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Séries et films

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Riese The Series. James Cameron’s New 3-D Epic Could Change Film Forever. 12 years after Titanic James Cameron is betting he can change forever the way you watch movies Photo: Art Streiber Inside the 3-D World of Avatar In 1977, a 22-year-old truck driver named James Cameron went to see Star Wars with a pal. His friend enjoyed the movie; Cameron walked out of the theater ready to punch something. He was a college dropout and spent his days delivering school lunches in Southern California’s Orange County. But in his free time, he painted tiny models and wrote science fiction — stories set in galaxies far, far away. Now he was facing a deflating reality: He had been daydreaming about the kind of world that Lucas had just brought to life. Star Wars was the film he should have made. It got him so angry he bought himself some cheap movie equipment and started trying to figure out how Lucas had done it.

He quickly realized that he was going to need some money, so he persuaded a group of local dentists to invest $20,000 in what he billed as his version of Star Wars. Review by Wired. Even if it had a crappy story, shallow characters and lame dialogue, James Cameron’s 3-D spectacle Avatar would earn a big “wow!” Solely on the strength of its awe-inducing visuals.

As it turns out, Avatar, which opens Friday, is a damn good movie, period. Building on a solid foundation of strong performances, Cameron and his team have cut from whole digital cloth an exquisitely detailed world at once familiar and gorgeously exotic. The adventure takes place entirely on the distant orb known as Pandora, an exotic alien world sitting squarely in the cross-hairs of earthlings’ military-industrial complex. This is where humans clash with the Na’vi: 10-foot-tall blue creatures that enjoy a special bond with their world. Every few minutes, Cameron unveils another vista, another beast, some new flower or dinosaur-bird or airborne jellyfish designed to stun the senses and celebrate nature’s sheer fecundity. (Spoiler alert: Minor plot points follow.) No wonder. Rating: “Avatar” et le cinéma en relief. Télécharger Avatar de James Cameron ?

Un peu inutile puisque l'une des qualités de ce films est qu'il a été tourné pour être projeté en relief. La technique du cinéma en relief – ou 3 dimensions, 3D – est vieille d'une cinquantaine d'année, mais le rendu n'était pas terrible, et la technique est donc restée confidentielle. Puis arrivèrent les années 2000 et la 3D a gagné en qualité, à défaut de s'être généralisée. Il existe en fait plusieurs moyens de duper le cerveau du spectateur pour que ce dernier perçoive les images projetées sur un écran comme un objet en relief. Actuellement au moins trois systèmes coexistent. Avant de projeter, il faut tourner. Dans les premiers temps du cinéma en relief, chacune de ces prises de vue était associée à des couleurs différentes.

L'idée de la Dolby 3D est assez proche de celle des lunettes de couleurs, bien que nettement améliorée. A la sortie du projecteur est intercale un filtre à roue tournante qui sélectionne des couleurs. Born of Hope. Peut-on être (acteur) et avoir été Tony Soprano? - Film Bazar - Pendant huit ans et demi, James Gandolfini a été Tony Soprano, le héros de la série la plus mythique des années 2000 écrite et supervisée par David Chase. Chef de mafia ultra-violent et ultra-sympathique, père de famille en crise existentielle, séducteur cinéphile, Tony Soprano était plus qu'un personnage.

C'était à la fois un intime des spectateurs de la série qui lisaient sur son visage comme dans un livre, un membre de leur famille dont ils attendaient impatiemment le retour entre chaque saison, et partageait ensuite littéralement leur vie pendant des mois, et une légende de la culture pop dont le portrait géant s'étalait sur les tours de Manhattan à chaque nouvelle saison. Avant de devenir Tony Soprano, rôle pour lequel il finit, lors de la dernière saison de la série, par être payé 1 million de dollar par épisode, James Gandolfini était un de ces très bons acteurs américains éternellement abonnés aux rôles secondaires.

Suite : Petit extrait in memoriam : How I Met Your Mother - Nothing Suits Me Like a Suit. How I Met Your Mother Community.