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Cas pédago 2

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The "Sharing Economy" Is Dead, And We Killed It. Sharing economy disruption, maybe not so disruptive? Vers un mutualisme 2.0 ? — Welcome to TheFamily. L’économie collaborative ressemble à une innovation radicale, directement issue du développement de l’économie numérique. Mais n’est-elle pas une simple réédition du mouvement mutualiste de la fin du XIXe siècle, grâce auxquels les individus ont pu s’entraider et se couvrir mutuellement contre les risques les plus critiques de l’existence ?

Ma préface au livre blanc de l’ACSEL sur la sharing economy, paru au début de l’année et disponible en ligne. L’économie collaborative se développe de façon inédite parce que l’économie numérique, pour la première fois dans l’histoire, permet de coordonner l’activité autonome d’un grand nombre d’individus. La baisse radicale des coûts de transaction, permise par l’économie numérique, provoque un affaiblissement relatif des organisations par rapport aux individus nouant directement des liens transactionnels entre eux.

Le numérique dote les individus de terminaux et objets connectés auparavant réservés aux entreprises. Uber : la carte (interactive) d’une contestation mondiale. Comment G7 reste dans la course face à Uber. La bataille aura duré deux jours, mais la guerre se poursuit. Lundi, le lancement d'UberPop à Marseille, Nantes et Strasbourg a réveillé l'ire des taxis, en sommeil depuis quelques semaines. Ce service de transport entre particuliers –déjà disponible à Paris et 6 villes françaises– poursuit son déploiement malgré les interdictions. Les préfectures des Bouches-du-Rhône et de Loire-Atlantique ont annoncé hier des arrêtés interdisant UberPop à Marseille et Nantes.

Et si les taxis sont rentrés au bercail, la menace plane toujours, avec une victime en première ligne: Taxis G7, première centrale de radio-taxis d'Europe, avec 8.000 chauffeurs. «UberPop nous inquiète, reconnaît Serge Metz, PDG de l'entreprise. Depuis 3 ans, nos activités baissent.» Résultats timides Uber est célèbre pour son appli où la réservation se fait en un clic? Uber a planté son drapeau dans 311 villes du monde? Pour riposter à l'uberisation de l'économie, les grands groupes se mettent en quatre - L'Express L'Expansion.

Enfin elles se réveillent, enfin elles sortent du confort parfois centenaire de leur modèle et de leur pré carré, enfin elles révisent leurs organisations pyramidales, délicieusement fordistes. Enfin. Mais déjà trop tard ? Toutes ces entreprises traditionnelles, ces fleurons de l'économie, ont été prises de vitesse depuis moins d'un an par ces plateformes digitales aux effets radicaux sur la production et la distribution des services.

Certes, certaines d'entre elles s'interrogent encore, mais beaucoup sont déjà en ordre de marche et acceptent de se réinventer en profondeur. A leur disposition, un arsenal bien étoffé constitué d'armes juridiques, de puissance financière et d'innovation stratégique. "De chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins", disait Marx... Certainement pas à l'adresse des grands groupes pour les sauver de l'"ubérisation". 1. "Jusqu'ici, tout va bien. " Tous les moyens sont bons pour dresser alors des barrières à l'entrée de ces nouveaux pirates du Net. 2. 3. The Peer-to-Peer Economy - A Turning Point in Human History. This Peer-to-Peer economy that is rising up to replace the Industrial/Information economy is difficult to see in its totality, but is everywhere around us.

Stop me if you’ve heard this before: the invention of the internet represents a turning point in human history. I hope you have heard this argument before, if only because I’ve made the case for it time and again on my Corbett Report podcast over the years. But I find myself coming back to this theme because I think that, like any time in which people are undergoing a fundamental shift in the fabric of society, this revolution is little acknowledged and even less understood by the majority of the population.

The truth is that the time we are living in at this very moment is as crucial a turning point in the history of our civilization as the industrial revolution was, and for largely the same reasons. When most people hear this type of “internet revolution” talk these days, their tendency is to roll their eyes and go on with their day. Etsy entre en Bourse pour inonder le Web de produits faits main. La plateforme d'e-commerce américaine, spécialisée dans les objets faits main et le vintage, était valorisée à plus de 3,5 milliards de dollars jeudi soir. Peut-on «réinventer le commerce en ligne» en empruntant des chemins de traverse?

Etsy semble plutôt leur préférer l'autoroute. Le site américain spécialiste de la vente de produits vintage et faits main s'est introduit - avec succès - au NASDAQ (la Bourse des entreprises de nouvelles technologies) jeudi. En fin de séance la plateforme était valorisée à plus de 3,5 milliards de dollars (environ 3,2 milliards d'euros) avec une action à 30 dollars, soit une progression de 86% par rapport à son niveau d'introduction. Lancé en 2005, Etsy compte aujourd'hui 1,4 million de vendeurs et presque 20 millions d'acheteurs. L'image était belle mais pour certains, elle sonne fausse. «Le succès de notre plateforme est fondée sur le succès de nos vendeurs», assurait pourtant Chad Dickerson dans une interview au New York Times. #ConsoCollab : L'avocat et l'entrepreneur face aux enjeux juridiques de l'économie collaborative. Le développement fulgurant de l’économie collaborative, en particulier grâce à l’émergence d’un écosystème de startups particulièrement dynamiques en France, n’est pas sans poser de nombreuses questions juridiques… Ces questions juridiques et règlementaires sont clés dans les business models de l’économie collaborative.

Analyse du sujet par les avocats de Droit du partage (Loic Jourdain, Michel Leclerc et Arthur Millerand). Pour s’en convaincre, il suffit d’évoquer les crispations des hôteliers face à la concurrence d’Airbnb, les rodomontades des pouvoirs publics face à Uber Pop et, plus largement, la question du statut juridique de la plateforme mettant en relation les utilisateurs entre eux par le biais d’un site Internet et/ou d’une application mobile dédiée. Etat des lieux des risques juridiques dans l’économie collaborative Sans nul doute, l’économie collaborative brouille les pistes et chamboule les repères classiques. Perspectives d’évolution du cadre juridique en France. Airbnb ou l'illusion du partage, Le Cercle via. Que ReFaire ? Pour des Fab Labs en entreprise. Ateliers ouverts dédiés au prototypage rapide, les Fab Labs se multiplient et s’interconnectent partout dans le monde [1]. On les rencontre aussi bien dans les capitales de pays en développement que sur des campus universitaires, ou des quartiers branchés des villes californiennes.

Les pratiques à l’oeuvre dans ces différentes formes d’espaces intéressent de plus en plus les entreprises : innovation ouverte, collaboration entre pairs, prototypage rapide en mode “essai-erreur”, documentation ouverte des projets, partage de savoir faire, communautés d’innovateurs, management horizontal, etc. Plusieurs entreprises envisagent ainsi de s’appuyer sur un dispositif de type Fab Lab [2] pour explorer et tester de nouvelles formes d’innovation plus ouverte, plus agile, plus inattendue. Dans le cadre de l’expédition ReFaire lancée par la Fing, le Groupe Seb et Renault ont saisi l’opportunité d’expérimenter l’ouverture de Fab Labs en leur sein. Qu’est-ce qu’un Fab Lab ? Innover autrement ____Notes 1.

RA459_150316_Solar-residentadvisor.net. BlaBlaCar, le succès qui faisait grincer des dents... BlaBlaCar, vous connaissez ? Sûrement. C’est LA grande réussite française du Web collaboratif -- celle qui s’exporte déjà aux quatre coins de l’Europe et transporte des gens par dizaines de milliers en attendant qu’Emmanuel Macron libère enfin les autocars intercités qui piaffent d’impatience dans leurs garages… Ca marche tellement bien que tout le monde devrait se féliciter de son succès et, de fait, les étudiants délocalisés qui peuvent désormais faire des allers-retours Rouen-Paris et ramener leur linge sale à maman pour moins cher qu’un passage au lavomatic sont les premiers à se réjouir. On affirme même, dans certains milieux, qu’ils sont nombreux, en cité U, à avoir un poster de Frédéric Mazella, le fondateur de la boîte, au-dessus de leur lit mais je ne suis pas allé vérifier. La poésie. Mais pas l’efficacité. Est-ce que c’est mal ?

Découvrez les sites internet participatifs. Mesh - the pulse of the sharing economy. Au CO-tidien. Nous reproduisons sur cette page la typologie des services de partage et de consommation collaborative que nous avons élaborée dans le premier chapitre du livre. Nous la compléterons au fur et à mesure, car de nouveaux services apparaissent tous les jours ! Merci à la graphiste Nelly Mary pour les 4 pictogrammes illustrant notre typologie. La diffusion de cette liste est soumise au Creative Commons (libre reproduction, non commercialisation et citation de l’auteur). Une organisation ou un particulier partage l’usage d’un bien et se fait rémunérer pour cela.

Co-élaboration Certaines logiques regroupées ici sont fort anciennes, comme les projets associatifs, coopératifs et mutualistes : c’est l’échelle de valeurs et le degré d’engagement formel qui permettent de différencier les approches. Le troc Je peux échanger : Co-habitation La logique de don est remise au goût du jour : don entre personnes mais aussi au sein d’une communauté d’appartenance. Evgeny Morozov | Don't believe the hype, the 'sharing economy' masks a failing economy | Comment is free | The Guardian. Early this month, Verizon, one of America's largest mobile operators, quietly unveiled a new service called Auto Share. Slated to launch by the end of the year, Auto Share makes it trivially easy to book and unlock a rented car with a smartphone: just scan and validate a QR code on the windshield.

Potential implications are, indeed, far-reaching: now any aspiring startup can rely on Verizon's infrastructure of ubiquitous connectivity and geolocational tracking to match supply and demand, with Verizon itself providing lucrative verification and locking services. Verizon hopes to eventually extend this model far beyond cars, making it possible to swap any other items fitted with an electronic lock: power drills, laptops, apartments.

Verizon – hardly a Silicon Valley pioneer – thus joins many other champions of the "sharing economy" in insisting that "people today are embracing a sharing society – the one that allows them to get what they want on demand". TaskRabbit users revolt as the company shuts down its bidding system | VentureBeat | Business | by Harrison Weber. Obsessed with mobile growth? Join us February 23-24 when we reveal the best technologies and strategies to help your company grow on mobile. It all takes place at our 5th annual Mobile Summit at the scenic Cavallo Point Resort in Sausalito, CA. See if you qualify here. Updated 6:56 p.m. ET with additional comments from TaskRabbit. View the original version here.

TaskRabbit‘s pivot has left some of its contractors furious, disappointed, and out of work. Earlier today task-outsourcing site TaskRabbit killed its bidding system for random tasks, and replaced it with an on-demand service for requesting services with fixed fees: cleaning, handiwork, moving, and errands. With the destruction of the bidding service, TaskRabbit has ushered in fixed hourly rates for tasks. We asked TaskRabbit if there was any pushback over the changes. But TaskRabbit’s private bulletin board says otherwise. Vocal dissent Here’s more from that contractor (emphasis added by VentureBeat): Official response Want more? Download Reach For The Dead (Boards of Canada Guitar Cover) Song and Music Video for Free. Meet The New Serfs, Same As The Old Serfs. Once upon a time there were things called jobs, and they were well understood. People went to work for companies, in offices or in factories. There were exceptions — artists, aristocrats, entrepreneurs — but they were rare.

Laws, regulations, and statistics were based on this assumption; but, increasingly, what people do today doesn’t fit neatly into that anachronistic 1950s rubric. I’ve had the pleasure of trying to explain to border officials that my “job” consisted of contracting in Country A for a client in Country B, while also writing books and selling apps.

I don’t recommend it. This disconnect will just keep getting worse. I say “so-called” because, let’s face it, “sharing economy” is mostly spin. It’s not surprising that relatively-wealthy techies like me have created apps and services which make relatively-wealthy techies’ lives a little better, instead of solving the real and hard problems faced by poor people. The Harvard Business Review points out: Les nouveaux secteurs touchés par l'économie collaborative. De jeunes pousses s'attaquent à des nouvelles verticales de la sharing economy, inexplorées jusqu'alors, depuis la santé jusqu'à la logistique, en passant par les télécoms. En mai 2014, Jeremiah Owyang, spécialiste de l'économie collaborative, publiait un schéma décrivant six industries impactées par cette sharing économie : les biens de consommation, l'alimentaire, les services, les transports, la location d'espaces, et l'argent.

En moins d'un an, pourtant, l'économie de pair-à-pair a impacté de nombreux autres services, au point que 6 autres industries se soient greffées au schéma d'origine. Des entrepreneurs se sont attaqués à de nouvelles verticales, connectant les internautes sur des sujets qui étaient, auparavant, toujours gérés par des tiers. Le marché y est moins mature mais de jeunes pousses s'y risquent et testent de nouveaux modèles. Télécoms et énergie : Partage de wifi avec Open Garden, Airbnb de l'électricité avec le site néerlandais Vandebron... Les 100 actus qui ont fait l'économie collaborative en 2014. VoD : le web de demain sera-t-il ouvert ou fermé. Un bouillonnement croissant apparaît autour des diverses offres « over the top » (OTT), diffusées via le web et gérées en direct par un terminal connecté, sans contrôle ni rémunération de l’opérateur de réseau. L’enthousiasme des acteurs est stimulé par l’espoir de répéter autour du téléviseur la désintermédiation des opérateurs qu’Apple a réussie avec l’iPhone.

En quelques années, la marque de Cupertino est ainsi passée du stade de géant de l’électronique grand public (EGP) à celui d’acteur central de la distribution des contenus numériques à la demande, allant jusqu’à imposer le partage de revenus aux opérateurs téléphoniques. Le plus intéressant dans cette success story est qu’elle est fondée sur une stratégie absolument non conventionnelle, qui est passée par une redéfinition complète de la chaîne de valeur. Une recomposition de la concurrence décrite par l’ancien ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, comme un véritable « tsunami ». VTC: Uber lève 1,6 milliard de dollars auprès de Goldman Sachs.

Si vous projetez de mettre la main sur Uber, il vous en coûtera désormais plus de 40 milliards de dollars. Le controversé service américain de voitures avec chauffeur (VTC) Uber a réalisé une nouvelle levée de fonds de 1,6 milliard de dollars, faisant enfler encore un peu sa valorisation, qui dépasse désormais les 41 milliards de dollars. Uber a obtenu la somme il y a quelques jours auprès de la branche de gestion de fortune de Goldman Sachs, a indiqué mercredi 21 janvier une porte-parole de la banque d'affaires à l'AFP.

Selon une source proche du dossier, l'opération valoriserait désormais l'entreprise à 41,2 milliards de dollars. La valeur d'Uber avait déjà grimpé à 40 milliards de dollars après un autre tour de table de 1,2 milliard de dollars bouclé début décembre. Uber, contacté par l'AFP, n'a pas confirmé dans l'immédiat. La société est surtout connue pour son application mobile de location de voiture avec chauffeur, pensée comme une alternative aux taxis traditionnels. La folle expansion des Fab Lab.