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Protection sociale

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Dessine-moi l'éco - La nouvelle prime d'activité : êtes-vous concernés ? - vidéo Dailymotion. Comptes publics. Le budget de l’État en 2014 (résultats et gestion) Un déficit en augmentationDes recettes en forte baisseDes dépenses stabiliséesL’appréciation d’ensemble de la gestion budgétaire Un déficit en augmentation Le budget de l’État en 2014 présente un déficit de 85,56 Md€, en hausse de 10,69 Md€ par rapport à 2013.

La réduction du déficit budgétaire de l’État, constatée depuis plusieurs années, a été interrompue. Le déficit de 2014 est supérieur de 2,99 Md€ à celui fixé en loi de finances initiale (LFI). L’exécution budgétaire a été compromise par des prévisions optimistes en recettes et des ajustements tardifs en dépenses. Avec le maintien d’un déficit budgétaire élevé, la progression de la dette de l’État ne ralentit pas : elle est passée de 1 457 Md€ fin 2013 à 1 528 Md€ fin 2014.La faiblesse des taux d’intérêts nominaux a permis de contenir la charge budgétaire d’intérêt de la dette à 43,2 Md€, mais elle ne garantit pas pour autant la soutenabilité de la dette à moyen terme.

Des recettes en forte baisse Des dépenses stabilisées. Les inégalités ont explosé ces 30 dernières années. Elles exacerbent les inégalités entre hommes et femmes, et engendrent une série de problèmes sanitaires et sociaux. Elles entravent la mobilité sociale, condamnant certaines familles à rester pauvres de génération en génération, tandis que d'autres profitent de leurs privilèges d'année en année. Elles alimentent le crime et même des conflits violents. Leurs conséquences corrosives nous affectent tous, mais les répercussions sont pires pour les personnes les plus pauvres.

Notre tout dernier rapport "À égalité ! Il est temps de mettre fin aux inégalités extrêmes", met en évidence que le fossé entre riches et pauvres se creuse encore davantage et nuit à l'éradication de la pauvreté. Ce rapport s'intéresse aux causes de la crise des inégalités et envisage des solutions concrètes pour y remédier. Si l’Inde mettait un terme à l’augmentation des inégalités, elle pourrait mettre fin à l’extrême pauvreté de 90 millions de personnes d'ici 2019. Un rapport relance l'alerte sur la dette sociale.

INFO LE FIGARO - Si rien n'est fait, les déficits accumulés pourraient dépasser 100% du produit intérieur brut de la France en 2060, selon les projections du Haut Conseil du financement de la protection sociale. La dette sociale disparaîtra-t-elle un jour? Les projections réalisées par le Haut Conseil du financement de la protection sociale (HCFi-PS), qui seront discutées par ses membres ce mercredi et dont Le Figaro a obtenu une copie, ne laissent aucun espoir de rétablissement automatique des comptes de la Sécu et de l'Assurance-chômage. Ni à moyen, ni à long terme. Si rien n'est fait, la dette sociale devrait atteindre en 2030 un peu plus de 4 % du produit intérieur brut (PIB), 14 % en 2040 puis encore doubler à horizon 2060, selon les travaux du Haut Conseil. Elle devrait alors représenter pas loin d'un tiers du PIB. Et encore, ces chiffres sont ceux qui ressortent du scénario économique dit «central», qui table sur un chômage de long terme de seulement 4,5 %, soit le plein-emploi.

Taux de pauvreté en France : à son plus haut niveau depuis 1997. En 2013, 14% des personnes vivant en France gagnaient moins de 60% du revenu médian dans l'Hexagone et 8% moins de 50% de ce revenu. A 14% en 2013, le taux de pauvreté au seuil de 60% du niveau de vie médian est en baisse de 0,3 point par rapport à 2012. Le niveau de vie médian reste quant à lui quasi stable sur la même période (-0,1% en euros constants), à 20 000 euros annuels.

La baisse du taux de pauvreté traduit une hausse du niveau de vie des catégories les moins favorisées : + 1,1 % en euros constants pour le premier décile, une première depuis le début de la crise. Par ailleurs, l'intensité de la pauvreté diminue de 1,4 point, de 21,2 % en 2012 à 19,8 % en 2013, après une hausse de 2,1 points entre 2008 et 2012. "Le repli entre 2012 et 2013 s'explique en partie par la revalorisation de certaines prestations destinées aux plus modestes : RSA et allocation logement", souligne l'Insee. Le taux de pauvreté en France est calculé par l'Insee et mis à jour annuellement. Les différentes lois - projets de loi - de finances | Forum de la performance. Le projet de loi de finances et la loi de finances initiale Le projet de loi de finances propose la nature, le montant et l’affectation des ressources et des charges de l’État.

Il doit être voté avant le début de l’année à laquelle il se rapporte. Il comprend deux parties distinctes : Dans la première partie, il autorise la perception des ressources publiques et comporte les voies et moyens qui assurent l’équilibre financier de l'année. Cette partie s’achève par l’article d’équilibre. Placé en clôture de la première partie du projet de loi de finances (relative aux recettes), l’article d’équilibre résume les ressources du budget de l’État, fixe les plafonds de dépenses et détermine le solde général. Dans la seconde partie, il fixe pour le budget général, les budgets annexes et les comptes spéciaux, le montant des crédits des programmes ou des dotations, en autorisation d’engagement et en crédits de paiement en précisant le montant maximum de leurs dépenses de personnel.

Observatoire des inégalités. Les inégalités continuent à augmenter en France. 24 septembre 2015 - Les inégalités continuent à se creuser en France entre les plus pauvres et les plus riches. La période 2011-2013 voit une baisse du revenu des plus riches, mais ils restent largement gagnants sur dix ans. L’analyse de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités « Au regard des principaux indicateurs, la réduction des inégalités amorcée en 2012 s’accentue en 2013 ». Pour l’Insee, qui vient de livrer ses données 2013 sur les revenus [1], les inégalités de revenus se réduisent. Un grand nombre de commentaires de ces données, rédigés dans l’urgence, ont repris cette analyse. Que peut-on dire, malgré tout, des nouvelles données ? Les revenus des plus pauvres se maintiennent, notamment du fait des minima sociaux et des allocations logement, pourtant désormais dans le collimateur du gouvernement.

. + 4 300 euros par an pour les 10 % les plus aisés en dix ans Si l’on veut vraiment comprendre l’évolution des inégalités dans notre pays, il faut prendre du recul. Revenus-Salaires - Les niveaux de vie en 2013. Imprimer la page Antoine Boiron, Julie Labarthe, Lucile Richet-Mastain, Marie Zergat Bonnin, division Revenus et patrimoine des ménages, Insee Résumé En 2013, en France métropolitaine, le niveau de vie médian de la population s’élève à 20 000 euros annuels ; il est quasiment inchangé en euros constants par rapport à celui de 2012. L’évolution est différente selon la position dans l’échelle des niveaux de vie : en hausse dans le bas de l’échelle, le niveau de vie diminue dans le haut. Les 10 % des personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10 730 euros.

Les 10 % les plus aisées ont un niveau de vie supérieur à 37 200 euros, soit 3,5 fois plus. Le seuil de pauvreté, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s’établit à 1 000 euros mensuels. C’est parmi les chômeurs et les adultes de moins de 30 ans que la pauvreté recule le plus. Sommaire Encadré Une enquête Revenus fiscaux et sociaux rénovée Publication En 2013, le niveau de vie médian reste stable Encadré. Sécurité sociale : vers une réduction du déficit en 2016. Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes et Christian Eckert, secrétaire d’Etat chargé du Budget, présentent le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2016, le 24 septembre 2015.

Le déficit du régime général devrait se réduire de trois milliards d'euros en 2016. Présentation du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2016, le 24 septembre Le rétablissement des comptes sociaux Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2016 confirme le rétablissement des comptes sociaux.

Du ralentissement de la progression de l'objectif national des dépenses d'assurance maladie (ONDAM) : est fixé pour 2016 l’objectif de + 1,75 %, de la montée en charge des économies sur la branche famille. Plus de trois milliards d'euros d'économies en 2016 Les 3,4 milliards d'économies prévus au titre de l'ONDAM en 2016 résulteraient principalement de : Deux branches excédentaires en 2016. La protection sociale.