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Philosophie

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Consommation collaborative : pour de nouvelles réponses aux défis sociaux. Consommation collaborative : pour de nouvelles réponses aux défis sociaux Depuis février 2014, la Fing, Ouishare et leurs partenaires ont mené ensemble un projet de R&D collaborative autour de la consommation collaborative, baptisé Sharevolution, dans le but de produire de nouvelles pistes de connaissances, de réflexions et d’innovation.

Consommation collaborative : pour de nouvelles réponses aux défis sociaux

Après la piste consacrée à la partagabilité des objets, celle consacrée aux hubs de partage et celle explorant les problématiques de gouvernance et de financement, nous vous livrons sur InternetActu.net la dernière synthèse de ces réflexions, consacrée aux finalités sociales de la consommation collaborative. Demain, tous immortels ? Pourra-t-on un jour supprimer la mort ?

Demain, tous immortels ?

Les transhumanistes y croient. Ils travaillent à mettre au point différentes techniques pour abolir le vieillissement, prémunir contre les maladies et accidents, ou encore conserver nos données en vue d’une future résurrection. « Certains préfèrent assurer leur immortalité par leur descendance, d’autres par leurs œuvres.

Je préfère assurer la mienne en ne mourant pas », a écrit Woody Allen. Si l’abolition de notre condition mortelle est un vieux rêve, ce siècle voit pour la première fois des chercheurs, penseurs, simples quidams du monde entier espérer très sérieusement passer le cap du quatrième millénaire. Techniques contre le vieillissement Soyons clairs : il n’existe aujourd’hui aucun moyen de supprimer le vieillissement et nous procurer une durée de vie, sinon infinie, du moins « indéfinie ». Aux sources de la conscience. « Qu’est-ce que l’expérience consciente ?

Aux sources de la conscience

» Voilà la grande question à laquelle s’est attaqué le philosophe Michel Bitbol dans son dernier ouvrage paru en février 2014. Alors que se déroule la Semaine du cerveau, nous lui avons posé quelques questions. Vous venez de publier La conscience a-t-elle une origine ? , essai dans lequel vous proposez « une nouvelle approche de l’esprit ». Godlike Great Programmers: The Scientists Arguing for Religious Belief.

The relationship between science and religion has always been vexed.

Godlike Great Programmers: The Scientists Arguing for Religious Belief

Most scientists I know are nonbelievers, convinced that there is no deity, or at least that there is no convincing evidence of one. Even those who are believers, like Francis Collins, director of the National Institutes of Health, see their religion and their science as largely separate. (“If God is outside of nature, then science can neither prove nor disprove his existence,” he once wrote.) But it has been startling to see leading scientists employ science itself in arguments for believing in a kind of supernatural: Jürgen Schmidhuber, a prominent researcher in artificial intelligence, calls for what he has dubbed “computational theology,” while Baylor College of Medicine neuroscientist David Eagleman has proposed a kind of religious perspective that he calls “Possibilianism.” Modèle métaphysique.

La nature de la réalité … … ou comment des travaux de physiciens des liquides français vont peut-être changer notre vision du monde microscopique La mécanique quantique est le domaine de la physique à la fois le plus mystérieux et le plus popularisé auprès du grand public.

La nature de la réalité …

Lorsqu’elle a été inventée dans les années 20, ses propriétés mathématiques parraissaient si étranges que de nombreux débats philosophiques ont eu lieu pour comprendre l’implication de cette physique sur la notion de réalité même. (source image) Ce qu’il y a d’étonnant dans la mécanique quantique est qu’elle donne une vision fondamentalement incertaine du monde. Les particules quantiques se comportent tantôt comme une onde, tantôt comme une particule, une observation ne donne pas un résultat déterminé, mais probabiliste. D’un point de vue purement scientifique, une école de pensée, dite de Copenhague, a fini par s’imposer. Einstein (parmi d’autres) n’accepta jamais cette interpétation. Instabilité de Faraday (tiré de Bush JW, PNAS, 2010) The Reality Tests. Anton Zeilinger heads up the IQOQI lab in Vienna.

The Reality Tests

Photograph by Mark Mahaney. To enter the somewhat formidable Neo-Renaissance building at Boltzmanngasse 3 in Vienna, you must pass through a small door sawed from the original cathedrallike entrance. When I first visited this past March, it was chilly and overcast in the late afternoon. Atop several tall stories of scaffolding there were two men who would hardly have been visible from the street were it not for their sunrise-orange jumpsuits. As I was about to pass through the nested entrance, I heard a sudden rush of wind and felt a mist of winter drizzle.

Du quantique au classique : que percevons-nous réellement du monde. La mécanique quantique est largement validée en tant que théorie descriptive du comportement de l’univers à l’échelle atomique.

Du quantique au classique : que percevons-nous réellement du monde

Le fait qu’elle fonctionne expérimentalement implique qu’au moins l’un de deux éléments de ce qui fonde “notre” réalité, la localité (les propriétés d’un objet sont indépendantes de toute influence extérieure) et le réalisme (les propriétés d’un objet existent indépendamment de la mesure), soit faux. A notre échelle (dite classique) et pour reprendre le même exemple que dans l’article "Univers multiples, physique quantique et au-delà" dont celui-ci est en fait la suite, notre chaussette rouge existe indépendamment de tout effet externe, et reste rouge que nous l’observions ou pas. Chaussettes rouges (lullaby... / figer l'instant.... /CC/Flickr.com). Ma chaussette n'existe que quand je l'observe ?