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Big Data et données personnelles: vers une éthique des algorithmes. Avec le développement des technologies de Big Data, les algorithmes qui exploitent les flux de données jouent un rôle de plus en plus décisif dans les choix des individus. Il serait sans doute abusif de dire que ces algorithmes nous contrôlent, mais ils orientent nombre de nos décisions, du choix d’un hôtel ou d’un billet d’avion à celui d’un itinéraire, d’un livre sur Internet, ou à la rencontre de nouveaux amis sur les réseaux sociaux.

En facilitant nos choix, en les façonnant, ils participent à leur façon à l’organisation de la vie sociale. On assiste ainsi à l’émergence discrète d’un « pouvoir » algorithmique alimenté essentiellement par des données brutes. La capacité de ce pouvoir à intervenir au plus intime de nos vies est inédite : même les totalitarismes, avec leurs légions d’espions et d’indicateurs, n’auraient pas osé en rêver. Comment reprendre la main ? La modélisation éthique des données complexesEntendons-nous bien.

Deux principes s’imposent. Paywall mobile. Les évolutions du marché de la m-santé | Le monde de la e-santé. Le mobile (smartphone, tablette,…) est en passe de devenir l’accessoire incontournable en e-santé. Un terme spécifique a été même créé ; le m-health. Et cela semble devoir prendre de l’ampleur. Pour s’en convaincre, il suffit de consulter la récente étude menée par Research2Guidance sur ce marché. Que nous apprend cette étude ? 1 – les smartphones vont dominer la santé mobile dans seulement quelques années. L’étude indique que le smartphone arrive loin devant tous les autres devices, avec 78% en 2010 et 82% en 2015. 2 – les applications santé seront plébiscitées par les utilisateurs de smartphones Le même rapport Research2Guidance, montre que plus de 500 millions de personnes utiliseront des applications mobiles m-santé en 2015 : soit près d’1 tiers des utilisateurs de smartphones. source : Etude research2guidance 3 – la distribution des applications santé pourraient s’effectuer par les professionnels de santé Coté réglementation en France J'aime : J'aime chargement…

Ça bouge du côté de la recommandation d’applications mobiles en santé. | Le monde de la e-santé. L’offre des applis mobiles santé ne cesse de croître, et dans un précédent article je mentionnais quelques réalisations permettant de s’y retrouver parmi ces listes pléthoriques affichées sur les stores. En effet, la recommandation, voir la « qualification » d’applis santé est à, coup sûr, l’un des leviers importants de la m-santé pour les mois à venir. Et parmi ces nouveaux acteurs, que dis-je, ces pionniers, je vous présente dmd Santé. dmd Santé qui se présente comme la première plateforme d’évaluation, de recommandation, de labellisation et d’orientation en santé mobile (applications mobiles et objets connectés).

Une sorte de GPS permettant de s’y retrouver dans la jungle de la m-santé qui avoisine les 100 000 applications réparties sur plus de 60 stores différents. Le mode opératoire ne laisse rien au hasard et est digne d’un protocole médical, puisqu’il se décline en un cahier des charges précis auquel le panel de testeurs doit se référer. J'aime : La m-santé doit-elle évoluer pour permettre une adoption généralisée ? | Le monde de la e-santé. D’après une enquête mondiale « Emerging mHealth: paths for growth » conduite par l’Economist Intelligence Unit (EIU) pour PwC, l’adoption généralisée des mobiles dans la santé est considérée comme inéluctable par plus de la moitié des médecins et des patients dans les pays développés et émergents du monde entier. Cette étude a regroupé 1805 patients, médecins et représentants d’assureurs-maladie au total dans dix pays : le Brésil, la Chine, le Danemark, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Inde, l’Espagne, l’Afrique du Sud, la Turquie et les États-Unis.

Elle indique que les patients sont plus demandeurs de m-santé que les professionnels de santé en relevant même leurs principales attentes pour les 3 prochaines années, autour de la commodité, le coût et la qualité des soins (pour environ 50% des patients interrogés). Selon l’analyse de PwC, les sociétés innovantes dans le domaine de la m-santé, doivent chercher à dépasser les barrières ralentissant l’adoption généralisée de la m-santé. L’appli mobile santé de la semaine | Le monde de la e-santé. Une appli pour éviter de tomber malade ; c’est le pari de Sant.ee Avec le postulat aussi simple qu’efficace, en matière de maladies de types virales, la meilleure des préventions et de limiter le plus possible, les risques de transmission. Et c’est sur ce point que l’application Sant.ee peut devenir votre allié contre les maladies saisonnières ou récurrentes telles que la grippe, la gastro… Sant.ee est la première application […] appli communautaire, applis mobiles santé, e-santé, m-santé, msanté, prévention santé, Sant.ee, start up santé Une appli pour accéder à plus de 800 applications santé en France : GPM e-Santé Le groupe Pasteur Mutualité lance » GPM e-Santé « , réalisé en partenariat avec DMD Santé.

Applications santé, Dmd Santé, dmdpost, GPM e-Santé, msanté, mutuelle, Pasteur Mutualité Hepatoweb HD pour IPad Hepatoweb est une application iPad sur les pathologies digestives conçue par le Dr Didier Mennecier, Hepato-Gastroenterologue. L’essor des smartphones et applis santé Kisov’Ki 2. La m-santé | Le monde de la e-santé. Montrer ses oreilles va devenir branché…euh, je voulais dire connecté ! Dans le domaine des objets connectés pour la santé, le bracelet fut longtemps la forme la plus largement proposée, vinrent ensuite, (sans classement particulier de ma part) les montres, les lunettes, les colliers, les chaussettes et j’en passe.

Depuis peu, Il semble bien qu’une nouvelle forme d’objets connectés nous soit proposée, à savoir ; les oreillettes. […] BitBite, IndieGoGo, Intel, Microsoft, objets connectés pour la santé, oreillette connectée, ostéophonie, Vigo Panorama des objets connectés permettant de suivre notre état de santé Au cours des dernières semaines, vous avez suivi mes nombreux articles concernant l’univers des objets connectés dédiés à la santé. C’est plus d’une dizaine d’articles qui ont ainsi, tenté de présenter les diverses formes et fonctionnalités mises à disposition du plus grand nombre, et cela, dans divers domaines de notre vie quotidienne. E-santé, msanté, objets connectés. M-santé | Le monde de la e-santé. MAJ novembre 2014 de mon Mapping des services et sites d’informations pour le grand public et les médecins Via ce blog « Le monde de la e-santé », accédez à mon mapping comportant à ce jour, plus de 300 références digitales concernant la e-santé.

C’est un outil incontournable pour découvrir les sites web, applications mobiles, serious games, sites communautaires, web TV… réalisés par les divers acteurs de la santé au profit des professionnels […] acteurs de santé, e-santé, m-santé, mapping, mapping e-santé Pour les voeux du nouvel an, il faudra bientôt dire : « Bonne année, bonne santé…connectée ! » Selon un rapport de l’IDATE de septembre 2013, intitulé “The Internet of Things Market”, il y aura 80 milliards d’objets connectés en 2020. Conseil de l’Ordre des Médecins, IDATE, Ifop, m-santé, objets connectés, PriceWaterhouseCooper, Quantified Self, santé connectée, Wearable Technologies Tour d’horizon sur la e-santé e-santé, m-santé, télémédecine Les évolutions du marché de la m-santé.

Les évolutions du marché de la m-santé | Le monde de la e-santé. Health Insurance Portability and Accountability Act. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. HIPAA, acronyme anglais de Health Insurance Portability and Accountability Act, est une loi votée par le Congrès des États-Unis en 1996 et qui concerne la santé et l'assurance maladie. Les rapporteurs de la loi étaient les sénateurs Ted Kennedy et Nancy Kassebaum (en). Le second volet de la loi HIPAA définit les standards américain pour la gestion électronique de l'assurance maladie, la transmission des feuilles de soins électroniques et tous les identifiants nécessaires au programme de dématérialisation des feuilles de soins pour l'assurance-maladie. Il demandait notamment au département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis (HHS) de publier des règles facilitant et régulant l'échange de données entre les acteurs de la santé. Vie privée[modifier | modifier le code] La sous-section D de HIPAA, qui aborde ce domaine de la vie privée, a été modifiée par le American Recovery and Reinvestment Act de 2009 (en).

#Etude : Etat des lieux des entreprises françaises en matière de (Big) Data. Le Big Data, si tout le monde en parle et que beaucoup d’entreprises se sont emparés du phénomène, il est pourtant encore difficile de connaître précisément ses promesses en termes d’efficacité. Le cabinet Ernst&Young a mené une étude auprès de 150 entreprises françaises, qui examine les pratiques de collecte et d’utilisation des données clients, les difficultés rencontrées par les entreprises et le potentiel de croissance et de développement stratégique que représente ce nouvel actif.

Si à ce jour, beaucoup plébiscitent le Big Data et ses nombreux atouts, la révolution semble ne pas s’être réellement propagée au-delà des modèles économiques des grands acteurs globaux du digital. Les résultats de l’enquête, menée par E&Y auprès de plus de 150 entreprises françaises, révèlent qu’en dépit d’une perception majoritairement positive, le « Big data bang » n’a pas encore eu lieu dans la réalité.

Crédit Photo : Shutterstock Tagged a-la-une, Big Data, Etude, ey, technologie. Food and Drug Administration. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Food and Drug Administration (FDA, « Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux »[1]) est l'administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments. Cet organisme a, entre autres, le mandat d'autoriser la commercialisation des médicaments sur le territoire des États-Unis. Historique[modifier | modifier le code] 1906 (juin) : le président Théodore Roosevelt signe le Food and Drug Act, également appelé Wiley Act d’après son principal artisan[2].

Cette loi répond aux inquiétudes de l'opinion publique alertée par les reportages des journalistes d'investigation de l'ère progressiste[2].1927 : Le « Bureau de la chimie » est réorganisé en deux entités distinctes. Législation[modifier | modifier le code] Organisation[modifier | modifier le code] Le siège de la FDA est à Silver Spring dans le Maryland. Prérogatives[modifier | modifier le code] Controverses[modifier | modifier le code] La ruée vers l'or des données personnelles, High tech. « Facebook n'a pas été créé pour être une entreprise mais pour remplir une mission sociale : rendre le monde plus ouvert et connecté. » Ainsi parlait récemment Mark Zuckerberg, PDG et fondateur du réseau social le plus fréquenté au monde. On peut dire que le jeune homme de 28 ans a atteint son objectif : près de un milliard de Terriens partagent volontiers des tranches de vie avec leurs amis, « likant » leurs préférences, commentant leurs coups de coeur, signalant leur présence ici ou là...

Chacun jugera le paradigme de Zuckerberg à l'aune de ses convictions et de son expérience. Mais neuf ans après sa naissance, Facebook est bel et bien une entreprise et son patron est milliardaire. Cotée, elle aligne des revenus en hausse régulière et prospère sur un modèle économique assez simple dans son énoncé : butiner les informations numériques laissées dans notre sillage pour en faire un miel vendu aux annonceurs.

Facebook : 5 dollars par tête Les data centers, nouveaux fort Knox. Big data : vos données en vente. Après un récent changement de ses conditions d’utilisation, la banque Barclays se réserve le droit de vendre un agrégat d’informations à propos de ses utilisateurs à des entreprises tierces à partir d’octobre 2013. « Ces informations seront quantitatives et non personnelles, et vous ne pourrez pas être identifiés sur la seule base de celles-ci », ajoute la banque. Selon The Telegraph, les utilisateurs ne pourront pas refuser que leurs données soient partagées. En France, SFR a remporté en avril le troisième prix de l’innovation « Big data » en annonçant la commercialisation prochaine de ses données géolocalisées.

Les données collectées par l’opérateur puis anonymisées, pourront ainsi renseigner les entreprises sur la fréquentation d’un lieu. De la même manière, des opérateurs britanniques ont lancé Weve, un groupement d’entreprise, pour vendre les données de leurs utilisateurs. L’anonymat de ces données est cependant impossible à garantir complètement. Alexandre Léchenet. Le Business Model de la revente de données. On entend souvent parler des problèmes de confidentialité sur Internet et que les géants du web utilisent nos informations personnelles à des fins commerciales. Comment ce business fonctionne-t-il ? Quels acteurs sont prêts à racheter nos informations et dans quel but ? C’est tout l’art du Business Model de la revente de données (ou des BIG DATA) que nous allons vous expliquer. En quoi consiste ce modèle ? Le but de ce modèle est de créer une très grande base de données d’informations personnelles (âge, sexe, centres d’intérêt, profession etc…) dans le but de les revendre à des acteurs intéressés.

C’est ce que fait Facebook qui en premier lieu collecte toutes vos informations dans d’immenses data centers. SFR a récemment informé ses utilisateurs son intention de vendre des données utilisateurs dans le but de rentabiliser certains coûts. Les comparateurs d'assurances comme lelynx.fr utilisent un système de revente d'information personnelle.

Mais est-ce une pratique légale ?