Languedoc-Roussillon. Les Incroyables Comestibles de la nourriture à partager sont bien enracinés dans le Gard sur les terres de la jolie petite commune de Saint-Jean-de-Valériscle. Un coup de chapeau peut être adressé à ce collectif du bien commun pour avoir été le premier à rejoindre le mouvement Incredible Edible en France après l’appel de Colroy la Roche le 28 avril 2012.
Pour suivre les activités des citoyens jardiniers solidaires, rendez-vous sur le magnifique blog en lien ICI. Le journal télévisé de France 2 présenté par Élize Lucet donne un aperçu de la belle mobilisation citoyenne au sein de la commune de Saint-Jean-de-Valériscle. Le maire, Bernard Hillaire, ainsi que plusieurs habitants témoignent de la bienvenue du mouvement solidaire au sein de la collectivité locale. Dans le Gard, les graines de partage des Incroyables Comestibles ont également été semées dans la joie et la bonne humeur sur les belles terres de la ville d’Uzès. Le lien vers la Parade Festive se trouve ICI. Une épicerie bio itinérante pour fournir les communes les plus isolées. Dans l'Indre, l'Hirondelle, une épicerie itinérante, sillonne les rues afin de fournir les communes les plus isolées en produits bio.
On connaissait les food trucks, ces camions restaurants nomades assaillit de clients à la pause déjeuner, voici désormais l’épicerie mobile. Et bio de surcroît ! La pionnière du genre s’appelle l’Hirondelle et sillonne les routes de l’Indre à la rencontre des consommateurs. Léna Simon et Hélène Godet se sont lancées dans l’aventure en juillet 2012. La première était employée dans un salon de thé, la seconde fleuriste.
L’Hirondelle voyage en milieu rural afin de faciliter l’accès aux produits bio, la plupart du temps locaux ou issus du commerce équitable. Ravitaillement et sensibilisation “Tout a commencé avec l’envie de travailler toutes les deux” explique Léna. Créer du lien social En partant à la rencontre des consommateurs, l’Hirondelle établi un rapport privilégié avec ses clients. Ecologie. Face à la baisse des ressources, l’ingénieur Philippe Bihouix estime que notre monde se perd en innovations énergivores et polluantes. Pour lui, une autre voix est possible : les basses technologies. De tout temps, la technologie est venue à la rescousse des problèmes que l’humanité s’était elle-même créés.
Face à la déplétion des ressources, aux changements climatiques, aux pollutions des sols, des nappes phréatiques et de l’air… seules l’innovation et les hautes technologiques apporteraient leur lot de réponses. C’est faux, assure l’ingénieur Philippe Bihouix dans l’Age des low-tech (Seuil), un ouvrage célébrant les basses technologies. Par exemple, 95% du titane extrait est utilisé comme colorant blanc universel. Les technologies de l’information et de la communication dématérialisent l’économie, ce qui ménage énergie et ressources… Plus il y a d’électronique, plus c’est compliqué : on retrouve des dizaines de métaux dans les appareils, en quantités trop faibles pour les récupérer.
Animaux. Animaux – Terre : La très belle limace de mer Elysia Chlorotica vit dans les lagunes peu profondes le long des côtes de l’Atlantique nord américain… Et si je vous en parle, c’est parce que l‘élysie émeraude est le premier animal capable de réaliser la photosynthèse dans des chloroplastes « volés » (kleptoplastie) à une algue dont elle se nourrit. Et ce n’est pas tout, car elle peut ainsi vivre jusqu’à dix mois grâce à la seule lumière du jour, sans autre apport nutritif. Dingue, non? (images credit: Patrick Krug Cataloging Diversity in the Sacoglossa LifeDesk) (Elysia crispata, image credit: Jim Chambers) (image credit: Laszlo Ilyes, via) (image credit: Mike Severns, via) (images credit: Guillem Mas, Jim Lyle) (images credit: Ellen Bulger, Jan Hartmann) (image credit: Pol Bosch) via Connexe Oo, un poisson qui ressemble à un Gremlins!
Animaux - Terre : Ce que vous voyez sur l'image est un poisson. Dans "Actu Terre" Les plus petits manchots de la Terre sont bleus!