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Zao-Wou-Ki

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Cézanne m’apprit à regarder la nature chinoise - Sous titré roman, prétexte à une balade au pays de Cézanne, avec en filigrane quelques références à l’univers sollersien ( Cézanne fait aussi partie du panthéon de Philippe Sollers : cf. ). Le passage que nous avons choisi évoque l’influence de Cézanne sur Zao Wou-Ki. Il s’inscrit dans la dynamique des influences réciproques de la pensée chinoise et française et de l’actualité, : - celle de la récente visite du président Sarkozy en Chine, et sa conversion à chinoise - celle des Jeux Olympiques en Chine en 2008, demain.

Et bien sûr aussi, parce que la pensée chinoise est présente dans la « Longue marche » de Philippe Sollers de à son récent essai . Et d’autres articles dans la Raymond Alcovère vit à Montpellier. {*style:<i>La matière j’ai voulu la copier, je n’arrivais pas, mais j’ai été content de moi lorsque j’ai découvert qu’il fallait la représenter par autre chose ... par de la couleur. {*style:<i>à cette surface, de cette profondeur, elles montent des racines du monde. Cézanne . —oOo— une. Rencontre avec Zao Wou-Ki et Pierre Soulages. Exposition "Zao Wou-Ki - Estampes et livres illustrés" ZAO Wou Ki Lumières et couleurs sans limites séquence début. Fiche. Biographie Zao Wou-Ki est né à Pékin le 1er février 1920.

Fiche

En 1935 il réussit l'examen d'entrée à l'École des Beaux-Arts de Hangzhou où il est nommé lecteur après six ans d'études ; il réalise sa première exposition en 1941 à Chang-King. C’est en 1948 qu’il décide de s'installer à Paris. Il fréquente alors l'Atelier d'Othon Friesz à l'académie de la Grande-Chaumière, ainsi que l'Ecole des Beaux-Arts. Il rencontre Sam Francis, Riopelle, Soulages, Hartung, Giacometti, Vieira da Silva.

Zao Wou-Ki est l'un des plus illustres représentants de l'abstraction lyrique. Principales expositions individuelles Monographies, catalogues d’expositions Principales collections publiques. Zao Wou-Ki. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Zao Wou-Ki

Pour les articles homonymes, voir Zao. Zao Wou-Ki Zao Wou-Ki (capture d'écran d'une vidéo de l'Encyclopédie audiovisuelle de l'art contemporain). Zao Wou-Ki (Zao, de son nom, Wou-Ki ou Wou-ki de son prénom ; chinois : 趙無極 ou 赵无极 et pinyin : Zhào Wújí), né le , ou bien le [3] à Pékin, et mort le à Nyon[4],[5], est un peintre chinois naturalisé français en 1964. Il est rattaché, dans les années 1950, à la nouvelle École de Paris, puis à l'abstraction lyrique avant de devenir, selon la définition de Claude Roy : « ...Un grand peintre qui poursuit dans son œuvre une dizaine au moins de grands siècles de l'art chinois, et qui est un des meilleurs peintres modernes de l'Occident[6]. » Son œuvre est vaste.

Très vite apprécié en Occident, ami de Pierre Soulages, de Joan Miró, de Henri Michaux, il est reconnu par son propre pays vers 1983. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et jeunesse en Chine[modifier | modifier le code]