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Guerre civile somalienne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Guerre civile somalienne

La guerre civile somalienne a commencé le 26 janvier 1991 et ne s'est pas encore achevée. Chute du régime de Siyaad BarréDuDos (1986-1991)[modifier | modifier le code] Un poster de Siyaad Barre à Mogadiscio. Confronté à l'impopularité et à une résistance intérieure armée et organisée (le Somali Salvation Democratic Front (SSDF) et le Somali National Movement (SNM) créés respectivement en 1979 et 1981), Siyaad Barre inaugure un règne de terreur contre les clans Majerteen, Hawiyé et Issaq, avec l'aide des « Bérets rouges » (Duub Cas), une milice recrutée dans le clan Mareehan.

En 1988, le Somali National Movement (SNM) lance une campagne militaire. Le 6 juillet 1990, un match de football tourne à l'émeute à cause d'un discours du président Mohammed Siyaad Barre. Des affrontements ont lieu à la mi novembre entre les forces gouvernementales et l'United Somali Congress (USC), à l'avantage des rebelles. Depuis 2009[modifier | modifier le code] Exil fiscal. L’installation en Belgique de l’acteur français Gérard Depardieu, dans un village accueillant nombre d’exilés fiscaux, a été unanimement jugée déplorable à Paris par les responsables de gauche et de droite, qui mettent ce départ sur le compte de raisons fiscales. « Il fait des bras d’honneur à qui il veut, à l’Etat et aux Français, à ceux qui achètent des billets et des tickets de cinéma pour aller le voir et qui, eux, paient leurs impôts », a lancé le ministre socialiste délégué à la Consommation, Benoît Hamon. « Je trouve que c’est de l’antipatriotisme. » Le Parti socialiste au pouvoir a « regretté » la décision de l’acteur.

Exil fiscal

Pour Olivier Dartigolles, porte-parole du Parti communiste (PCF), « en refusant de payer ses impôts, de participer à la solidarité nationale, le très oubliable soutien de Nicolas Sarkozy durant la dernière campagne électorale entache durablement son image auprès des Français ». La Suisse, eldorado de l’artiste et du sportif Belgique pour les gros patrimoines. Nationalisation ArcelorMittal. François Hollande et Jean-Marc Ayrault n'ont jamais promis de nationaliser ArcelorMittal.

Nationalisation ArcelorMittal

Le candidat Hollande, le 24 février, à Florange, avait seulement promis que quand une grande firme ne veut plus d’une unité de production il faut qu'elle ait l'obligation de trouver des repreneurs. La nationalisation partielle et/ou temporaire n'est pas, en soi, une solution aberrante. Exemple parmi d'autres, Barack Obama l'a utilisée pour sauver l'automobile américaine. Alors, pourquoi pas ArcelorMittal? Pour des raisons assez faciles à comprendre et qui ont été dites avec moins d'insistance que ne l'a fait Arnaud Montebourg pour alimenter l'espoir d'une prise de contrôle par l'Etat. A cause de son coût. Le chiffre de 1,1 milliard ne concerne que l'usine de Florange. A cause de l'appel d'air. L'énergie nucléaire en France.