background preloader

E-commerce

Facebook Twitter

E-commerce : les 6 types de clients sur les réseaux sociaux | RSE. Une étude de l’Institut Mc Kinsey avait proposé de classer les clients présents sur les réseaux sociaux en 7 groupes. Accrocs, explorateurs, pragmatiques, communicants, info-glaneurs, marchandeurs, monomaniaques, ces clients peuvent prendre différentes formes. Michael Brito, auteur du livre « Smart Business, Social Business: A Playbook for Social Media in Your Organization » propose lui une liste actualisée, qui regroupe ces clients en 6 catégories. La voici ici traduite en français. Le client qui veut faire parler de lui Ce client peut se plaindre sur Twitter ou Facebook, mais une réponse n’est peut-être pas nécessaire. Dans certains cas, une entreprise peut choisir de suivre ce client sur Twitter et alors une conversation peut s’engager en commençant par un « Merci pour votre commande », ou quelque chose du genre.

Le Client passif, qui ne vous demande pas d’aide directe Le client excédé et en colère Ce client est en colère, le dit, et a besoin d’aide immédiatement. A propos de l'auteur. Internet & le Vin : Un e-business en devenir ? Je viens de déguster un Volnay Taillepieds 1er cru de 2000 et j’en profite pour réactualiser cette étude (qui date un peu mais est riche d’enseignements). Pour 2012-2013, l’évolution se fait dans la continuité : comme en 2010 et 2011, la majorité des Français se considère toujours néophytes en matière de vin, et les consommateurs sont toujours plus nombreux à vouloir s’informer avant d’acheter du vin Barometre_SOWINE-SSI_2012 (Bonne année pour les bourgognes !) En revanche, les habitudes de consommation et de recherche d’information changent, en lien avec l’évolution des nouvelles technologies : internet passe à la quatrième place des sources d’information pour préparer son achat de vin, derrière les conseils de l’entourage, les conseils de cavistes et ceux des professionnels mais toujours devant la presse écrite. …, Tout est réunit pour voir se développer un e-business atypique,… au risque de perdre au passage les vrais connaisseurs si l’offre qualifiée n’est pas présente.

Olivier LUET. Pour vendre sur Internet, il faut s'en donner les moyens. Les nouvelles solutions e-commerce ont démocratisé la vente en ligne, et il est maintenant très simple et peu couteux de lancer sa boutique en ligne. C’est à la fois souhaitable, et regrettable. Regrettable, car une grande partie de ces tentatives sont, dès le départ, vouées à l’échec.

Tout simplement parce que leurs créateurs ne s’en sont pas donné les moyens. Les moyens financiers Oui, un site de e-commerce est une entreprise, et doit être abordé comme tel : on ne monte pas une entreprise sans argent. La création du site, sa charte graphique, le référencement, la publicité, les différents experts et conseils, tout cela a un coût. De même il faut prévoir que, comme dans toute petite entreprise, le créateur ne pourra se verser de salaire pendant six mois un an cent ans un certain temps. Mais cet argument du « je n’ai pas de sous » est bien trop souvent employé pour justifier un site bâclé : un bon projet, bien pensé et bien présenté, trouvera toujours son financement. Reussir-strategie-fidelisation-Kapsicum170910.pdf (Objet application/pdf) E-commerçant, vous vendez des photos !

Pour de nombreux sites e-commerce de petite ou moyenne importance, l’une des énormes lacunes que l’on perçoit rapidement, est le manque de moyens apportés à la mise en valeur des articles grâce aux photos. Pourtant, plusieurs études d’eyes tracking, ou simplement le bon sens (faites le test pour vous même), démontrent que le premier endroit ou l’oeil va se poser sur une fiche article, c’est la photo. Pourquoi la photo est-elle si importante ? Tout bêtement parce que l’on n’est pas dans un vrai magasin. On ne peut pas toucher, on ne peut pas sentir, on ne peut pas retourner, inspecter, contrôler si le produit correspond à nos différents besoins. Ou du moins, on est fortement limité dans l’utilisation de nos sens. Ôter les doutes et rassurer Une image, ou plutôt des images vont permettre de lever des doutes, de rassurer. Je veux des photos, le reste, je m’en fous. Dans de très nombreux cas, la description du produit est lue en diagonale.

Quels avantages à faire de belles photos ? Liens connexes. Investir dans le net est devenu une nécessité | madebyJoan. Gimv est une société de spécialisée dans le capital risque. Le concept est simple : la société investit dans des projets qui lui semblent rentables. En tant qu’actionnaire, elle récupère donc une partie des bénéfices de cette société, et le jour où elle veut s’en débarrasser, elle peut vendre l’entreprise pour une jolie somme. Si l’on parle de capital-risque, c’est parce que la société doit prendre le risque d’investir dans une start-up qui pourrait très bien ne pas décoller. Si l’investissement se concentre sur le développement d’une entreprise, on parlera dès lors de capital-développement.

Une société belge qui investit dans l’européen Gimv est belge, anversoise plus particulièrement. Si on vous en parle, c’est parce que Gimv a investi la semaine passée dans une société française : Private Outlet. On savait que l’Internet était rentable. Désormais, le besoin pour ces sociétés “traditionnelles” de se développer “online” se fait de plus en plus pressant. "Le défi du e-commerce est de construire une interaction individuelle" L'évolution rapide du commerce en ligne comporte son lot d'opportunités pour les petits détaillants, qui peuvent miser sur les médias sociaux ou sur des services personnalisés pour tirer leur épingle du jeu. Entretien avec Olivier Martineau, directeur de 42stores, une société spécialisée dans le e-commerce et les solutions marketing. L'Atelier : Comment une PME peut-elle aujourd'hui se démarquer dans le secteur du commerce en ligne ?

Olivier Martineau : A première vue, il est difficile d'émerger, lorsque l'on est un petit détaillant, tant le e-commerce s'est développé ces dernières années. Mais si la quasi-totalité des entreprises possèdent désormais leur propre site, il suffit de faire un benchmark sur un secteur en particulier pour prendre conscience des opportunités à saisir. Le e-commerce évolue tellement vite qu'il est toujours possible d'être innovant et de tirer son épingle du jeu.