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Delegation ecommerce

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Tout savoir sur la délégation E-commerce. Tout savoir sur la délégation e-commerce Il y’a encore quelques temps, un entrepreneur E-commerce me contacte. Après s’être lancé dans la vente en ligne, il constate que ses revenus ne décollent pas, et que ses efforts & investissements n’avaient pas produit le retour attendu. Il touche du doigt les « limites » de ses compétences, et en mesure l’impact sur son business. Sur le web, la concurrence est très rude, et les clients bien exigeants. Et comme de nombreux hommes d’affaires qui ont tenté l’expérience, cet entrepreneur s’est vite rendu compte que le E-commerce est un travail de spécialistes, qui doit être mis dans les mains de spécialistes… C’est pourquoi est apparu depuis quelques années le concept de délégation E-commerce.

Présentation de la délégation E-commerce La délégation E-commerce: c’est quoi? L’idée? Qu’est-ce qui a amené la délégation E-commerce à voir le jour? Le web se professionnalise, c’est indéniable. La délégation E-commerce: un modèle juridiquement plus complexe. La délégation e-commerce, secteur en croissance - Les fondamentaux E-commerce - TENDANCE. © © Onidji - Fotolia.com Un vent de délégation souffle sur l'e-commerce français. GSI Commerce a été racheté par eBay en mars 2011. Digital Commerce Factory, une nouvelle activité de la maison mère Vente Privée, a été lancée il y a quelques mois.

De quoi compléter un panorama d'acteurs déjà bien implantés, à l'instar d'E-Merchant, de Yoox ou en encore de Brand Online. Le marché de la délégation croît et se structure. Concrètement, la délégation e-commerce est un contrat entre 2 parties. Des offres à géométrie variable De facto, les prestataires se déclarent prêts à prendre en charge l'ensemble des métiers de l'e-commerce. Le positionnement du délégataire d'une part et le besoin des marques de l'autre influent donc sur les prestations assurées. Le plus important est que la prestation permette à la marque «d'entrer rapidement sur le marché Internet sans renoncer ni à son image ni à ses marges», indique Philippe Rodriguez, président de Mixcommerce. 3 questions à...

Bénéfices et écueils. La délégation e-commerce : des pros au service des marques. D’abord, un petit mot pour remercier Cobolian pour son invitation à rejoindre le blog de Captain Commerce: j’en suis très honoré ! Et merci au boss pour avoir approuvé ! Je n’ai pas encore reçu mon collant vert, mais je me laisse déjà pousser la moustache … Connaissez-vous la délégation d’e-commerce, un concept relativement récent sur le web ?

J’ignore qui de Michel de Guilhermier (www.inspirationalstores.com) ou de Philippe Rodriguez (www.mixcommerce.com) est à l’origine de ce concept, peut-être même importé d’un autre pays, mais ce que je sais c’est que le concept est excellent et le marché très porteur ! En quelques mots, on pourrait associer le principe de la délégation d’e-commerce à une sorte de franchise on line : le franchisé n’a mandat que pour commercialiser les produits du franchiseur sur internet, strictement et exclusivement. Comme pour la franchise classique, le délégué peut utiliser le nom de la marque, sa notoriété et ses visuels pour la promotion de sa boutique en ligne. Quel business model pour la délégation e-commerce ?

J'apprends par le Journal du Net que la Digital Commerce Factory arrête la délégation e-commerce. La Digital Commerce Factory, c'est l'agence lancée en 2011 par les actionnaires de Vente-privee.com et dirigée par Catherine Barba, dont l'agence de conseil e-commerce Malinea, avait été rachetée par la nouvelle structure. Quant à la délégation e-commerce, c'est un concept importé des USA qui, pour faire simple, se situe entre la franchise et le mandat commercial. En très bref, il transpose le principe de la franchise sur Internet. Un franchisé, ou plutôt une sorte de mutant franchisé exclusif multi-territoires, reçoit mandat d'une marque, de préférence avec une certaine notoriété, pour commercialiser ses produits uniquement en ligne. Sur le papier, le principe est assez simple et semble porteur.

En théorie seulement. A cela, s'ajoutent parfois des réels problèmes d’exploitation. Www.alain-bensoussan.com/wp-content/uploads/22497334.pdf. Pourquoi IS a Quitté la Délégation e-Commerce ? Un graphique remplaçant mille mots, voila ci-dessous la raison financière à notre décision de nous mettre sur un autre terrain de jeu, ce dès la fin 2008 !

De quoi s'agit-il, des comptes (officiellement déposés) d'un ex confrère, en K€. Pas loin de 8M€ de pertes cumulées depuis 2007 à ce jour (sans même compter 2010). Ouch. Ces pertes ne sont en fait qu'une partie de la problématique. Et c'est donc là où rentrait une autre considération : comme je le mettais il y a un peu plus de 18 mois, je crois que pour faire la différence dans ce métier il ne faut pas des millions mais des dizaines de millions d'investissements, ce pour créer de vrais actifs tangibles : une belle logistique intégrée, une plateforme technique pointue hyper rodée et performante, s'intégrant d'ailleurs parfaitement aux SI des partenaires, du m-commerce, du multi-canal, etc. Sinon, question "fond de commerce", que possède t-on ?

Sympa la relation de dupe... MAJ 28 Mars 2011. Délégation e-commerce. Le site Frenchweb de mon ami Richard Menneveux a publié récemment une petite interview qu'il a faite de moi. Très rapidement, quelqu'un chez notre confrère et néanmoins concurrent MixCommerce, au pseudo de "Michel", a souhaité poster le commentaire suivant : "Je rejoins Philippe sur son étonnement qu’IS pensait générer du revenu sur le volume généré par de petites marques pointues.. Il est tout à fait étonnant qu’un entrepreneur aussi brillant que Michel n’ait pas vu ce qui parait pourtant une évidence : le commerce électronique nécessite du volume, et ce d’autant plus dans un modèle où l’opérateur prend à sa charge tous les frais de set-up et se rémunère uniquement sur le volume de chiffre d’affaires généré.

Je travaille chez un opérateur d’e-commerce délégué qui a déjà 10 grosses marques et je m’étonne de la stratégie d’IS qui est difficilement lisible. Voila donc ce que je réponds à ce commentaire : Et bien, tout d’abord merci pour le “brillant entrepreneur” !