’environnement dans nos vignobles » lance avec confiance Thierry Jullion, ce 15 juin au château Pellisson (Cognac).

Viticulture / oenologie : Les Vins de Pays Charentais tentés par les mesures agro-environnementales

Face à l’assemblée générale du syndicat des Vins de Pays Charentais qu’il préside, il se nuance avec prudence : « on peut tout à fait envisager d’ouvrir le cahier des charges de l’IGP vin charentais pour y incorporer des mesures agro-environnementales. Une fois que la majorité des vignerons les aura mises en place, dans trois à cinq années… » Jouant piano piano sa partition environnementale, le président de l’IGP charentaise ménage son auditoire, pour ne pas avoir l’air de lui imposer un rythme de contraintes.

Clairéo - TASO. Entreprises / gens du vin : Sauternes met en débat une appellation de repli. Connu pour son diagnostic sur le vignoble du Beaujolais, l’inspecteur général de l’agriculture Georges-Pierre Malpel présente ce 18 novembre son plan pour l’avenir de l’AOC Sauternes et Barsac aux premiers intéressés, les vignerons de l’appellation.

Entreprises / gens du vin : Sauternes met en débat une appellation de repli

Déjà disponible sur le site du ministère de l’Agriculture, son rapport ne manquera pas de susciter de vifs débats au sein du syndicat viticole. "La crise de Sauternes n’est pas conjoncturelle" Pour répondre à ces problèmes structurels, le rapport des pouvoirs publics reprend les propositions de la filière. Le cognac veut restaurer la qualité de l’eau. Consciente que la préservation et la restauration de la qualité de l'eau est une priorité pour la filière du cognac, Jérôme Fauriot et Nadège Witczak, de la Chambre d'agriculture ont animé une rencontre technique sur la gestion des effluents viti-vinicoles.

Le cognac veut restaurer la qualité de l’eau

Pour ce faire, ils ont été reçus vendredi 4 novembre, par Bernard Goursaud, maire de Brie-sous-Matha, sur le site de l'aire locale de lavage collective. Outre les exploitants agricoles, des représentants de l'établissement public territorial du bassin de la Charente (EPTB Charente), du bureau national du cognac (Bnic) et du bassin alimentation du captage (BAC) étaient présents à cette matinée d'informations. Etude du Plan d'épandage des Effluents Vinicoles - La Chambre d'Agriculture de Charente-Maritime. Viticulture : l'eau, les effluents des caves et le marché des vins bio au menu d'une journée technique.

Une matinée technique à La Palme pour faire connaître les techniques alternatives de l’agriculture biologique et les perspectives du marché bio aura lieu mardi 9 février de 9 h 30 à 13 h.

Viticulture : l'eau, les effluents des caves et le marché des vins bio au menu d'une journée technique

Elle abordera la gestion des effluents de caves et la vinification bio. Ces rencontres techniques sont organisées par Sud et Bio et ses partenaires départementaux : Civam Bio, Chambres d’Agriculture, Sud Vin Bio et les collectivités, avec le soutien de l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse. L’Agriculture Biologique est traitée en tant que pratique alternative aux problèmes de pollution des eaux par les traitements phytosanitaires, mais aussi associée à des débouchés commerciaux rentables pour les producteurs. Stage : Gestion des effluents vinicoles par compostage. Vignoble de Paloumey est une exploitation familiale viticole cru bourgeois situé à Ludon-Médoc. 40 ha de vigne sont cultivés, 35 ha en appellation Haut-médoc, 2 ha en appellation Margaux, 3 ha en appellation Moulis.

Stage : Gestion des effluents vinicoles par compostage

Savoir tirer profit des roseaux. Les lits plantés de roseaux se sont développés dans les années 1990, quand les chais ont eu l'obligation de traiter leurs effluents vinicoles (loi sur l'eau de 1992).

Savoir tirer profit des roseaux

Deux approches sont possibles, explique Joël Rochard de l’IFV, spécialiste du sujet: les lits plantés en complément d’un premier procédé aérobie ou anaérobie de traitement des effluents, permettant de sécher et dégrader les boues, et les systèmes de gestion intégrale des effluents par les lits plantés, très peu développés en France, mais présents dans le Piémont italien. Joël Rochard complète: "Au-delà de l’approche écologique et de la valorisation paysagère, la solution des lits plantés permet de limiter la consommation énergétique du dispositif de prétraitement. Ils ne coûtent pas plus cher qu’une installation classique et ne demandent souvent que quelques dizaines de m² d’emprise foncière. La station d’épuration opérationnelle. A coopérative d'utilisation de matériel agricole (Cuma) vinicole Médoc environnement dont le siège se situe à Blaignan, a tenu son assemblée générale le mardi 22 septembre à la salle des fêtes de Couquèques sous la présidence de Sylvie Berrouet, présidente de la Cuma.

Elle compte 61 viticulteurs adhérents et est adhérente de la fédération des Cuma de Gironde. À L'ordre du jour figurait le démarrage de la station de traitement des effluents. Les travaux sont d'ores et déjà bien avancés et la station sera... a coopérative d'utilisation de matériel agricole (Cuma) vinicole Médoc environnement dont le siège se situe à Blaignan, a tenu son assemblée générale le mardi 22 septembre à la salle des fêtes de Couquèques sous la présidence de Sylvie Berrouet, présidente de la Cuma. Elle compte 61 viticulteurs adhérents et est adhérente de la fédération des Cuma de Gironde. Dès ces vendanges. Des effluents vinicoles dans le réseau collectif. Sauternes Vignerons : la cave coopérative est créée, et présidée par Eric Pothier. Avec la signature de ses statuts ce 29 juin, la cave coopérative de Sauternes est officiellement née. Baptisée Sauternes Vignerons, elle réunit 15 membres fondateurs, « un nombre appelé à s'étoffer dès l'ouverture de bâtiments propres » annonce le vigneron Eric Pothier, tout juste élu président de la cave coopérative.

Montpellier à la pointe de la recherche contre l'excès de chimie sur la vigne - France 3 Languedoc-Roussillon. Avec les arbres fruitiers, la vigne est la culture la plus traitée en France : 12,5 traitements par an en Languedoc-Roussillon, plus de 20 en Champagne et une quinzaine en Bordelais. A Montpellier, des chercheurs de l'Institut de recherche en sciences et technologie pour l'environnement et l'agriculture (Irstea) mesurent la taille et la vitesse des gouttes des produits de traitement pour réduire le dosage des phytosanitaires sur la vigne.

Ici on teste les machines : les plus performantes permettent de répandre cinq fois moins de "phyto" alors qu'on sait qu'en moyenne, seuls 20% des produits pulvérisés touchent leur cible", résume Bernadette Ruelle, responsable de l'unité et spécialiste en protection des plantes à l'Irstea. Le reste, 80% quand même, file dans l'environnement et accessoirement chez les voisins, comme en Gironde en mai dernier, où des écoliers avaient été incommodés. Comment sortir d'un piège chimique qui nuit au climat et aux hommes ? Aires de lavage d’effluents phytos : l’ensemble de la côte viticole de Beaune bientôt couverte. Et de sept ! Ce vendredi 6 février 2015, on inaugurait en grande pompe deux nouvelles aires collectives de lavage et de traitements des effluents de pulvérisateurs en Côte d’Or, portant à sept leur nombre total dans le département.

La première est celle de Pernand-Vergelesses, destinée à 30 viticulteurs adhérents. Le projet, entamé depuis 2011, est le fruit de longues discussions et de nombreuses démarches, étant situé dans un site classé et peu accessible. L'aire est dotée de deux pistes, et permettra de traiter à la fois les effluents phytosanitaires et ceux issus du lavage des machines à vendanger. Son coût total : 260.000€ H.T. Montirius primé pour sa politique RSE. Le domaine viticole Montirius à Mazan, premier domaine biodynamique sur les appellations vacqueyras et gigondas, a remporté le prix régional Paca de la RSE (responsabilité sociétale des entreprises) pour les TPE. Ce domaine familial atypique de 63 hectares se distingue à la fois par son approche du produit, de l’environnement et des relations humaines. « Nos méthodes de culture sont fondées sur la biodynamie, qui consiste à aider la vigne par des méthodes entièrement naturelles à s’adapter au climat et à résister aux maladies, sans aucun apport extérieur susceptible de modifier l’expression du raisin », expliquent Eric et Christine Saurel, co-exploitants avec leur fille Justine.

À la certification bio Ecocert, Montirius ajoute la certification en biodynamie Biodyvin et joue la carte du vin biodynamique sur le plan commercial. « En Francpour soe, l’agriculture biodynamique ne pèse que 1 %, mais elle est mieux connue dans d’autres pays », constate Christine Saurel. Champagne D'abord du vin ! S'il est un lieu dans notre économie nationale où le mot déflation - dérapage incontrôlé des prix vers le bas - n'existe pas, c'est bien du côté de Reims et d'Epernay.

Même si les ventes accusent un léger coup de mou, notamment dans l'Europe en crise, les tarifs tapent dans le dur. Les Caves de Rauzan veulent une viticulture verte. NFV010007, ISO 9002, ISO 14 001, bilan carbone, démarche 3D pour Destination développement durable, Agriconfiance… Autant de labels et certifications que les Caves coopératives de Rauzan Grangeneuve affichent fièrement, juste à côté de son point d'accueil. Certains, comme la double reconnaissance ISO 9002 et 14 001, trônent là depuis plus de quinze ans. Une forte politique de développement durable, aujourd'hui englobée dans le terme de responsabilité sociétale, à laquelle participent les 281 vignerons et 36 salariés des caves.

Contrôle des produits phytosanitaires, développement du label agriconfiance, soutien des viticulteurs bio… Les Caves de Rauzan Grangeneuve multiplient les initiatives pour continuer à faire du rouge (et 18 % de blanc) le plus vert possible. D'autant que le bassin de l'Engranne, classé zone Natura 2 000, est tout proche. Une aire pour traiter les rejets phytosanitaires et vinicoles à Besse-sur-Issole. Produits - Traitement des effluents - Les effluents vinicoles. Pour le traitement des effluents vinicoles, deux procédés sont disponibles : Caumont-sur-Durance : Epur Nature vise l’international. Epur Nature, spécialiste du traitement d’effluents domestiques par filtres plantés de roseaux, met le cap sur l’international grâce à son rapprochement avec Agro Environnement, société girondine spécialisée dans le traitement naturel des effluents viticoles et agroalimentaires.

Micro station d'épuration - Sande y Díaz. Ceci est une traduction automatique. Pour voir le texte original en anglais cliquez ici. Www.revuevitiarbohorti.ch/artikel/2010_03_f_192. Appel d'offre : collecte et acheminement des effluents vinicoles en station d'épuration. - 3/boamp/1461942/26/33. Le premier réseau agro-environnemental totalement viticole du pays est à Saillon. Le premier réseau agro-environnemental totalement viticole du pays est à Saillon Le Nouvelliste. Bet Sai. Vignobles Paul Dubrule. Les effluents vinicoles auront bientôt leur station. Ercredi dernier, dans la salle des fêtes de Blaignan, s'est tenue l'assemblée générale de la Cuma (1) Vinicole Médoc Environnement (CVME).

À cette réunion, M. -J. Gardère, de la fédération départementale Cuma (2), Anne-Estelle de Boisseson, Mathieu Hay et Anne Sophie Ballistreri, du bureau d'étude ICSE (3) ainsi que la société Agro Environnement étaient présents. À l'ordre du jour figurait la création de la station d'épuration pour les effluents vinicoles. Dominique Beaute, responsable des filières agricoles au Conseil général, a annoncé que certaines exploitations viticoles accusaient du retard dans la mise aux normes concernant le traitement des effluents viticoles et vinicoles, c'est pourquoi les structures collectives sont privilégiées. Cette station sera implantée sur la commune de Couquèques, au lieu-dit Le Repenti, d'ici fin 2015. La future station CVME sera du type « en cascade ». Plus d'un million de budget.