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Monsanto s'implante dans le BIO. Les grands de l'agrochimie comme Monsanto s'intéressent de plus en plus aux solutions de "lutte biologique" dans les champs, sous le regard inquiet du ministre de l'Agriculture qui veut préserver le savoir-faire français dans ce domaine.

Monsanto s'implante dans le BIO

Pour réduire l'usage de produits chimiques (pesticides, herbicides, fongicides) et doper les productions végétales, de plus en plus d'agriculteurs ont recours à des produits naturels dits de biocontrôle. Loin du purin d'orties, il s'agit de solutions difficiles à produire à grande échelle comme des insectes (les coccinelles mangent les pucerons, le trichogramme lutte contre la pyrale du maïs...), des champignons, bactéries ou phéromones.

L'américain Monsanto place ses pions. Www.natureetprogres.org/revue_nature_progres/articles/article38.pdf. Projet de loi : l'agroécologie est l'avenir agricole de la France. La France dit oui à l'agroécologie, mais ne veut pas pour autant renoncer au bio.

Projet de loi : l'agroécologie est l'avenir agricole de la France

Photo archives AFP Le 14 janvier, les députés ont adopté en première lecture le projet de loi d’avenir pour l’agriculture, défendu par le ministre Stéphane Le Foll, qui vise notamment à prendre le virage de l’agroécologie. Un texte pour partie écologiquement vertueux, mais qui comporte aussi des mesures moins écolos. Décryptage. Le contexte Même si la France reste la première puissance agricole d’Europe, elle est passée en dix ans de la place de 2e exportateur agroalimentaire mondial à la 5e.

Afin d’éviter que l’antibiorésistance ne se transmette à l’homme via la chaîne alimentaire, la délivrance des antibiotiques pour les animaux sera mieux encadrée. Www.corabio.org/publications/ALTERNATIVES BIO 66 AVRIL 2014 mail.pdf. Les ONG saluent l’engagement de la flotte d’Intermarché. Un communiqué de BLOOM, de la Deep Sea Conservation Coalition et du WWF France Après le résultat controversé du vote du Parlement européen le 10 décembre dernier sur l’interdiction du chalutage profond, la flotte d’Intermarché, la Scapêche, a « tendu la main » aux ONG pour réfléchir aux pratiques de pêche du groupe dans les eaux profondes de l’Atlantique Nord-Est.

Les ONG saluent l’engagement de la flotte d’Intermarché

Hier matin, à l’issue de plusieurs semaines de discussions, la Scapêche, BLOOM – un membre de la Deep Sea Conservation Coalition (une coalition de plus de 70 ONG) – et le WWF France ont trouvé un accord, résultat d’un réel compromis : alors que le Parlement européen avait proposé une interdiction du chalutage profond au-delà de 600 mètres de profondeur, la Scapêche s’engage à arrêter, d’ici début 2015, de pêcher avec des chaluts de fond au-delà de 800 mètres de profondeur. Non, le bio n’est pas une utopie ! Démonstration en 8 points.

Des produits bio issus d'une coopérative alimentaire (B.

Non, le bio n’est pas une utopie ! Démonstration en 8 points

COUTIER/SIPA) Nous avons lu avec stupeur l’article "Utopie bio" dans votre numéro du 1er novembre. Nous n’attendions pas du "Nouvel Observateur" un article à ce point rempli de contre-vérités, et qui ne cite comme sources bibliographiques que les écrits des adversaires notoires du bio que sont Gil Rivière-Wekstein – qui est membre de l’Afja (Association Française des Journalistes Agricoles), organisme qui a pour membre associé Bayer, ou encore le lobby des pesticides, l’UIPP –, Léon Guéguen – un adversaire déclaré de l’agriculture biologique depuis des décennies – et Gérard Pascal – favorable aux OGM et très critique de l’agriculture biologique. Ils font tous les deux partie de l’AFIS, l’Association française pour l’information scientifique, souvent prompte à défendre les pesticides et les OGM. Il nous semble important de souligner que ces chercheurs sont donc pro-OGM et pesticides. 1- Les fraudes. Nos Produits. Bio : la consommation française a décéléré en 2012.

Amende requise contre le viticulteur bio qui dit non aux pesticides. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Un vignoble bio peut-il être forcé d'utiliser des pesticides pour lutter contre une maladie mortelle de la vigne ?

Amende requise contre le viticulteur bio qui dit non aux pesticides

C'est la question épineuse à laquelle s'est heurté Emmanuel Giboulot, qui exploite 10 hectares en biodynamie sur la côte de Beaune et la haute-côte de Nuits, en Bourgogne. Le viticulteur de 51 ans comparaissait, lundi 24 février, devant le tribunal correctionnel de Dijon pour avoir refusé de traiter ses cépages de chardonnay et de pinot noir contre la flavescence dorée.

Une amende de 1 000 euros, assortie pour moitié du sursis, a été requise à son encontre. M. Emmanuel Giboulot encourait jusqu'à six mois d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende. Notre journaliste Audrey Garric a suivi l'audience : Tout commence en juin 2013, quand un arrêté préfectoral impose le traitement de « l'ensemble des vignobles de la Côte-d'Or » au moyen « d'une application unique d'un insecticide » . « Cet arrêté est illégal. Malgré la crise, le bio gagne du terrain en France. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric C'est une moisson de bonnes nouvelles pour le bio.

Malgré la crise, le bio gagne du terrain en France

Les surfaces dédiées à l'agriculture biologique en France ont augmenté de 25 % au premier semestre. Six mois qui ont vu 173 000 hectares se convertir au label AB, permettant ainsi aux cultures certifiées bio de franchir la barre du million d'hectares (4,6 % des surfaces agricoles), selon un rapport de l'Agence Bio, groupement d'intérêt public chargé de promouvoir la filière, publié mardi 2 octobre. Dans le même temps, 900 producteurs et 300 transformateurs ont adopté le cahier des charges, portant à 36 400 le nombre d'opérateurs bio dans l'Hexagone – soit une augmentation de 17 % par rapport à 2010. Dans le détail, la production de céréales a crû de 30 % et celle des fruits et légumes de 18 %. "Tous produits confondus, la part des aliments bio importés en France, en valeur, devait passer en 2012 sous la barre des 30 %, contre 38 % en 2009 et encore 32 % l'an passé", ajoute-t-elle.