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En 7 leçons

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Leçon 7. Fin de série.

Leçon 7

Voici le dernier épisode de la série. l’épisode 1 est ici, le second est là , le troisième ici , le quatrième puis le cinquième et le sixième. La culture de l’information repose sur des hypomnemata qui présentent un caractère double. La formation aux objets techniques notamment numériques constitue une piste intéressante afin de montrer aux élèves les possibilités pédagogiques et les potentialités de construction. Les blogs peuvent ainsi constituer de possibles supports d’apprentissage et des réponses aux usages domestiques qui sont souvent ludiques voire mimétiques et basés sur le besoin d’affirmation. Le besoin d’information demeure souvent inconscient et la priorité notamment des jeunes générations se situe ailleurs dans des démarches de reconnaissance et d’inscription au sein de groupes.

Ce genre de description nous fait demeurer dans une vison tantôt technophile, tantôt technophobe. Prochaine série… sans doute sur le Learning Center…. Leçon 6. Le printemps arrive.

Leçon 6

Il est temps d’achever notre série sur la culture de l’information. Voici l’épisode 6. Le sujet n’est pas nouveau tant je l’ai plusieurs fois évoqué notamment sur le blog. Un épisode somme toute logique et qui arrive à point avant l’épisode final. Pour rappel, l’épisode 1 est ici, le second est là , le troisième ici , le quatrième puis le cinquième. Nos recherches ont placé de manière centrale la question technique au sein de l’examen de la culture de l’information. . – La première raison provient du fait que la formation à l’information tend à se confondre fréquemment à la formation à des techniques ou plutôt à l’usage de dispositifs techniques comme les bases de données et les moteurs de recherche. . – La seconde vient de la désignation de jeunes générations comme vivant dans un milieu numérique, « peuplé » d’objets techniques communicationnels.

Il en résulte deux oublis paradoxaux, voire deux impensés. Leçon 5. Suite de la série hiémale sur la culture de l’information.

Leçon 5

Pour rappel, l’épisode 1 est ici, le second est là , le troisième ici et le précédent est là. Une des principales difficultés réside dans le fait de savoir de quelle information, il s’agit au sein de la culture de l’information. A priori, l’adjonction des deux termes parait presque antithétique avec une culture inscrite dans la durée et une information souvent perçue comme éphémère. Il convient donc de clarifier la notion d’information en la regardant dans une perspective historique plus large et différente de celle qui assimile l’information à des simples flux ou à de brèves nouvelles issues des médias. En premier lieu, il convient de rappeler la prise de forme qui s’effectue dans l’information. La notion de forme doit être remplacée par celle d’information, qui suppose l’existence d’un système en état d’équilibre métastable pouvant s’individuer : l’information, à la différence de la forme, n’est jamais un terme unique.[1]

Leçon 4. Leçon 3. Leçon 2. Suite de la série de l’année 2012, bon ce ne sera pas aussi fun que Californication, mais voici le second épisode.

Leçon 2

Pour rappel le premier est ici. Il est tentant de considérer la culture de l’information comme une forme de culture générale. Leçon 1. La culture de l’information ne peut être considérée comme une tendance passagère.

Leçon 1

L’objectif de notre recherche doctorale était de parvenir à distinguer, parmi les discours et les articles, des éléments pour tenter d’apporter des éclaircissements sur une expression qui est utilisée dans différents domaines professionnels et parfois de manière opposée. Il y avait donc un danger, celui d’ajouter à la somme des discours, un autre qui soit aussi vague et aussi péremptoire que les affirmations de la société de l’information. Nous avons vu à plusieurs reprises que les textes sur la formation à l’information opèrent parfois des rapprochements avec les expressions « société de l’information », « web 2.0 » et « digital natives ». On ne peut éviter leur examen. Nous décrivons donc la culture de l’information, non comme une simple tendance, mais davantage comme une « permanence », en retraçant sa généalogie.