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Neurosciences/ neuroéducation

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L'apport des neurosciences à la pédagogie. PDF. Utiliser les neurosciences pour mieux former. La neuroéducation est un domaine de recherche qui étudie les mécanismes cérébraux liés à l’apprentissage et à l’enseignement.

Utiliser les neurosciences pour mieux former

C’est une discipline qui est née en 2007, suite à un rapport de l’OCDE (l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques). Cette discipline s’inspire des recherches menées en sciences cognitives (psychologie, neurosciences, ergonomie…). Elle utilise les informations récoltées sur les fonctions cognitives liées à l’apprentissage (perception, attention, mémorisation, etc.) pour adapter les pratiques éducatives. Cela est rendu possible notamment grâce aux techniques d’imagerie cérébrale qui permettent d’étudier les réactions du cerveau en train de lire, de mémoriser ou de compter par exemple. Carte mentale de notre cerveau. L'apport des neurosciences à la pédagogie. PDF. Utiliser les neurosciences pour mieux former.

Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences. D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique.

Comment intégrer la neuroéducation en classe pour de meilleurs apprentissages des élèves ? Avec Marie Soulié, une enseignante précurseur et référente en France de la classe inversée « C’est au cours d’un stage auquel j’ai participé proposé par Eric Gaspard dans l’académie de Montpellier, que j’ai commencé à réfléchir à la neuroéducation ».

Comment intégrer la neuroéducation en classe pour de meilleurs apprentissages des élèves ?

Le programme d’Eric Gaspard sur la neuroéducation s’appelle Neurosup. Marie a cherché à s’approprier des principes exposés dans ce programme comme par exemple, la mémorisation : « comment les élèves mémorisent notamment en classe inversée ? » Notre enseignante de lettres a donc essayé d’intégrer ces principes dans ses scénarios pédagogiques. Dans la classe inversée, il y a une phase de construction de la part des élèves, « qui se révélait souvent sous la forme d’une carte heuristique, que nous faisions avec des tablettes ». Un des principes de la neuroéducation est de « programmer son cerveau en lui disant « il faut que tu retiennes cela parce que » ». Chaque élève a donc une fiche mémo sur laquelle il note la finalité de l’apprentissage. Apprendre et réussir (1): comprendre sa mémoire.

Planète conférences - Le cerveau pour allié en classe ? - Apprendre à l'horizon 2035. Les apprentissages, détour par les neurosciences. Neurosciences et éducation : peut-on les marier ? Inspiré du titre d’un article de Francis Schrag (professeur en philosophie de l’éducation) paru en 2013, la question du mariage entre neurosciences et éducation est au cœur des débats que suscite l’éventuelle application des résultats neuroscientifiques dans la salle de classe.

Neurosciences et éducation : peut-on les marier ?

Neurosciences de l’éducation, esprit, cerveau et éducation ou encore neuro-éducation, le vocabulaire ne manque pas pour désigner cette « jeune science », dont l’objectif est de mieux faire connaître le cerveau et les processus cognitifs qui lui sont attachés. La fascination qu’exercent les images du cerveau, les animations 3D ou toutes approches déclarées « brain-based » (basée sur ce que l’on sait, ou croit savoir, du fonctionnement cérébral) engendrent malheureusement de nombreux malentendus.

Mais quels sont ses véritables apports au monde éducatif ? Peut-on demander aux neurosciences de déterminer des méthodes efficaces d’enseignement ? Gaussel Marie & Reverdy Catherine (2013). Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene. L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre.

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene

Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Introduction à la neuroéducation. I.

Introduction à la neuroéducation

Qu’est-ce que la neuroéducation ? Les neurosciences désignent l’étude scientifique du système nerveux et du fonctionnement du cerveau, depuis le niveau moléculaire jusqu’au niveau comportemental. Elles ont désormais un statut interdisciplinaire, et voient leurs découvertes ou avancées exploser depuis 15 ans, grâce notamment aux progrès technologiques d’imagerie cérébrale (dont l’IRM fonctionnel, pour le plus connu). La neuroéducation est le mariage entre les neurosciences et les sciences de l’éducation. Cette discipline est reconnue officiellement ; encouragée par un rapport de l’OCDE (publié en 2007 et intitulé : "comprendre le cerveau : naissance d’une science de l’apprentissage") ; enseignée dans des universités prestigieuses comme Harvard ou Cambridge ; se trouve déjà développée dans des pays pionniers en éducation, comme la Finlande ou le Québec.