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Bienvenue. Comment les policiers français traquent les cybercriminels. Skimming, carding, phishing, botnets...

Comment les policiers français traquent les cybercriminels

Ces quatre terminologies anglo-saxonnes et barbares désignent quelques uns des crimes commis sur le Net et traqués par la soixantaine d'officiers de l'Office Central de Lutte contre la Criminalité liées aux Technologies de l'Information et de la Communication (OCLCTIC), une division de la police judiciaire créée en 2000. En matière de cybercriminalité, la créativité des pirates n'a pas de limite. « Nous sommes à l'affut des nouvelles tendances. Par exemple, il y aura sûrement des problèmes issus des nouveaux systèmes de paiement sans carte bancaire mis en place par les opérateurs mobiles », indique la patronne de l'OCLCTIC, Valérie Maldonado, qui ne fait pas de bilan chiffré de l'activité de l'Office.

Fléau difficile à mesurer Les botnets (ces réseaux de machines « zombies » qui envoient en masse des requêtes afin de « planter » un système informatique) sont classés parmi les crimes les plus graves représentant une menace sur le plan national. Face à la fraude sur internet, la police déçue du traitement judiciaire. La fraude sur internet est en hausse en France depuis deux ans.

Face à la fraude sur internet, la police déçue du traitement judiciaire

C’est ce qu’a rappelé Christelle Faubert de l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication (l’OCLCITC), un service du ministère de l’intérieur, lors du salon e-commerce du 25 septembre dernier à la Porte de Versailles à Paris. Les points relais facilitent la fraude Le constat de son intervention est que la fraude sur internet s’est professionnalisée. Pire, la livraison en points relais a permis d’anonymiser les données de réception des produits frauduleusement commandés sur internet.

Face à la recrudescence des escroqueries, Christelle Faubert s’est montrée déçue par le traitement judiciaire des affaires révélées par la police. « On essaie de rapprocher le temps judiciaire avec le temps numérique, ce n’est pas simple » relève-t-elle. L’escroquerie mal punie par rapport au trafic de drogue Ce texte a été lu 1934 fois ! 5 décembre 2015 Dans "brèves" Temps réel. Etude indépendante : Lutte contre la fraude monétique. Publié par UnderNews Actu UnderNews a décidé de vous présenter une étude réalisée par un jeune expert en sécurité bancaire, Thomas Camus, qui a gracieusement proposé la publication de son étude sur la fraude bancaire et le carding en France.

Etude indépendante : Lutte contre la fraude monétique

Thomas Camus a acquis de l’expérience à travers ses divers missions contre la fraude monétique chez Amex et Expedia. Les rapports MRC sont aussi pris comme source dans cette étude. Thomas Camus – Fighting Credit Card Fraud Définition de la fraude monétique La fraude monétique se définie comme étant l’ensemble des achats effectués au moyen de payements électroniques ou physiques, sans le consentement du titulaire du moyen de paiement. Les chiffres clés de la fraude bancaire en France En 2011, 650 000 personnes ont été victimes de fraude à la carte bancaire, contre 500 000 en 2010. Comment fonctionne la détection de la fraude monétique dans le e-commerce ? Le carding : un business lucratif pour les cybercriminels – Le Blog du Hacker. Si vous êtes nouveau sur Le Blog Du Hacker, je vous souhaite la bienvenue et vous propose de commencer par ici, vous pouvez également rejoindre la page Facebook du site.

Le carding : un business lucratif pour les cybercriminels – Le Blog du Hacker

Merci pour votre visite ! Le 17 mars 2014, le distributeur Sally Beauty annonce avoir subi un piratage qui se solde par le vol d’environ 25 000 numéros de cartes de crédit appartenant à leurs client(e)s. Il s’avère que le chiffre avancé par l’enseigne est bien loin de la réalité puisque 280 000 numéros de cartes de crédit auraient finalement été dérobés. Selon certains consultants en sécurité, cette cyberattaque aurait un lien avec celle du distributeur Target, dont 40 millions de clients se sont vus dérober leurs données bancaires entre le 27 novembre et le 15 décembre 2013. Ces cyberattaques mettent en valeur l’obsolescence des cartes à pistes magnétiques. Il y a encore quelques années, les données bancaires volées pouvaient se vendre entre 20 et 135 $ environ. Comment ces informations se retrouvent-elles sur le web ?