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Stratégie digitale

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Un assistant intelligent au poignet : Android Wear 2 arrive sur deux montres LG le 10 février. L'intelligence artificielle va-t-elle permettre de relancer le marché moribond des montres intelligentes ? Google l'espère en faisant de son assistant intelligent Google Assistant la pièce maitresse de la version 2 de son OS pour objets connectés à porter, Android Wear. Celui-ci sera déployé dès le 10 février 2017 aux Etats-Unis, en commençant par deux nouveaux modèles créés par LG : les LG Watch Style et LG Watch Sport. Deux montres qui se distinguent par un cadran rond dont le contour peut pivoter pour naviguer dans les contenus. Android Wear 2 permet aussi de déclencher beaucoup d'actions contextuelles uniquement avec la voix, grâce aux pouvoirs de Google Assistant.

Mais uniquement en langue anglaise et allemande pour l'instant… La LG Watch Sport dispose d'une connectivité 4G, d'un GPS, d'une puce NFC pour la fonctionnalité "Android Pay" et peut être utilisée seule, sans smartphone à proximité. Un Google Play pour montres intelligentes. « L’intelligence artificielle est un élément de souveraineté nationale », selon Jean-Yves Le Drian - Défense. Contrairement à Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargé du numérique ou à Mady Delvaux-Stehres, députée européenne luxembourgeoise, auteur du rapport concernant des règles de droit civil sur la robotique, Jean-Yves le Drian, est venu au colloque "Intelligence artificielle : des libertés individuelles à la sécurité nationale", qui s’est tenu à l’Assemblée nationale le 14 février.

C’est qu’il avait un message fort à faire passer. "L’intelligence artificielle est un élément de notre souveraineté nationale", a-t-il affirmé. Il a prévenu à demi-mot les parlementaires présents, qu’elle prendrait une bonne place dans la prochaine loi de programmation militaire. Il a surtout expliqué pourquoi. États-Unis et le Royaume-Uni en avance D’abord, parce que "nos alliés", eux, en font déjà une arme stratégique de sécurité et de défense. Drones autonomes en essaims et rafale du futur Dans ce domaine, "il nous faut donc raisonner différemment, sans abandonner ce qui fait la force de l’aviation de combat. [Intelligence artificielle] En Chine, les clients peuvent déjà payer juste avec leur visage.

Chaque année, la MIT Technology Review se prête au même exercice : sélectionner les dix technologies de rupture qui marqueront les douze prochains mois. Dans le cru 2017, la revue du Massachussets Institut of Technology a notamment identifié le "paying with your face". Spécialiste des technologies d'intelligence artificielle, le journaliste Will Knight raconte comment en Chine, les clients peuvent d'ores et déjà payer en présentant simplement leur visage à une caméra grâce aux technologies de reconnaissance faciale.

La reconnaissance faciale existe depuis plusieurs années, mais depuis peu de temps seulement sa précision (boostée par les algorithmes de deep learning et de vision par ordinateur) permet un usage pour des applications financières. L'une des start-up les plus prometteuses dans le domaine s'appelle Face ++. Basée dans la banlieue de Pékin, elle a mis au point un logiciel capable d'identifier une personne avec un très haut degré de précision. Une expérience "sans couture" E-commerce : Delticom veut créer un site logistique de 100 000 m² en Alsace. Le spécialiste allemand de la vente de pièces automobile, camions et engins agricoles sur Internet Delticom prévoit d’implanter un site logistique compris entre 100 000 et 150 000 mètres carrés à Ensisheim (Haut-Rhin).

L’annonce de cet investissement qui sera compris entre 60 et 80 millions d’euros et doit créer environ 300 emplois d’ici 2018 a été confirmée par l’Agence d’attractivité de l’Alsace (AAA), le 7 mars 2017, sans préciser le nom de l’investisseur final. Selon nos sources, il s’agit de Delticom, dont le siège est à Hanovre (RFA), initialement spécialisé dans la vente en ligne de pneumatiques dont il est le leader européen, et disposant désormais d’un catalogue plus étoffé. Le e-vendeur se développe également sur le B2C. 18 hectares au nord de Mulhouse Delticom va donc s’installer sur la zone d’activité de la Plaine de l’Ill, située au nord de Mulhouse, où il occupera 18 hectares, dans un premier temps.

Voici comment Bpifrance aide les PME à prendre le virage de la transformation digitale. "Aujourd’hui quand on parle digital à nos PME, c’est souvent un facteur de stress", affirme Fanny Letier, directrice exécutive chez Bpifrance à la direction Fonds Propres PME. "Deux-tiers des entreprises affirment que c’est un sujet qui les concerne mais qui les angoisse. " Et surtout, la plupart d’entre elles ne savent pas par où commencer. Or, selon Fanny Letier, "le digital n’est pas la clé à tous les maux de l’entreprise, c’est une clé de la transformation". Un outil incontournable pour ne pas se faire "disrupter" et continuer son développement. Et pour les PME qui pensent au Chief Digital Officer (CDO) comme LA solution pour mener cette transformation numérique, pas sûr que ce soit une bonne idée !

Le CDO, une mauvaise solution pour les PME "Le CDO est une invention saugrenue", a même lancé Louis Gallois, Président du conseil de surveillance de PSA lors de la soirée de présentation de la 3e promotion de l’accélérateur PME de Bpifrance, le 6 mars 2017. A-tahiti-la-transformation-digitale-c-est-maintenant-rapport. Plus de 7 entreprises polynésiennes sur 10 se disent concernées par la transformation digitale, selon le premier Baromètre de la Transformation Digitale des entreprises de Polynésie française* publié courant décembre 2016, en amont du Digital Festival de Tahiti.

C’est bien ! Mais ce pourcentage est à prendre avec des pincettes… En effet, un quart d’entre elles estime avoir encore 4 à 5 ans devant elles avant d’être affectées par cette révolution numérique. Et seules 24% estiment la transition digitale et numérique de leur entreprise comme un enjeu prioritaire… Pourtant, c’est maintenant que tout se joue si elles ne veulent pas se faire "disrupter" par de nouveaux entrants, locaux ou pas.

L’exploitation des outils numériques débute mais le chemin est encore long Excepté une meilleure connaissance client (pour 74%), elles ont du mal à percevoir le digital comme un moyen d’optimiser leurs process internes, l’innovation, la réduction de leurs coûts, la rentabilité et la performance. Vous avez dit « Nuage » Jean-Michel Bérard, président du directoire d’Esker, fait œuvre pédagogique dans cet avis d’expert en rappelant la définition du Cloud, ou plutôt des Clouds. Le monde de l’informatique est coutumier des « Buzzwords » que les acteurs du marché s’approprient au mieux de leurs intérêts jusqu’à ce que ces mots finissent par perdre tout leur sens. C’est ce qui est arrivé récemment au « Cloud Computing » ou « Informatique en nuage ». Tout le monde en parle et se targue d’en faire mais sa véritable signification est-elle réellement connue de tous ?

Ce n’est pas certain lorsque l’on voit l’usage intempestif qui en est fait et le flou grandissant qui règne autour de ce terme. Alors, comment définir le Cloud précisément ? Rappelons d’abord ce qui peut sembler une évidence : au-delà de ses aspects techniques, la principale finalité de l’informatique est d’accroître la productivité des acteurs économiques. Des Nuages ? Un éditeur de logiciel peut faire de même avec ses clients. Sécurité des environnements cloud, attention aux idées reçues ! Par Tanguy de Coatpont, Directeur Général de Kaspersky Lab France. 21 % des responsables IT des grandes entreprises classent la sécurisation des infrastructures virtualisées parmi leurs toutes premières priorités pour les 12 mois à venir.

Ce résultat n'a rien d'étonnant dans le contexte de migration soutenue des architectures IT vers le cloud que nous observons depuis plusieurs mois. Du reste, dans la même enquête, plus de la moitié des entreprises reconnaissent que les environnements virtuels occupent une place grandissante dans leurs infrastructures informatiques. Aujourd'hui, le recours aux VM (machines virtuelles) n'est plus seulement de mise pour faire tourner les applications métier basiques, mais devient aussi de plus en plus fréquent pour les applications critiques, comme celles qui concernent la gestion des données clients ou encore les transactions financières, par exemple. Idée reçue n°1 : Les environnements virtuels sont plus sûrs que les environnements physiques Faux. Faux. Malheureusement si ! Ce serait trop simple ! Facebook vient titiller LinkedIn et lance officiellement les offres d'emploi. Facebook vient d’annoncer officiellement sur son site le lancement d’une fonctionnalité permettant aux pages publier des offres d’emploi.

Les utilisateurs auront alors la possibilité de postuler directement dans cette interface. L’arrivée d’offres d’emploi sur Facebook avait déjà fait l’objet d’un premier article sur notre site au début du mois de novembre. Certaines pages avaient découvert qu’elles avaient la possibilité de proposer des offres, de la même manière qu’elles pouvaient rentrer des produits ou héberger des vidéos. Cette fonctionnalité officiellement sortie est déployée uniquement sur les États-Unis et Canada pour l’instant. Les utilisateurs du plus grand réseau social du monde peuvent alors postuler à des offres sans avoir à sortir de Facebook. Prenez garde à votre e-réputation et à la maitrise de la confidentialité de vos contenus sur le réseau social.

Maintenant, la grande question c’est : que va faire LinkedIn ? Source. Big data : Continuité ou rupture. Le big data est-il une évolution de la business intelligence ou doit-il être compris comme une approche radicalement nouvelle d’analyser les données ? La création de volumes de plus en plus considérables de données n’est que la simple résultante du passage du monde analogique au monde numérique. Cette révolution est partie de l’univers Internet pour s’étendre à l’ensemble des activités humaines. S’agit-il d’une réellement d’une révolution où les idées et les approches définies pour la BI traditionnelle sont-elles toujours applicables ? « Le big data, c’est d’abord une manière différente d’aborder les données, commentait Damien Cudel, responsable du Marketing Data Insights chez Microsoft lors de la conférence Analytics & Big Data organisée par le groupe Alten. La BI traditionnelle est o rganisée selon une approche « “schema first” dans laquelle on définit d’abord un modèle de données.

Hadoop ou pas hadoop ? Les 7 principes de la stratégie digitale. L’un des principaux objectifs d’une stratégie digitale, c’est de permettre la conquête d’un avantage concurrentiel. Construire une stratégie digitale performante est à la fois technique et subtil. Le plus important est de construire un raisonnement solide et cohérent. Pour vous aider en cela, il faut respecter 7 principes clés: les 7 principes de la stratégie digitale.

Principe 1: Audience is your Boss Il faut connaître votre audience car la connaissance de votre audience vous guide dans la conception de produits et services nouveaux. Principe 2: Connaissez vos concurrents Votre objectif est de conquérir un avantage concurrentiel en construisant une stratégie digitale perforante. Principe 3: Vision ! La vision, c’est la projection de votre entreprise dans le futur. Principe 4: Le marché à toujours raison Nous parlions d’avantage concurrentiel et de position, c’est la clé du succès, cela doit être une obsession, ce sera au cœur de toutes vos action, et intimement lié à votre vision.