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Is France the sick man of Europe? Votée, retardée, supprimée... Petite histoire de la "taxe Google" Qui a peur du méchant loup ? Mputer programming: who is teaching our children to code? "L'Europe sauve les banques mais refuserait d'aider les pauvres ?" Il ne reste plus que trois mois pour sauver l'aide alimentaire européenne. Avec la fin annoncée du programme européen aux démunis (PEAD), les associations caritatives risquent fort de perdre quelque 500 millions d'euros annuels qui leur permettent de distribuer des repas à 18 millions de personnes.

Pour Julien Lauprêtre, président du Secours populaire, cet abandon symbolise "l'odieux qui se mêle au ridicule. L'odieux d'une Europe où grandit le chacun pour soi. Le ridicule de ce que coûte le PEAD : 1 euro par an et par Européen, ce qui est dérisoire". En France, le PEAD représente en moyenne un tiers de l'aide alimentaire pour des organisations comme les Restos du Cœur, le Secours populaire ou la Croix Rouge. Le compromis obtenu par la France l'an dernier arrive à son terme et un nouveau programme doit être voté avant décembre 2012.

Et sept pays, Allemagne en tête, renâclent manifestement. "L'Etat doit passer à la vitesse supérieure" Faire baisser la pauvreté en Europe. FAITS DIVERS • Les meurtres de Chevaline, c'est aussi une atteinte à l'honneur de la France. Au-delà de la pure horreur qui transpire du moindre détail de ce qui s'est passé sur cette route forestière - la nature presque chirurgicale des meurtres et cette petite fille prostrée pendant des heures sous le corps sans vie de sa mère -, une autre question pénible tourmente les Français : pourquoi fallait-il que les victimes soient britanniques?

Contrairement à une opinion répandue – et à ce que les intéressés voudraient bien faire croire -, les Français sont terriblement attentifs à ce que l'on pense d'eux à l'étranger. Leur manie de se comparer à leurs voisins relève de l'obsession, notamment avec les sujets de sa Majesté qu'ils considèrent toujours comme leurs ennemis jurés et dont ils ne cessent de solliciter les correspondants à Paris sur les sujets les plus obscurs. Aujourd'hui, la couverture médiatique de ce quadruple meurtre est centrée sur les échos qu'en font les médias britanniques et l'image que donne la France dans cette affaire.

Comme un écho de l'affaire Dominici.