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Le citoyen et le DD

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Agenda 21 France. Comprendre les différents niveaux de l'évaluation. Pourquoi évaluer un agenda 21 ? S’améliorer en continu Un projet territorial de développement durable a pour objectif d’améliorer de façon continue les actions et les politiques de la collectivité et de ses partenaires, au regard des finalités du développement durable. Il vise l’accompagnement des changements collectifs qu’implique l’engagement dans le développement durable : l’évolution des comportements en profondeur, ainsi que des modes de consommation et de production, des stratégies locales de développement et d’aménagement, etc. L’évaluation constitue une démarche idéale pour alimenter cette dynamique. En effet, elle permet de mesurer l’ampleur des changements obtenus, de tirer des leçons des succès et des échecs rencontrés, et de porter une appréciation sur les méthodes employées afin de les améliorer. Elle accompagne la ré-orientation périodique des réponses publiques aux enjeux de développement durable, dans un contexte socio-économique, technique et environnemental en évolution rapide.

Optimiser ses moyens. Les principaux engagements internationaux de la France en matière de lutte contre l’érosion de la biodiversité. 1er janvier 2010 (mis à jour le 2 juillet 2012) La convention sur la diversité biologique (CDB) Depuis le Sommet de la Terre de Rio (Juin 1992), la convention mondiale sur la diversité biologique (CDB) marque un véritable tournant dans le droit international. Elle compte à ce jour 190 Etats parties (dont les 27 Etats membres de l’UE et la communauté européenne) et vise trois objectifs : la conservation de la diversité biologique, l’utilisation durable des espèces et des milieux naturels, le partage juste et équitable des bénéfices issus de l’utilisation des ressources génétiques.

En 2002, la communauté internationale s’est fixé pour objectif de réduire la perte de la biodiversité à l’horizon 2010. Le rendez-vous 2010 : année internationale de la biodiversité L’année 2010 a été proclamée année internationale de la biodiversité par l’ONU pour alerter l’opinion publique sur l’état et les conséquences du déclin de la biodiversité dans le monde. Des moyens d’action mis en oeuvre par l’Europe. Code de l'urbanisme. Le règlement peut comprendre tout ou partie des règles suivantes : 1° Les occupations et utilisations du sol interdites ; 2° Les occupations et utilisations du sol soumises à des conditions particulières ; 3° Les conditions de desserte des terrains par les voies publiques ou privées et d'accès aux voies ouvertes au public ; 4° Les conditions de desserte des terrains par les réseaux publics d'eau, d'électricité et d'assainissement, ainsi que, dans les zones relevant de l'assainissement non collectif délimitées en application de l'article L. 2224-10 du code général des collectivités territoriales, les conditions de réalisation d'un assainissement individuel ; 5° La superficie minimale des terrains constructibles, lorsque cette règle est justifiée par des contraintes techniques relatives à la réalisation d'un dispositif d'assainissement non collectif ou lorsque cette règle est justifiée pour préserver l'urbanisation traditionnelle ou l'intérêt paysager de la zone considérée ;

SNB_03-08-2012. Charte de l'environnement de 2004 / Constitution / Droit français / Accueil | Légifrance, le service public de l'accès au droit - Accueil. Le peuple français, Considérant : Que les ressources et les équilibres naturels ont conditionné l'émergence de l'humanité ; Que l'avenir et l'existence même de l'humanité sont indissociables de son milieu naturel ; Que l'environnement est le patrimoine commun des êtres humains ; Que l'homme exerce une influence croissante sur les conditions de la vie et sur sa propre évolution ; Que la diversité biologique, l'épanouissement de la personne et le progrès des sociétés humaines sont affectés par certains modes de consommation ou de production et par l'exploitation excessive des ressources naturelles ; Que la préservation de l'environnement doit être recherchée au même titre que les autres intérêts fondamentaux de la Nation ; Qu'afin d'assurer un développement durable, les choix destinés à répondre aux besoins du présent ne doivent pas compromettre la capacité des générations futures et des autres peuples à satisfaire leurs propres besoins, Article 1er.

Article 2. Article 3. Article 4. Article 5. DT-Bilan-Principe-Pr%C3%A9cautionV5JHDjlpV2-le-17-09-16h30. Comment est née la notion du développement durable ? 12 janvier 2010 (mis à jour le 17 octobre 2014) En 1971, le Club de Rome lance un vrai pavé dans la marre en publiant Halte à la croissance. Face à la surexploitation des ressources naturelles liée à la croissance économique et démographique, cette association privée internationale créée en 1968, prône la croissance zéro.

En clair, le développement économique est alors présenté comme incompatible avec la protection de la planète à long terme. C’est dans ce climat de confrontation et non de conciliation entre l’écologie et l’économie que se tient la Conférence des Nations Unies sur l’Environnement humain, à Stockholm, en 1972. Conférence qui sera à l’origine du premier vrai concept de développement durable, baptisé à l’époque éco-développement.

Mais plus le temps passe, plus la société civile prend conscience de l’urgence de mettre en place une solidarité planétaire pour faire face aux grands bouleversements des équilibres naturels. Éthique environnementale et développement durable : Réflexions sur le Principe Responsabilité de Hans Jonas. 1Le concept de développement durable tel que le définit le rapport Brundtland (WCED, 1987) considère la question de la justice intergénérationnelle comme une nécessité dans une perspective de long terme. En le définissant comme un développement « qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs », la préservation de l’environnement apparaît alors intrinsèquement liée à la dynamique du développement des sociétés.

L’éthique environnementale entre dans le champ de l’économie et suggère que la répartition des ressources et leur accès sont indissociables des impacts environnementaux résultant de certains usages irréfléchis (surexploitation, dégradation) des ressources sur un temps long. 2Dans une acception large, l’éthique environnementale peut être définie comme l’étude des liens entre l’espèce humaine et les autres espèces vivantes et inanimées de la biosphère. 3Cet article poursuit deux objectifs. 1.1. 1.2. 2.1.