background preloader

Arts Visuels

Facebook Twitter

Art Aborigène

Histoire Des Courants Artistiques Complet. Paysages et lignes continues. Marino Di Teana. Autour de Niki de Saint Phalle. La REPETITION , l'accumulation. Simon HANTAI (1922 - 2008 ) Sans titre ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, M . m. 25 Il invente le pliage : la toile , pliée , froissée , imprimée est imprégnée de couleur puis défroisséeLa couleur qui s'est déposée de façon discontinue apparait en éclats répartis sur la surface de la toile faisant jouer les réserves blanches et leur conférant une grande importance .

La REPETITION , l'accumulation

Il dit peindreen aveugle Claude VIALLAT ( 1936 - ___ ) Sans titre ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, Vitrail de l'église d'Aiguesmortes Il utilise un procédé à base d'empreintes qui l'inscrit dans une critique radicale de l'abstraction lyrique et géométrique . Christian BOLTANSKI ( 1944 - ___ ) Pourim réserve ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, Ampoules Monument Odessa Annette MESSAGER (1943 - ___ ) Les pensionnaires ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, Mes vœux.

Matisse, l'art de la répétition. En confrontant les toiles sœurs du «peintre inquiet du bonheur», le Centre Pompidou décrypte son processus créatif.

Matisse, l'art de la répétition

Peindre, qu'est-ce que cela veut dire? La réponse vous attend chez Matisse, univers de mesure qui respire la joie, la simplicité et la volupté, et qui se révèle une construction obstinée de la main et de l'œil. Plutôt qu'une énième célébration du «peintre du bonheur» adoré de tous (4,27 millions de réponses sur Google!) , le Centre Pompidou s'est lancé sur la piste de la création. Comment l'esprit vient-il au peintre? Comme toute discipline qui vise la perfection et le renouveau, il se débusque par la recherche incessante, la critique et la répétition, répond cette exposition conçue d'emblée avec un angle.

Scénographie aérée La parole de l'artiste allège la visite qui s'abstient d'une avalanche de textes explicatifs. Un petit rien qui change presque tout. «Matisse. Répétition dans l'art. Mise en abyme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Mise en abyme

La mise en abyme — également orthographiée mise en abysme ou plus rarement mise en abîme[1] — est un procédé consistant à représenter une œuvre dans une œuvre du même type, par exemple en incrustant une image en elle-même. On retrouve dans ce principe l'« autosimilarité » et le principe des fractales ou de la récursivité en mathématiques. Mise en abyme de l'article Mise en abyme Origine de l'expression[modifier | modifier le code] Exemple de mise en abyme L'expression utilisée dans le sens sémiologique remonte à André Gide, lequel note dans son Journal en 1893 : « J'aime assez qu'en une œuvre d'art on retrouve ainsi transposé, à l'échelle des personnages, le sujet même de cette œuvre par comparaison avec ce procédé du blason qui consiste, dans le premier, à mettre le second en abyme. » — Maurice Grevisse, Le Bon Usage, §96(a)1º.

Procédé artistique[modifier | modifier le code] Utilisation du procédé[modifier | modifier le code] Abyme - Le mot du jour. John-Théodore, Jack Cornaz: un architecte à contre-jour - Nadja Maillard. La mise en abyme. OSB6: la mise en abyme Une mise en abyme (ou en abîme, mais cette orthographe -également autorisée- tape vraiment moins la classe) est un procédé qui consiste à dupliquer un objet ou un concept à l'intérieur de lui même.

la mise en abyme

L'origine de l'expression est héraldique, puisque l'abyme est la partie centrale de l'écu (support matériel du blason). Ainsi, lorsqu'un écu est représenté à l'intérieur de l'écu principal, on dit qu'il est "mis en abyme". Voici, ci-contre, un exemple de ce procédé sur les armes de Jean sans Peur. Mais la mise en abyme n'est pas une vieillerie médiévale, et en voici quelques exemples plus contemporains: La couverture de Elle, qui montre une fille qui tient Elle, qui montre une fille qui tient Elle - C'est la notion d'image fractale rendue célèbre par la vache qui rit. En un mot, la mise en abyme est donc un procédé artistique — ou de réflexion intellectuelle — qui part en boucle (pour faire simple), et entraîne souvent une sensation profonde de vertige.