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Infographie : les fonds collectés grâce au crowdfunding en France ont doublé en 2014. Le financement participatif continue d'exploser en France. L'an dernier, 152 millions d'euros ont été collectés par les 46 plates-formes françaises recensées dans le baromètre 2014 réalisé par CompinnoV, cabinet de conseil pour le développement de la compétitivité et l’innovation des entreprises, pour l'association Financement participatif France, qui représente les acteurs du secteur auprès des pouvois publics.

Cela réprésente quasiment un doublement par rapport à la récolte de 2013, année où ce montant avait déjà triplé par rapport à 2012. Dans le détail, les plates-formes de prêt ont collecté 88,4 millions d'euros l'an dernier (en hausse de 84% par rapport à 2013), les plate-formes de dons 38,2 millions d'euros (+97%) et celles d'investissement en capital 25,4 millions d'euros (+146%). Cliquez sur l'image pour faire apparaître l'infographie en grand format : Leroy Merlin s'associe à Techshop pour créer de vastes fab lab au coeur de ses magasins. Les fab lab, ces petits ateliers partagés tournés vers la fabrication d’objets, sont attirants.

Mais Leroy Merlin veut faire les choses en plus grand. L’enseigne de bricolage du groupe Adeo vient de nouer un partenariat avec l’Américain TechShop qui va déboucher à l’automne 2015 sur la création d’un espace collaboratif de fabrication de 1500 à 2000 m² en région parisienne. Soit une surface 10 fois plus grande que les habituels fab lab. Une centaine de machines sera mise à disposition des clients, avec d’inévitables imprimantes 3D, mais également (et surtout) des fraiseuses, des machines à bois et à broderie, des ponceuses, une cabine à peinture et autres outils.

Découvrez notre dossier "Fablabs d'entreprises, des usines numériques et collaboratives" Leroy Merlin dispose déjà d’un fab lab dans le magasin d’Angers (49) et a organisé des démonstrations dans tous ses magasins français. Lire la suite de l'article sur le site de nos confrères de LSA. Engaging ideas - La Sharing Economy s’attaque aux gâchis.

Publié le 20 mai 2014 L’économie collaborative touche décidément tous les secteurs. Elle lutte désormais contre le gâchis alimentaire. Dans quelques semaines, l’application nord-américaine PareUp permettra aux consommateurs de faire leurs emplettes en piochant dans les excédents invendus des restaurants et des supermarchés. Vivement la même en France ! Un chiffre résume l’urgence morale, économique et écologique de la situation. Conçue comme une market place mobile qui connecte les consommateurs aux restaurants et épiceries, PareUp est une application B2C gratuite qui espère réduire le gâchis alimentaire chez l’Oncle Sam. Comme les autres plates-formes de mise en relation, la nouvelle venue prend son pourcentage sur chaque transaction. Pour ses trois fondateurs, Margaret Tung, Jason Chen et Anuj Jhunjhunwala, PareUp est synonyme de win-win: les magasins peuvent réduire leur gâchis et leur manque à gagner en vendant des produits qui normalement, ne trouveraient pas preneurs.

How AirBnb and Uber could be the next eBay and Amazon. (Update: Weeks after I wrote this post, Google invested over $250 million into Uber. Google has Shopping Express delivery, self-driving cars, a social network that may categorize things you own, this is in general alignment with the following thesis) Collaborative Economy startups like Airbnb and Uber will play a major role in changing the economic culture if they continue at their current growth rate. Airbnb could be the next eBay, and Uber could be the next Amazon. You’re probably familiar with the global news about Airbnb and Uber. On July 20th, Tom Friedman featured Airbnb in his column in the New York Times. Uber is in the process of raising additional funds beyond their apron $57 million, thrusting their market value into the billions. Before we prognosticate about the future, however, let’s first discuss the overarching trends in our society.

So how do Airbnb and Uber deliver on these overarching trends? Airbnb delivers personalized, local experiences, powered by the crowd. Collaboration Experience. A few weeks ago, I needed my post-lunch coffee. I made my way over to our fancy La Marzocco espresso machine and ran into my colleague, Cass, a data scientist and engineer at MailChimp. While Cass and I have been in the same meetings before, we seldom cross paths.

We’re on different teams, housed on different floors of the same building. This was good timing: I was tasked with rethinking a user pathway through our application, and Cass could provide some influential data. Running into him saved me from having to write a detailed email, or—worse—forget his input entirely. Our interaction was not a happy accident so much as a desired outcome. The espresso machine is a magnet, parlaying an ingrained habit into a bit of social engineering. Company origin stories typically follow a linear path: a small team pulls together to create something successful, hires additional employees, and eventually breaks into departments.

Sometimes coding itself is a recipe for cross-pollination. J’ai passé les tests de sélection de l’école « 42 », de Xaviel Niel. Début mai 2013. Nous sommes une centaine environ, agglutinés devant le siège social de Free, à Paris. Moyenne d’âge : 20 ans. Peu de nanas, mais je ne m’en étonne pas. Nous nous apprêtons à assister à une réunion, obligatoire dans le processus d’admission de l’ école d’informatique de Xavier Niel, baptisée « 42 », en référence à un roman de science-fiction de Douglas Adams.

Gratuite, elle devrait ouvrir en novembre 2013. Making of Chloé Viatori (un pseudo, elle ne souhaite pas être reconnue), 27 ans, a passé les épreuves de sélection de l’école « 42 » avec un ami. Si nous sommes ici, c’est que nous avons tous réussi la première étape : les tests d’aptitudes proposés sur le site internet 42.fr . J’ai passé les tests par curiosité : je voulais voir ce qu’une école qui se présente comme celle qui donnera naissance aux futurs Jobs et Zuckerberg attend comme compétences.

J’ai répondu à la première salve de questions un matin brumeux, munie d’un bol de café et d’une bouteille d’eau pétillante. Rachel Botsman: The case for collaborative consumption. Racontez votre propre histoire d’Internet (1/6) - L'actu Médias / Net.

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