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Biodiversité

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IPCC - Intergovernmental Panel on Climate Change. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a été créé en 1988 en vue de fournir des évaluations détaillées de l’état des connaissances scientifiques, techniques et socio-économiques sur les changements climatiques, leurs causes, leurs répercussions potentielles et les stratégies de parade.

IPCC - Intergovernmental Panel on Climate Change

Depuis lors, le GIEC a établi cinq rapports d’évaluation multivolumes, accessibles depuis l’onglet Publications. Il a entamé son sixième cycle d’évaluation. Le GIEC et l’ex-Vice-Président des États-Unis d’Amérique, Al Gore, ont reçu le Prix Nobel de la paix en 2007 pour leurs contributions dans le domaine des changements climatiques. Note: Certains liens mènent le lecteur à des documents/pages en langue anglaise où aucune version traduite n’est proposée. Au cours de ce cycle, le Groupe d’experts produira trois rapports spéciaux, un rapport méthodologique sur les inventaires nationaux de gaz à effet de serre et le sixième Rapport d’évaluation.

Qu'est-ce que le GIEC? Climat: les deux pages du rapport du Giec que les gouvernements ont censurées. Préservation de la biodiversité : le CAC 40 commence à y penser. Publiée récemment, une étude fait le point sur l'engagement des entreprises du CAC40 pour la préservation de la biodiversité et met en avant la nécessité d'établir davantage de partenariats entre ces sociétés, associations et monde de la recherche.

Préservation de la biodiversité : le CAC 40 commence à y penser

Après l'efficacité énergétique, la gestion des déchets ou celle de l'eau, la thématique de la biodiversité s'intègre peu à peu dans les stratégies des entreprises, mais reste encore en retrait. Afin de présenter les grandes tendances des démarches des entreprises en matière de gestion de la biodiversité, le Cabinet Deloitte a conduit une étude sur les stratégies des entreprises du CAC40. Une étude qui pourrait faire découvrir à certaines entreprises le type d'actions mises en place. Des démarches partenariales pour préserver la biodiversité Selon les résultats de l'étude réalisée par le Cabinet Deloitte, l'implication des entreprises du CAC40 varie selon différents niveaux d'actions. L'objectif et intérêt de l'étude. La protection de la biodiversité : un enjeu majeur indissociable de la Responsabilité sociétale des entreprises. La Convention sur la Diversité Biologique (CDB) issue du Sommet de Rio marque un véritable tournant dans le droit international en reconnaissant la conservation de la biodiversité comme une "préoccupation commune à l’humanité".

La protection de la biodiversité : un enjeu majeur indissociable de la Responsabilité sociétale des entreprises

Elle est le point de départ de stratégies nationales en faveur de la biodiversité tandis que le protocole de Nagoya, adopté en 2010 par la Conférence des Nations Unies, est venu préciser le cadre d’accès aux ressources génétiques et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation (APA). Ces principes et leur mise en œuvre réglementaire progressive permettent de sensibiliser les entreprises à l’impact de leurs activités sur l’environnement et à l’importance économique de préserver la biodiversité.

Biodiversité : Bien public mondial. L'AFD met en œuvre la politique de la France d’aide au développement et de financement des économies des collectivités d’outre-mer, avec trois mandats : la réduction de la pauvreté ; la promotion de la croissance économique ; la promotion des biens publics mondiaux, dont la biodiversité.

Biodiversité : Bien public mondial

Depuis la ratification de la Convention de Rio sur la diversité biologique, la France s'est engagée dans plusieurs démarches de protection de la biodiversité sur son propre territoire, y compris dans l'outre mer dont certaines régions comptent parmi les plus diverses en matière biologique, et de promotion de la préservation biologique à l'étranger.

Les activités de l'AFD s'inscrivent dans les engagements nationaux pour l'outre-mer et internationaux. Au même titre que le climat ou la lutte contre les pandémies, la biodiversité est un bien public mondial. Elle est aussi un facteur essentiel de développement économique et social, à l’échelle d’une région, d’un pays, d’un territoire local. Le commerce mondial, moteur de la déforestation illégale. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Laurence Caramel Huile de palme, soja, bœuf, bois… Le commerce mondial est un puissant moteur de la déforestation illégale dans les pays tropicaux.

Le commerce mondial, moteur de la déforestation illégale

Pour la première fois, une vaste étude, publiée, mercredi 11 septembre, par l’organisation américaine Forest Trends, évalue l’ampleur du phénomène : près de la moitié de la déforestation dans les pays tropicaux s’explique par la conversion illégale de terres en exploitations agricoles à vocation commerciale. Dans un cas sur deux, la production est destinée à satisfaire la demande des grands pays industrialisés – Etats-Unis, Union européenne –, mais aussi de la Chine et de l’Inde .

Lire aussi : Déforestation : l'Indonésie a fait pire que le Brésil. Il est temps de réfléchir à la biodiversité que nous voulons.