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Armellechanteclair

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Jonathan Marie et Jean-François Ponsot... - Les Économistes Atterrés. Le Monde - Il y a quelques mois, le gouvernement jugeait... Le Monde - Dans un marché saturé, les investisseurs ne... La pandémie qui sévit met en évidence... - Courrier international. Indépendants, pourquoi il ne faut pas se ruer sur le statut d'auto-entrepreneur.

Les freelances qui ne veulent pas des contraintes administratives liées à la création d'une entreprise se tournent les plus souvent vers le statut d'auto-entrepreneur.

Indépendants, pourquoi il ne faut pas se ruer sur le statut d'auto-entrepreneur

Pourtant, il existe des alternatives parfois mieux adaptées à leurs besoins. Sur les 2,3 millions de travailleurs indépendants répertoriés en 2017, un très grand nombre exerce sous le statut de micro-entrepreneur : plus d'un million en 2017. Il s'agit d'un régime social et fiscal ouvert aux entrepreneurs ayant créé une entreprise individuelle ou une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée.

Mais la création d'une entreprise n'est pas obligatoire pour travailler en tant que freelance. Au lancement de son activité, il est possible d'opter pour une couveuse et, ensuite, d'exercer au sein d'une structure de portage salarial ou d'une coopérative d'activités et d'entrepreneurs. La structure de portage salarial Un chiffre d'affaires minimum est souvent requis afin que le porté puisse se verser un salaire tous les mois. Gémenos : face au succès des thé “1336“ et ”Scop-Ti”, les ex-Fralib ont besoin de trésorerie - France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Après 1.336 jours de conflit avec le groupe Unilever, les ex-salariés de Fralib à Gémenos ont réussi à sauver leur usine et 76 emplois.

Gémenos : face au succès des thé “1336“ et ”Scop-Ti”, les ex-Fralib ont besoin de trésorerie - France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur

En 2014, ils ont créé une Société coopérative ouvrière et participative (SCOP), une entreprise où tous les employés participent aux décisions et touchent le même salaire par catégories professionnelles. Cinq ans ont passé, l'entreprise s'est développée, passant d'un chiffre d'affaires de 460.000 euros la première année, à près de quatre millions d'euros cette année.

Un succès obtenu notamment avec les thés et infusions bio sous les marques "1336" (en référence au nombre de jours de conflit) et "Scop-Ti" (pour Société coopérative ouvrière et participative Thé et Infusion), mais aussi avec le développement de marques distributeurs. "15 à 18 mois avant un début de retour sur investissement" Pour arriver à l'équilibre financier, la société doit se développer et remporter des marchés et pour y répondre, il faut de la trésorerie. 1.336 jours de conflit social.

Décroissance : « Nous voulons seulement passer d’une jouissance d’avoir, à une jouissance d’être » Pendant une semaine, Le Monde s’interroge sur les manières de lutter contre le dérèglement climatique. Ce jeudi, nous nous intéressons aux questions de la consommation : peut-on consommer moins ? La décroissance peut-elle être une solution ? Quelles solutions prônent les décroissants et sont-elles réalistes ? Sans aller jusqu’à la décroissance, est-il encore possible de modifier nos modes de vies et nos habitudes ? Alors que la COP24 sur le climat se tient en Pologne, la rédaction du « Monde » se mobilise autour de ces questions. Benj : S’agit-il réellement de décroissance ou simplement de revenir au stade d’avant la surconsommation ?

La société de consommation n’est pas simplement une société où l’on consomme plus que dans une autre, ce qui signifierait qu’elle serait venue combler un vide, un manque. DrHouse16 : Aujourd’hui, beaucoup se rendent compte que l’on arrive au bout du système de croissance infinie. C’est pourquoi j’ai toujours dit que la décroissance était un mot obus.

Objectif IA. L’intelligence artificielle, tout le monde en parle, mais qui comprend réellement ce que c’est ?

Objectif IA

Ce qu’elle peut ou ne peut pas faire ? Comment elle affecte déjà nos vies ? Se former, c’est être actif face à cette avancée technologique, comprendre ses atouts, identifier les opportunités qu’elle offre mais aussi les défis qu’elle représente. L’objectif ? Former au moins 500 000 personnes aux fondamentaux de l’IA (définition, applications concrètes, regard critique, etc.). D’où vient cette initiative ? Ce projet est mené par l’Institut Montaigne (think tank indépendant) et OpenClassrooms (leader de la formation en ligne) en partenariat avec la Fondation Abeona (association qui défend l’équité dans la sciences des données). BlaBlaCar.