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Déchiffrement des Hiéroglyphes

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Jean-François Champollion

Projet Rosette. Toute l'équipe Rosette vous souhaite la bienvenue. Vie, Intégrité, Santé (anx wDA snb) Cet espace est dévolu à l'étude des hiéroglyphes. Loin de prétendre en avoir maitrisé toutes les subtilités, l'Équipe Rosette s'efforce de collecter le maximum d'informations et de mettre à la disposition de tous quelques outils permettant de les approcher. Une fonction d'aide en ligne est disponible dans de nombreuses pages du site Projet Rosette.

Elle est signalée par l'icône "palette de scribe" en haut à gauche du titre de la page. Le Projet Rosette Convaincus que l'informatique peut apporter une aide réelle, un groupe d'amateurs, tous passionnés d'égyptologie, s'est lancé dans l'aventure. Pour le visiteur qui souhaite simplement utiliser l'application Rosette, la majorité des fonctions est disponible directement.

Ceux qui voudraient partager l'aventure du Projet Rosette, quelques soient leurs compétences, sont les bienvenus. Pourquoi cette initiative Les points forts de l'application Rosette. Déchiffrement des hiéroglyphes. Le plus célèbre et le plus romanesque de tous les déchiffrements fut sans doute celui des hiéroglyphes. Pendant des siècles, ceux-ci avaient gardé leur mystère, et l'on ne pouvait que spéculer sur leur signification. Les plus anciens hiéroglyphes remontent à 3000 avant J. -C., et cette forme d'écriture dessinée se perpétua pendant trente-cinq siècles.

Si les symboles élaborés des hiéroglyphes étaient parfaits pour orner les murs de temples majestueux (le mot grec hieroglyphika signifie gravure sacrée), ils étaient beaucoup trop compliqués pour servir à des échanges banals. D'où le développement, parallèlement aux hiéroglyphes, de l'écriture hiératique, une forme simplifiée pour la vie quotidienne, dans laquelle chaque symbole était remplacé par une représentation stylisée, plus facile et plus rapide à écrire. Ces trois formes d'écriture sont phonétiques, ce qui veut dire que les caractères représentent des sons distincts, tout comme les lettres de notre alphabet.

Les hiéroglyphes déchiffrés il y a 1000 ans. Le 28 octobre 2004 Retour au sommaire des capsules Les hiéroglyphes déchiffrés il y a 1000 ans (Agence Science-Presse) - L’histoire nous apprend que c’est le Français Jean-François Champollion qui a déchiffré le premier, en 1822, les hiéroglyphes égyptiens. Sauf que si l'Europe avait été moins repliée sur elle-même, elle aurait pu les déchiffrer bien plus tôt... puisque les Arabes y étaient parvenus 1000 ans auparavant! L'égyptologue Okasha El Daly, de l’Institut d’archéologie du Collège universitaire de Londres, vient en effet de découvrir des documents qui prouvent que les savants arabes avaient percé le mystère des hiéroglyphes égyptiens dès le IXe siècle. Les hiéroglyphes mystifiaient les savants européens depuis un long moment, jusqu'à la découverte de la pierre de Rosette lors de l’expédition militaire de Napoléon en Égypte.

Les découvertes du docteur Daly seront publiées dans un livre d’ici la fin de l’année. Capsule suivante Retour au sommaire des capsules Vous aimez cette capsule? Le traducteur de hiéroglyphes ! Nom en Hiéroglyphes. Introduction Les hiéroglyphes sont l'un des systèmes d'écriture utilisés par les égyptiens anciens pour transcrire leur langue. Il s'agit de dessins, souvent très soignés, qui écrivent aussi bien des sons que des mots entiers. Pour les besoins de la vie courante, les égyptiens utilisaient une écriture dérivée des hiéroglyphes, mais où les signes étaient très simplifiés : l'hiératique. L'écriture apparaît en Égypte un peu avant -3000 av. JC. La dernière inscription hiéroglyphique connue est datée du 24 août 394 ap. JC. Principes généraux Le principe de base des hiéroglyphes est analogue à celui du rébus. . , car le mot "scarabée" se dit aussi "kheper".

On peut, en simplifiant, distinguer trois grandes familles de hiéroglyphes : signes phonétiques, ou phonogrammes, qui représentent une, deux, ou trois consonnes, les idéogrammes, qui sont des signes-mots, et les déterminatifs. quelques exemples : Signes phonétiques : écrit la consonne "m" ; écrit la séquence de consonnes "m+n". Idéogrammes .

Et . Égyptien démotique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article concerne l'égyptologie. Pour la forme du grec moderne, voir Grec démotique. Le terme démotique (du grec δημοτικά / dêmotiká « populaire »), désigne, dans le contexte de l'égyptologie, tout à la fois un type d'écriture et l'état de la langue égyptienne qu'elle note, par opposition aux formes hiératique et hiéroglyphique. L'écriture démotique s'est constituée à l'époque saïte. La plus ancienne attestation actuellement connue date de Psammétique Ier. Le démotique est une simplification de l'hiératique, lui-même simplification des hiéroglyphes. La mise en place de cette écriture s'inscrit probablement dans le cadre de la vaste politique de réformes administratives entreprise par les pharaons de la XXVIe dynastie. L'alphabet copte, créé à partir du grec oncial, a utilisé plusieurs signes démotiques pour élargir son éventail de lettres.

Bibliographie[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Cartouche (hiéroglyphe) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un cartouche (shenou en égyptien) est un symbole hiéroglyphique, de forme allongée et fermé par un nœud, qui contient le nom d'un pharaon. Il symbolise tout ce que le soleil entoure, c'est-à-dire l'univers et a pour fonction de protéger le nom de Pharaon. Ils étaient le plus souvent peints de jaune ou d'or (couleur du soleil) et étaient utilisés pour deux des cinq noms d'un pharaon. L'avant-dernier nom (celui commençant par « Roi de Haute et de Basse-Égypte »)Le dernier nom (celui commençant par « fils de Rê ») Le cartouche, qui se dit Shen en égyptien, fut utilisé à partir du roi Khéphren (IVe dynastie).

Délimitant de façon visible le nom d'un pharaon dans une phrase, le cartouche fut un élément primordial dans le processus de déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion. Portail de l’Égypte antique. La langue et l'écriture hiéroglyphique.