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Europe

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Dette, déficits: faut-il laisser l'Europe souffler ? - Idées. Non, vous ne rêvez pas ! Le conseil européen qui s’ouvre ce jeudi à Bruxelles n’est pas un sommet de la dernière chance. Tous les observateurs en conviennent : rien de décisif ne devrait en sortir, mais ce n’est pas grave dans la mesure où l’urgence absolue dans laquelle se trouvait l’Europe ces derniers mois est devenue moins pressante. Les marchés se sont calmés. Pas de « sommet de la dernière chance » donc : nous voilà soulagés. Jean-Marc Daniel et Benjamin Coriat J-C Francis © Radio France Est-ce à dire que la crise est derrière nous ?

Il n’est pas dit que les Grecs, les Portugais, les Espagnols, les Irlandais aient la même appréciation de la situation du moment. . « Faut-il laisser souffler l’Europe ? Et le contrepoint: Le documentaire La Dette de Nicolas Ubelmann La Dette Documentaire réalisé par Nicolas Ubelmann © Radio France Suivez-nous aussi sur : Le Blogueur. Newsroom - Calendar - Europe Day 2012 – 62nd anniversary of the Schuman Declaration. La journée de l'Europe avec les Fonds Européens. Les plus belles conneries de Berlusconi. Temps de lecture: 4 min «J’ai découvert ce qu’est le point G des femmes... c’est la dernière lettre de shopping», déclarait le 3 novembre 2007 Silvio Berlusconi, lors d’une foire à Vérone.

La blague sexiste n’est ni la première, ni la dernière boutade de l'ex-président du conseil italien, qui a fait le bonheur de la presse internationale à chaque meeting. Si sa démission du poste de président du Conseil samedi 12 novembre a été fêtée dans les rues de Rome, ses gaffes manqueront aux journalistes et amateurs de vidéos cocasses du monde entier. Rendons hommage aux inimitables Berlusconneries en chiffres et en graphiques.

En sondant notre mémoire et la presse, nous avons recensé 54 bêtises mémorables (pour un panorama complet, voir la carte en fin d'article). Voici un petit panel de ses prouesses, qui se répartissent en 8 catégories. Typologie des Berlusconneries «Elle est une belle chatte.» La gauche Sans parler des communistes, bête noire qu'il a régulièrement fustigé. Les étrangers. Labour: UK should integrate key defence decisions with Europe | Politics. Shadow Defence Secretary Jim Murphy will say UK needs to integrate key defence decisions with Europe. Photograph: Andrew Milligan/PA The UK needs to integrate some key defence decisions with other European nations to cut costs and challenge "intellectually lazy" right-wing hawks, Labour will say today.

Shadow defence secretary Jim Murphy will argue there has to be better coordination on defence spending across Europe because there are already "too many never to be used battle tanks, unusable fast jets and undeployable army conscripts. " He will say that in an era of "falling investment, the notion that Nato European nations consistently fight together but build their armed forces in separation needs to be reconsidered". But Murphy will reject the idea of a formalised European defence policy signed off in Brussels, and suggest security planning should be done on an ad-hoc basis through Nato.

Final decisions on defence, though, would remain with individual governments. Au Portugal, le président Cavaco Silva réélu au premier tour. Le président portugais Anibal Cavaco Silva, un économiste conservateur de 71 ans, a été réélu sans surprise dès le premier tour dimanche, devançant très largement le poète socialiste Manuel Alegre, lors d’un scrutin marqué par une abstention record, sur fond de crise économique. Selon des résultats officiels portant sur l’ensemble des circonscriptions, hormis 11 consulats, M. Cavaco Silva, membre du principal parti d’opposition, le Parti social-démocrate (PSD), a obtenu 52,9% des suffrages. Son principal rival, Manuel Alegre, qui avait l’appui officiel du Parti socialiste du Premier ministre José Socrates et de l’extrême-gauche, recueille 19,7% des voix, devant Fernando Nobre, président d’une ONG de médecins, seul candidat de la société civile et qui obtient 14,1% des voix.

Le taux d’abstention atteint les 53,3%, ce qui constitue un record pour une élection présidentielle depuis l’avènement de la démocratie au Portugal en 1974. Le nombre de votes blancs et nuls dépasse les 6%. (Source AFP) Ed Miliband Takes First Steps Towards a New Socialism. Socialism is what Labour governments do. So famously spoke Herbert Morrison, senior Labour cabinet member and deputy leader of the Labour Party in 1945.

On one level, 65 years later, Morrison’s words look paternalistic at best and plain arrogant at worst. It was socialism done to the people. But it was a sound bite that summed up the times, that unique moment in British history which allowed one strand of the left to dominate the agenda. Post-war centralisation, Fordism, Fabianism and a kind of parliamentary Leninism came together to create the perception that socialism is indeed what Labour governments do. Wind forward those 65 years and you have a party that still believes pretty much in this adage. Is this entrenched and misguided view, and more recently also the New Labour view, of the state as the supporter of the free market about to change?

It means getting to grips with incredibly thorny issues for the left like deciding the balance between equity and diversity. Dans les trains suisses : bagage sur un siège, bagage qui paie. Photo CFF Les trains suisses sont souvent bondés. Aux heures de pointe, pour faire de la place, les contrôleurs passent des annonces pour demander aux passagers de ne pas mettre leur sac sur les sièges. Les Chemins de Fer Fédéraux Suisses (CFF) ont trouvé une méthode encore plus efficace pour les convaincre. Pour pouvoir poser son bagage sur un siège dans un wagon déjà bien chargé, il faudra lui acheter un billet. Son coût sera la moitié du prix du trajet, que le voyageur possède ou non un abonnement demi-tarif.

La mesure rentrera en vigueur le 11 décembre, lors des nouveaux horaires mais ne s’appliquera pas dans les rames où il reste de la place. Le dangereux affaissement de l'Union européenne. The euro crisis: Mr IMF says: More Europe, please. SO IT takes an American to remind Europeans about the importance of economic integration, at a time when many of them are losing faith in the viability of the European project. That the American in question should be John Lipsky, the man who has been running the IMF since the downfall of Dominique Strauss-Kahn, somehow adds to the power of his words. Few people normally pay attention to the IMF's “article IV” mission to the euro area, a sort of annual health check. But coming at a time when the euro area is in fibrillation, the opinion of an external expert is bound to draw some attention.

Mr Lipsky took the opportunity to deliver two strong messages. Firstly, the Europeans need to get a grip on the sovereign-debt crisis, which is threatening to “overwhelm” the euro area's recent economic gains and cause “large global spillovers”. Looking ahead, it is important to learn from the crisis and define a clear vision for the future. Luckily for everyone concerned, all eyes are now on Greece. Crise en Europe : l’audace ou l’enlisement !

La situation européenne prend aujourd’hui un tour extrêmement préoccupant. L’Italie et l’Espagne se trouvent au cœur d’une tourmente d’une gravité exceptionnelle. Les taux d’intérêt dans ces deux pays sont devenus deux fois supérieurs à ceux qui sont payés en France et en Allemagne. Le risque d’une crise auto-réalisatrice, comme les marchés financiers en ont hélas pris l’habitude, est désormais en place : la méfiance renchérit le coût des emprunts, ce qui aggrave la situation des finances publiques et augmente davantage encore la pression que subissent les pays menacés. Privés du soutien des institutions européennes, ces pays n’ont d’autres recours que celui de s’engager à mener des politiques restrictives qui menacent de casser la croissance, ce qui devient un facteur aggravant encore pour les finances publiques et au final, augmente le risque de crise. Comme à chaque étape de son histoire, l’Europe est confrontée au même choix : l’audace ou l’enlisement.

Journal numérique du 10 novembre 2011. Amid Migrant Fears, Europe May Bring Back Border Controls. It is one of the most emblematic — and practical — achievements of the European Union: the Schengen treaty, named after the Luxembourg town where it was signed, has gifted passport-free travel to Europeans, letting them glide unchecked across national frontiers once fiercely guarded. Now, however, this signature feat of European integration could be rolled back. The Arab uprisings have created a surge of migrants fleeing toward Europe's southern rim, triggering a political rumpus. In late April, Italian Prime Minister Silvio Berlusconi and French President Nicolas Sarkozy jointly called for border controls to be reimposed, to cope with what they described as "exceptional difficulties.

" And on May 4, the European Commission declared that the governments involved in the Schengen zone — which allows passport-free travel between 22 participating E.U. countries, plus Norway, Iceland and Switzerland — could soon be able to set temporary border checks.