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Psychosocio des communautés

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Groupes et comm# Dynamique de groupe A/ L’étymologie et les définitions : De l’italien « groppo » ou « gruppo » (1668), le terme est porteur d’une signification en tension. Du sens premier « nœud », « assemblage », nous pouvons entendre, d’une part, ce qui réunit, relie entre plusieurs éléments et, d’autre part ce qui retient, qui emprisonne. Ce qui relie et/ou ce qui immobilise met en jeu la nature des rapports entre les parties d’un ensemble selon que ces rapports seront directs ou indirects. » Alain Aymard : Vocabulaire de Psychosociologie édition ERES. On va nommer « groupe », un ensemble de personnes orienté vers un but commun. « C’est dans l’interdépendance qu’un groupe se forge. Cette interdépendance implique une triple détermination, fonctionnelle, normative et imaginaire. » D. B/ Les différentes catégories de groupe D’après Anzieu et Martin (1968), on distingue 5 grandes catégories de groupes. C/ L’apport de Freud, Moreno, Mayo et Kurt Lewin Sigmund Freud (1856-1939).

Voir aussi → Wikipedia. Comment identifier des leaders d’opinion sur le web ? Proposition d’une matrice. La question du leader d’opinion est centrale à de nombreuses actions sur le web. Si certains parlent « d’influenceurs », il est nécessaire de souligner d’une part que le leader d’opinion n’existe pas en soi, qu’il s’agit d’une construction de l’organisation qui souhaite l’intégrer à ses stratégies. Et d’autre part de proposer des critères, et en l’occurrence une matrice, pour les identifier. Les réflexions présentées ici sont issues d’une communication réalisée avec Marie Haikel-Elsabeh et présentée l’année dernière lors du colloque M@rsouin. Pour ce billet de rentrée, voici une réflexion en deux parties : pourquoi le leader d’opinion n’existe pas en soi, et comment « construire » et identifier un potentiel leader utile à vos stratégies. Et pour celles et ceux qui veulent gagner du temps, la matrice prêt à l’emploi est à la fin du billet (mais bon, mieux vaut lire un peu les détails).

Le leader d’opinion existe-t-il vraiment ? Mais qu’est-ce qu’un leader d’opinion ? Au final… Micropolitique des groupes — pour une écologie des pratiques (...) - Livre de David - Autres lectures. « Que pourrait-il se passer si une attention était désormais portée à ces savoirs que fabriquent les réussites, les inventions et les échecs des groupes ? » La question est posée par David Vercauteren au début de son ouvrage Micropolitique des groupes — pour une écologie des pratiques collectives (écrit en collaboration avec Thierry Müller et Olivier Crabbé, HB Éditions 2007).

Il n’y est pas question d’engagement militant ni de stratégies d’action — tout ce qui relève de la « macropolitique » — mais de la dynamique interne qui régit le fonctionnement d’un groupe et rend possible cet engagement. L’ouvrage est construit à partir de questions le plus souvent posées après une série d’échecs ayant entraîné la dissolution du collectif. NDLR : Le sujet est passionnant, et au coeur des thématiques chères à Passerelle Eco. L’expérience du Collectif sans Nom L’expérience du Collectif Sans Ticket Le livre Micropolitique des groupes n’est pas destiné à une lecture linéaire. Conclusion. Mais pourquoi contribue-t-on ? La question des motivations revient dès que l’on évoque les mécanismes de contribution dans l’open data ou les données collaboratives. On a parfois du mal à comprendre pourquoi des individus a priori sains de corps et d’esprit consacrent une partie de leur temps libre à ce type d’activité, qu’il s’agisse de développer une application mobile sans grand espoir de gain, ou de cartographier son quartier pour Open Street Map… Les processus contributifs et participatifs sont au coeur de l’open data.

Dans le concours organisé par Rennes Métropole en 2010, deux tiers des participants étaient des particuliers. Il y avait certes parmi eux quelques apprentis entrepreneurs et quelques rares militants de la cause du logiciel libre et de l’open source, mais plus généralement les motivations n’étaient ni pécuniaires ni politiques. 1 – Une approche par les motivations : mais pourquoi contribuez-vous ? En résumé, les grandes catégories de motivations sont : 3 – Ne pas sous estimer le facteur d’opposition. Nous on fait la Révolution ! Et vous ? Cet article a été publié il y a 3 ans 2 mois 25 jours, il est possible qu’il ne soit plus à jour.

Les informations proposées sont donc peut-être expirées. On aura beau s’évertuer à créer ou à animer une communauté autour d’un objectif, d’un produit ou d’un service particulier ; c’est limite peine perdue si on n’essaie pas de savoir à qui l’on s’adresse. Il est de fait hautement nécessaire de savoir cibler la communauté dans sa psychologie, sa culture et surtout à travers son histoire. Prenez par exemple deux types de communautés que nous connaissons à priori assez bien : une communauté française et une communauté américaine. 1. Let’s take a closer look… L orsqu’on lit la presse américaine, on voit toujours des titres qui nous laissent sceptiques mais hautement révélateurs « As US becomes more diverse, Hispanics flourish » (Reuters 21.12.2010). La différence dans tout cela ? 2. 3. Qu’en pensez-vous ? Sources : Howard Rheingold : sur la collaboration. Petit-traite-de-manipulation-a-l-lusage-des-honnetes-gens.pdf (Objet application/pdf)

Le Transfert d’émotion en sept règles : mode d’emploi. Mars 9, 2012Médias sociaux, Stratégie webNo Comments L’homme, dans ses choix, est guidé avant tout par ses émotions et non par sa raison comme on veut souvent le faire croire. Les médias sociaux ont l’opportunité par le biais de leur proximité et de leurs approches sociales de jouer sur cette donnée. La corde sensible de l’émotion chez les individus est un axe sur lequel de nombreuses marques tentent de s’appuyer afin de remporter leur affection. Mais cette opération, dans le cadre de son optimisation, répond à plusieurs règles simples qui favorisent un véritable transfert d’émotions entre la marque et l’individu.Dans son ouvrage « le marketing des émotions » Georges Chétochine présente 7 règles à prendre en compte lors d’un transfert d’émotions. - Parler au cerveau reptilien : Le cerveau reptilien est responsable des comportements primitifs assurant nos besoins fondamentaux.

Il assure la survie de l’individu et de l’espèce. . - Respecter le triangle des émotions : -Créer de la compassion.