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Jenny & "Casper"

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- Société du Grand Paris. Grand Paris. Rénovation urbaine : l’Onzus remet son rapport d’évaluation à François (...) - Ville.gouv.fr - Ministère de la Ville. Fruit de cinq mois de travaux du groupe de suivi constitué autour des instances de l’Onzus, d’auditions et d’enquêtes locales, ce rapport analyse le lancement du programme national de rénovation urbaine (PNRU) à l’aune du contexte socio-économique de 2003, rappelle les différents objectifs assignés au programme et à l’Anru.

Suivant une démarche évaluative rigoureuse, il questionne l’atteinte de ces objectifs et les effets des projets de rénovation urbaine sur les conditions de vie des habitants, le fonctionnement des quartiers et leur intégration aux dynamiques d’agglomération. Appelant à poursuivre une dynamique de rénovation urbaine qui aura sans conteste amélioré les conditions de logement et enrayé les processus de dévalorisation dont souffraient de nombreux quartiers, le rapport préconise néanmoins les modifications et améliorations suivantes pour davantage d’efficacité et d’efficience : Rapport de la mission d’évaluation du PNRU. Volume 1Rapport de la mission d’évaluation du PNRU. Comment parler autrement des banlieues ? Actes de la Rencontre de la DIV du (...) - Ville.gouv.fr - Ministère de la Ville. Comment parler autrement des banlieues ?

Actes de la Rencontre de la DIV du 26 mars 2008 Ouverture de la rencontre p. 6 L’image des banlieues : le regard des historiens et des sociologues p. 11 Modérateur : Michel Didier . . > Questions / remarques de la salle p. 30 Table ronde 1 - Médias et banlieues p. 36 Animateur : Jérôme Bouvier, fondateur de « Vu des quartiers » . > Questions / remarques de la salle p. 59 Table ronde 2 - Les discours sur les banlieues : Qui parle des banlieues et comment ?

. > Questions / remarques de la salle p. 83 Table ronde 3 - Quel rôle la politique de la ville joue-t-elle dans le changement d’image des quartiers ? . > Questions / remarques de la salle p. 106 Clôture des débats p. 112 Yves-Laurent Sapoval, délégué interministériel à la ville. Marseille 2014, ville ouverte.

A l’heure où l’Hexagone disparaît dans le gris, il est un lieu, en France, où la blancheur du sol éblouit sous un soleil presque grec. L’œil, d’abord, traverse une vaste esplanade claire pour aller se perdre dans le bleu. A gauche, masse sombre comme posée sur l’eau, le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem) offre des points de vue inédits sur la ville et ses habitants : la mer à perte de vue à travers une résille d’ombre, l’entrée du Vieux-Port selon une perspective nouvelle.

Marseille a un nouveau visage. C’est peut-être tout ce qu’il restera de cette fête programmée intitulée Marseille 2013. Et c’est beaucoup. La beauté est une question politique, car nous sommes ce que notre environnement fait de nous. Vingt ans plus tard, le retour à Marseille est un éblouissement. L’intelligence de la rénovation présente est d’avoir rendu la ville à la vue et à la marche. Ne soyons pas dupes. Banlieues ghettos, quartiers populaires ou villes éclatées ? La haine - film 1995. La ville à 30km/h, ça marche ! La logique routière n’a aucune raison d’être en ville: la rue n’est pas la route. La rue n’est pas seulement un espace de circulation, c’est aussi et surtout un espace de vie.

C’est pour défendre cette conviction qu’aujourd’hui de nombreuses associations de protection de la nature et de l’environnement, d’usagers appellent à une autre logique pour la ville. Elles réclament la généralisation du 30km/h comme vitesse de référence. Le 50km /h devient alors l’exception et non plus la règle. La mise en place d’une telle mesure permet tout à la fois : - d’assurer une meilleure sécurité des usagers les plus vulnérables, en l’occurrence les piétons, en particulier les enfants, les personnes à mobilité réduite et les cyclistes, - de réduire le bruit et la pollution de l’air dus au trafic urbain, - d’inciter les citadins à privilégier la marche et le vélo pour les déplacements de proximité, - plus généralement, de pacifier la ville et la rendre plus conviviale.