Son efficacité au-delà de l'effet placebo n'est pas démontrée selon les critères
actuels de la recherche clinique (randomisation, double aveugle).
La disponibilité des remèdes homéopathiques (dérivables sans ordonnance) et leur innocuité en font un traitement de premier recours ou d'appoint
pour de nombreux adultes et leurs enfants.
Rapport sur la Commission d’étude sur l’Homéopathie (1995–1997)
Trouvé sur science direct Alain Sarembaud (médecin homéopathe) / Bernard Poitevin (allergologue homéopathe) La Revue d'Homéopathie, Volume 9, Issue 4, December 2018, Pages 184 Résumé : En raison du nombre important de médecins homéopathes en France et des interrogations thérapeutiques que l’homéopathie soulève, le Conseil national de l’Ordre des médecins avait créé, en 1995, une commission d’étude sur l’homéopathie, à l’instigation du Docteur Bernard Glorion. Cette commission, présidée par le docteur Lebatard-Sartre, avait réuni des conseillers ordinaux et des médecins homéopathes, experts et représentatifs des structures afférentes. Au bout de deux années de travail, celle-ci avait publiée, en 1997, un rapport toujours d’actualité, qu’il s’agisse de l’enseignement ou de la recherche. Je l'ai sélectionné : 1- l'analyse a débuté en 1995 puis publié en 1997 après deux années de travail (correspond à ma période choisi) 2- un rapport toujours d'actualité 2- – apoisbeau
Recours et intérêt de l'homéopathie en médecine générale : étude quantitative chez les patients de médecins généralistes non homéopathes en Picardie maritime. Résumé : Introduction : l’intérêt des français envers l’homéopathie est croissant.
Recours et intérêt de l'homéopathie en médecine générale : étude quantitative chez les patients de médecins généralistes non homéopathes en Picardie maritime Rémi Delamotte UPJV - Université de Picardie Jules Verne 2017 Résumé : Introduction : l’intérêt des français envers l’homéopathie est croissant. L’objectif était d’évaluer si les patients dont le médecin généraliste ne prescrivait pas d’homéopathie y avaient tout de même recours et de connaître leur opinion. Matériel et méthodes : il s’agissait d’une étude quantitative, d’opinion, descriptive et déclarative. 507 questionnaires ont été remplis, auprès de patients de médecins généralistes sans formation en homéopathie, en Picardie Maritime. Résultats : 69,4% des patients avaient déjà eu recours à l’homéopathie, le plus souvent de manière occasionnelle. Les femmes y avaient un recours significativement plus important. Ce recours se faisait principalement de bouche à oreille, via les recommandations de la famille et des proches. Médecine générale et homéopathie apparaissaient complémentaires, mais les patients préféraient le plus souvent gérer seuls leur recours à l’homéopathie (57,1%). L’homéopathie était jugée par les patients comme une pratique sans danger (76,4%) et efficace (65,5%), surtout par ceux qui l’avaient déjà expérimentée. Une intégration de l’homéopathie par leur médecin traitant était souhaitée (69,8%). Discussion : devant cet engouement des patients, il était important de connaître leur avis pour mieux répondre à leur attente. Il ressortait le besoin d’un meilleur encadrement des médecins, via une formation adaptée pour améliorer la relation médecin-malade. Conclusion : il existait un recours massif à l’homéopathie ainsi qu’un intérêt croissant pour cette médecine complémentaire. Je l'ai sélectionné : 1- c'est un article scientifique 2- ce article démontrer que l’intérêt des français pour l'homéopathie est croissant. Il démontre quelles sont les sources de cet effet de croissance : famille, recommandation, influence médecin, etc. 3- correspond à la période que j'ai choisi – apoisbeau
L’objectif était d’évaluer si les patients dont le médecin généraliste ne prescrivait pas d’homéopathie y avaient tout de même recours et de connaître leur opinion.
Matériel et méthodes : il s’agissait d’une étude quantitative, d’opinion, descriptive et déclarative. 507 questionnaires ont été remplis, auprès de patients de médecins généralistes sans formation en homéopathie, en Picardie Maritime. Résultats : 69,4% des patients avaient déjà eu recours à l’homéopathie, le plus souvent de manière occasionnelle. Les femmes y avaient un recours significativement plus important. Ce recours se faisait principalement de bouche à oreille, via les recommandations de la famille et des proches. 2017 Medecine FromontAntoine. Les points d’articulation entre homéopathie et oncologie conventionnelle. 1 Différentes versions de ce texte ont fait l’objet de relectures de la part de collègues, que nous (...) 2 Voir, à ce sujet, le numéro spécial de la revue Patient Education and Counseling (n°38, 1999), ent (...) 3 Soljenitsyne A., Le Pavillon des cancéreux, Julliard, 1969.
Trouvé sur Open édition revue internationale francophone d'anthropologie de la santé Olivier Schmitz sociologue et anthropologue, chercheur au Centre d'Etudes Sociologiques (CES) des Facultés Universitaires Saint-Louis de BruxellesCentre d'Etudes Sociologiques (CES) des Facultés Universitaires Saint-Louis de Bruxelles Cet article vise à éclairer ce que les traitements homéopathiques ont à offrir à cette catégorie de malades, et sous quelle forme ces traitements s’articulent résumé : De nombreuses études ont montré que la prévalence du recours à des médecines non conventionnelles était plus importante chez les malades atteints de cancers que dans toute autre catégorie de malades. Les caractéristiques de la maladie, les incertitudes de son évolution, de même que les effets de ses traitements sont autant de facteurs qui poussent les malades à emprunter des voies non conventionnelles. Parmi celles-ci, l’homéopathie est couramment utilisée, et jouit d’une bonne réputation pour répondre à certains besoins des malades que l’oncologie conventionnelle laisse de côté. Cet article vise à éclairer ce que les traitements homéopathiques ont à offrir à cette catégorie de malades, et sous quelle forme ces traitements s’articulent avec les traitements oncologiques. Le matériau analysé porte sur une vingtaine d’entretiens ethnographiques réalisés auprès de malades du cancer ayant recours à l’homéopathie. Certains éléments de l’organisation de ses traitements, de même que les observances et les représentations qui leur sont associées font de l’homéopathie un système thérapeutique pouvant apporter un certain soutien aux malades dans la lutte contre l’angoisse et l’incertitude que suscitent invariablement la maladie cancéreuse et ses traitements. je l'ai sélectionné : 1- c'est une revue scientifique au sujet de l'homéopathie 2- elle concerne les praticiens et les usagers, c'est pour cela qu'elle apparaît dans mes deux parties 3- cet article montre les effets qu'apporte l'homéopathie à certaines catégories de malade – apoisbeau
La lecture de cet ouvrage, écrit dans (...) 4 François Laplantine a montré tout l’intérêt que représente la littérature sur la maladie pour l’an (...) 1De nombreuses publications épidémiologiques attestent de la prévalence particulièrement élevée du recours à des médecines non conventionnelles chez les personnes atteintes de cancer2.
Celle-ci concernerait jusqu’à 81 % des répondants, selon les études et selon les types de pratiques prises en compte (Cassileth et Deng, 2004 ; Crocetti et al., 1998 ; Dilhuydy, 2003 ; Dowher et al., 1994 ; Montbriand, 1995 ; Yates et al., 1993).
L’enseignement de l’homéopathie en médecine générale.
Trouvé sur science direct Cet article est issu d’une thèse soutenue par les auteurs dans le cadre du doctorat d’État en médecine à la Faculté de médecine Henri-Warembourg à Lille le 29 mai 2013. Yann Bové médecin généraliste / Vincent Ryckman médecin généraliste Résume : Bien qu’aucun enseignement n’y soit consacré lors du cursus médical initial, l’homéopathie est très utilisée. Une étude descriptive des pratiques, connaissances, opinions et formations des médecins généralistes et internes de la région Nord-Pas-de-Calais a été réalisée. Elle démontre que 75 % des médecins en prescrivent au moins un fois par mois alors que 28 % reconnaissent avoir bénéficié d’une formation minimale et que seulement 30 % déclarent la connaître plutôt bien. Perçue comme une possibilité de thérapeutique alternative ou complémentaire, l’homéopathie est qualifiée d’« utile » par 52 % des médecins et 62 % des internes interrogés Pourquoi je l'ai sélectionné : 1- approche du point de vue des médecins – apoisbeau
BUMED T 2013 SIMONNOT MATHON MARIE. La guerre des médecines. Quand le croire se retrouve au cœur d’une crise institutionnelle.
Trouvé sur science direct In Analysis Volume 3, Issue 3, December 2019, Pages 308-315 Son enjeu est de comprendre pourquoi, alors que la médecine des preuves s’institutionnalise en France depuis les années 1970, il n’existe toujours pas de consensus entre professionnels de santé sur la place du croire dans le soin. je l'ai sélectionné : 1- j'ai trouvé essentiel de renseigner une recherche sur l'écart de pensée entre les médecins "pro" et les "anti-pratiques". même si l'article ne se recentre pas essentiellement sur l'homéopathie. ce style de pratique de médecine est une alternative / ou un soin non conventionnel. je l'ai sélectionné : – apoisbeau
Les points d’articulation entre homéopathie et oncologie conventionnelle. Congrès national d’homéopathie – L’homéopathie pour une santé durable.
La Revue d'Homéopathie Disponible en ligne le 12 février 2020 Sous presse, Corrected Proof Que sont les articles Corrected Proof Strasbourg 8-9 mai 2020 résumé : Ce congrès sera exceptionnel puisqu'il réunira pour la première fois, la totalité des sociétés, écoles et revues homéopathiques et anthroposophiques françaises. Un comité scientifique y sera. Je l'ai sélectionné : 1- le sujet de l’homéopathie est entièrement 2 - un comité de scientifiques est à cœur de ce congrès – apoisbeau