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Professeur au Lycée Descartes Rabat Maroc

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MA REVUE DE PRESSE

EDITO. POLITIQUE INTERNATIONALE : Donald TRUMP et le Mexique. Le nouveau président élu des Etats-Unis a donné dimanche soir sa première interview à la chaîne CBS. Déclinant ses propositions en termes d'immigration ou de questions de société, Donald Trump a aussi annoncé qu'il renonçait à percevoir les quelque 400.000 dollars de salaire annuel dévolus au président des Etats-Unis. Le président élu, dont la fortune personnelle a été estimée, début octobre, à 3,7 milliards de dollars par le magazine Forbes, a expliqué qu'il ne percevrait que le dollar symbolique auquel l'oblige la loi. Le président élu a également promis d'expulser jusqu'à 3 millions d'immigrés clandestins.

«Ce que nous allons faire, c'est prendre les gens qui sont des criminels et qui ont des casiers judiciaires, qui appartiennent à des gangs, qui sont des trafiquants de drogue (...), sans doute 2 millions, ça peut aussi être 3 millions (de personnes), nous allons les renvoyer du pays ou nous allons les mettre en prison. Au Mexique, la victoire de Donald Trump reçue comme une douche froide. Douze millions de Mexicains vivent aux Etats-Unis, dont plus de la moitié sont clandestins. Selon certains économistes, la baisse du peso pourrait atteindre 25 %. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Frédéric Saliba (Mexico, correspondance) Sur la chaîne télévisée mexicaine Forotv, les visages des commentateurs politiques se sont peu à peu figés, mardi 8 novembre au soir, à l’annonce des Etats américains remportés par Donald Trump.

Le matin même, le quotidien de gauche La Jornada titrait pourtant en « une » sur « Le triomphe d’Hillary presque assuré » . « C’est un cauchemar », réagit Ernesto Lopez, épicier dans le centre de Mexico, qui s’inquiète pour son fils, maçon sans papiers aux Etats-Unis. Dès le premier jour de celle-ci, le candidat républicain a traité les immigrés mexicains de « voleurs » et de « criminels », annonçant l’édification d’un mur le long des 3 142 kilomètres de frontière entre les deux voisins.

Lire aussi : A la frontière sud des Etats-Unis, l’impossibilité d’un mur. Donald Trump et le Mexique se renvoient la facture du mur à la frontière. Le candidat républicain à l’élection présidentielle américaine s’est déplacé mercredi au Mexique pour rencontrer son président et défendre son programme anti-immigration. Le candidat républicain à la Maison Blanche, Donald Trump, a déclaré mercredi 31 août que les Etats-Unis avaient le droit « de construire un mur » à leur frontière, lors d’une conférence de presse avec le président mexicain, Enrique Peña Nieto, à l’issue de leur rencontre à Mexico.

Le magnat de l’immobilier a expliqué qu’un mur pouvait servir « à stopper les mouvements illégaux de personnes, la drogue et les armes » et ajouté qu’« une frontière sécurisée (était) un droit souverain et d’intérêt mutuel ». Qui va payer ? Il n’a pas évoqué le point le plus crucial durant cette rencontre, sa volonté de faire payer le mur par le Mexique, mais s’est exprimé sur le sujet plus tard dans la soirée lors d’un meeting dans l’Arizona : « Le Mexique paiera pour le mur, croyez-moi, à 100 %.

Annonce la veille Si M. Critiques. Donald Trump explique comment il forcerait le Mexique à payer le mur | Maison-Blanche 2016. Le candidat républicain à la présidence américaine veut construire ce mur de 1600 kilomètres de long pour empêcher l'immigration clandestine. Il en a fait un des points forts de sa campagne. Il veut aussi que le Mexique paye pour ce mur, dont il a estimé le coût à 8 milliards de dollars (plus de 10 milliards de dollars CAN. En réponse à une question écrite du Washington Post sur son financement, M.

Trump a envoyé au quotidien un mémo de deux pages sur la question. Il y explique qu'il est prêt à modifier une disposition de la loi antiterroriste Patriot Act, qui bloquerait une partie des transferts de fonds à destination du Mexique. Les milliards de dollars qu'envoient les immigrés mexicains dans leur pays depuis le monde entier sont une des sources les plus importantes de revenus avec le pétrole et le tourisme. L'ensemble de ces transferts personnels vers le Mexique s'élevait à plus de 23 milliards de dollars (près de 30 milliards de dollars CAN) en 2014, selon la Banque mondiale. «C'est terrible pour le Mexique: Trump devient président» - Le Temps. Le directeur de la banque centrale mexicaine, Agustin Carstens, avait comparé en septembre dernier une victoire de Trump à un ouragan de catégorie 5 frappant le pays.

Alors, «sur la chaîne télévisée mexicaine Forotv, rapporte Le Monde, «les visages des commentateurs politiques se sont peu à peu figés», mardi 8 novembre au soir, à l’annonce des swing states qui tombaient tous dans l’escarcelle républicaine. «La douche froide.» «Un futuro sombrío», écrit El Universal dans son éditorial de mercredi: «Le peuple américain a choisi le chemin du racisme, de la haine et de l’intolérance.» «L’homme qui nous déteste est président», titre avec cette formule percutante Courrier international son compte rendu d’une réaction de la presse mexicaine à l’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche.

Lire aussi: Donald Trump assure que le Mexique financera son mur (01.09.2016) Sans compter les 11 millions de Mexicains en situation illégale aux Etats-Unis que le nouveau maître de Washington D. POLITIQUE FRANÇAISE : L'affaire Fillon en caricatures. Affaire Fillon.

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