Je voeu les alternatives au nucléaire. Certains prétendent qu’il est impossible de se passer du nucléaire.
On dit de l’énergie atomique qu’elle est propre et peu coûteuse. S’il est vrai qu’elle ne produit pas ou très peu de CO2, Tchernobyl a déjà prouvé ses dangers en 1986. On les croyait dû au communisme mais Fukushima nous montre aujourd’hui que même les pays à la pointe du capitalisme et du progrès y sont exposés. On blâmerait la nature cette fois ?
Ce serait oublier d’autres accidents survenus entre temps… et la façon dont on gère la filière… Pour s’assurer de l’efficacité des alternatives, commençons par expliquer quelques points de comparaison comme le coût, la surface utilisée et la puissance produite… et voyons ensuite les différentes sources d’énergies possibles et les alternatives liées (une source peut-être exploitée de différentes manières : La biomasse, la géothermie, l’hydraulique, la mer, l’éolien puis le solaire… Des points de comparaison. L'énergie nucléaire est la plus coûteuse. Mardi 31 mai 2011 2 31 /05 /Mai /2011 08:21 Alors que nos voisins suisses et allemands viennent d'abandonner le nucléaire, l'ensemble de l'opinion politique française, bien embarrassé, nous sert un discours tout préparé pour nous redire que nos choix hexagonaux sont les meilleurs: "moins de carbone rejeté, moins cher, plus sûrs" : même de plus en plus seuls, nous avons fait le bon choix.
Prenons le problème d'un autre angle, celui du coût. Voici ce qu'en dit un des défenseur de la cause nucléaire, lobbyiste influent, Jean-Marie Jancovici : "Le nucléaire coûte 2000 à 3000 € par kW de puissance installée (contre 500 € pour du gaz et 1500 € pour du charbon). Remplacer ce kW nucléaire par des éoliennes, quatre fois moins productives par an (le vent est variable !) Nécessite d’installer 4 kW, pour environ 4000 euros à terre, et le double en mer. " Un problème de corrosion menacerait la centrale nucléaire de Cattenom. Selon Médiapart, 25 réacteurs nucléaires français dont Cattenom (Moselle) sont menacés par des problèmes de corrosion.
L’exploitant des centrales qui est EDF se veut rassurant. Un problème de corrosion a été identifié sur des gaines de combustibles qui entourent l'uranium dans 25 des 58 réacteurs nucléaires français, rapporte vendredi 7 février le site Mediapart (article payant). La centrale de Cattenom (Moselle) est concernée par ce problème selon un document interne d’EDF que s’est procuré le site internet d’investigation. Selon EDF, il s’agit d’un «dossier technique qui fait l'objet d'échanges de travail » entre EDF et l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).
«A ce stade il n'y a aucun problème de sûreté et donc aucune conséquence en termes d'exploitation», a ajouté EDF. Selon un expert du nucléaire interrogé par L’Essentiel, si le niveau de corrosion est faible, alors le risque sur la santé et la sécurité des installations et minime. Déchets Nucléaire: le cauchemar d'EDF. Jeudi, 21 Janvier 2010 12:48 Déchets Nucléaire: le cauchemar d'EDF Le documentaire réalisé par Laure Noualhat et Eric Guéret diffusé sur Arte le 13 octobre 2009 a fait grand bruit en France et se retrouve au centre de la querelle EDF-Areva.
Au cœur du document, une révélation explosive: EDF expédierait en Russie des centaines de tonnes de déchets nucléaires hautement radioactifs qui seraient entreposés dans une sorte de décharge à ciel ouvert au beau milieu de la Sibérie. EDF reconnaît de ne pas disposer de «la technologie pour renchérir et chimiquement retransformer l’uranium de retraitement». En clair, le dit uranium usagé est, pour partie, expédié à 7'000 km de Paris, en Russie plus précisément, dans le complexe nucléaire de Tomsk 7 à Seversk, Sibérie.
Là, l’uranium est censé être retraité, à nouveau enrichi puis réexpédié à EDF. Image Satellite Google Maps: Entreposage EDF des Déchets en Russie Visible sur Google Maps: coordonnées : 56 37’09.04 N 84 51’24.26 E. Energie : Le nucléaire dans le monde.