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La paresse

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Que dit la Bible concernant la paresse ? Question : "Que dit la Bible concernant la paresse ? " Réponse : La première loi de Newton sur le mouvement, déclare qu’un objet en mouvement a tendance à rester en mouvement, et un objet immobile a tendance à rester immobile. Cette loi s’applique aussi aux gens. Alors que certains sont naturellement poussés à achever leurs projets, d’autres sont apathiques, nécessitant de la motivation pour surmonter leur inertie. La paresse, un style de vie pour certains, est une tentation pour tout le monde.

Mais la Bible est claire que, puisque l’Eternel a ordonné à l’homme de travailler, la paresse est un péché. « Va vers la fourmi, paresseux ; considère ses voies, et deviens sage. » (Proverbe 6 :6) La Bible a beaucoup à dire sur la paresse. Il n’y a pas de place pour la paresse dans la vie du chrétien. Grâce à notre nouvelle nature, nous sommes motivés à la diligence et la productivité, par amour pour notre Sauveur qui nous a rachetés. Retour à la page d’accueil Français. La paresse est-elle nécessaire ? Cet exposé fait suite à la séance du café philo consacré à ce sujet. Il tente de mettre en perspective différents textes, et d'articuler plusieurs approches de la question, sans apporter de conclusion au débat. Les textes, identifiés par une numérotation de 1 à 12, seront disponibles aux prochaines séances du café philo. Cette question prend à première vue la forme d'une provocation, voire d'un trait d'humour noir.

Le serveur du café Chez la Jeanne à qui j'ai porté le tract où était inscrit la question a marqué un temps de surprise… Comment, en plein travail, quand les clients attendent et ne se gênent pas pour manifester leur mécontentement, comment envisager une "nécessité" de la paresse ? Peut-être faudrait-il entendre dans cette question la manifestation d'un regret, l'effort fait par un chef d'entreprise pour s'accommoder d'un mal nécessaire. L'enjeu est cependant de taille. A - L'éloge de la paresse 1 - La révolte contre le travail industriel 1 et 2 - Lafargue. 4 - Russell.

Refus du travail, paresse et plaisir de l'oisiveté. L’opposition à l’Accord national interprofessionnel (ANI), une nouvelle réforme du contrat de travail, révèle les limites du mouvement social. Les syndicats et les partis défendent tous une société du plein emploi dans laquelle le travail devient quasiment sacralisé. Le Front de gauche incarne cette aspiration au petit bonheur conforme avec son logement pavillonaire, son amour routinier et son indispensable CDI. Mais une partie du mouvement ouvrier révolutionnaire n’a pas toujours défendu cette conception du bonheur étriqué et ennuyeux. Le droit au travail semble moins important que le droit à la paresse. Les éditions allia s'attachent à publier des textes percutants qui dressent l'apologie de l'oisiveté.

Paul Lafargue et le Droit à la paresse Le travail doit éradiquer les sentiments de fierté et d’indépendance des ouvriers. Les machines ne permettent pas à l’ouvrier de se reposer, mais l’obligent au contraire à devenir plus actif et productif. Sources: Articles liés: Pour aller plus loin: La paresse ? Proposition pour une préface au livre de Paul Lafargue et « Le droit à la paresse » Il est nécessaire de rappeler le cadre historique pour situer ce texte. La situation sociale de l’époque est très dure pour les classes populaires. Ce pamphlet a été écrit contre la « religion du travail », la norme idéologique du moment pour les classes opprimées. Le travail dure 12 heures par jour, le travail des enfants est très répandu.

Le travail engendre une souffrance forte et une usure rapide des personnes. La consommation des ouvrièr/ères est réduite au minimum, seuls les besoins de base sont concernés. Il n’existe pas d’accès à la culture pour la majorité des gens, la culture est réservée à une petite élite. Socialisme ou Barbarie ? (La crise de la social-démocratie) La crise de la social-démocratie Socialisme ou Barbarie ? La scène a changé fondamentalement. La marche des six semaines sur Paris a pris les proportions d'un drame mondial ; l'immense boucherie est devenue une affaire quotidienne, épuisante et monotone, sans que la solution, dans quelque sens que ce soit, ait progressé d'un pouce. La politique bourgeoise est coincée, prise à son propre piège : on ne peut plus se débarrasser des esprits que l'on a évoqués. Finie l'ivresse. Le spectacle est terminé. Dans l'atmosphère dégrisée de ces journces blêmes, c'est un tout autre choeur que l'on entend : le cri rauque des vautours et des hyènes sur le champ de bataille.

Les affaires fructifient sur des ruines. Souillée, déshonorée, pataugeant dans le sang, couverte de crasse ; voilà comment se présente la société bourgeoise, voilà ce qu'elle est. Et au coeur de ce sabbat de sorcière s'est produit une catastrophe de portée mondiale : la capitulation de la social-démocratie internationale. Le droit à la paresse, une revendication cruciale. Par Isabelle Stengers Plus que jamais, peut-être, le droit à la paresse de Lafargue est d’actualité. [1] En cette époque où la compétitivité est l’impératif catégorique au nom duquel des entreprises, des villes, des régions, des pays, des continents sont dressés les uns contre les autres, où l’emploi à créer ou à sauvegarder fait des entrepreneurs des anges sauveurs, à séduire par tous les moyens, la revendication d’un tel droit sonne comme une véritable trahison, un appel à la démobilisation, presque un blasphème.

Lafargue faisait communiquer droit à la paresse et réduction généralisée du temps de travail. Reprendre ce thème aujourd’hui est logique, et sa reprise est d’autant plus nécessaire que, on nous le dit, si nos modes de production ne changent pas, c’est l’avenir même des habitants de cette terre qui est compromis. De fait, les chômeurs sont loin d’être les seuls dont les experts entendent faire le bien malgré eux. Url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=92&ved=0ahUKEwj0zMX4rfzKAhWMDxoKHQLxA9o4WhAWCCQwAQ&url= « La paresse est jouissance de soi ou n’est pas. N’espérez pas qu’elle vous soit accordée par vos maîtres ou par leurs dieux. On y vient comme l’enfant par une naturelle inclination à chercher le plaisir et à tourner ce qui le contrarie.

C’est une simplicité que l’âge adulte excelle à compliquer. » Raoul Vaneigem Réaffirmant follement le désir de désirer un autre monde, de rêver, de poétiser et de vivre une vie authentique, voici ce livre qui, cheminant de Philippe Godard à Raoul Vaneigem, en compagnie de Paul Lafargue et de Pauline Wagner, chante la mélodie du vivant et le droit à l’amour. En 1880,Le Droit à la paresseouLa Réfutation du droit au tLr’aÉvgaail de Paul Lafargue paraissait en feuilleton dans l’heÉbldoogmadaire lité; incarcéré à la prison de Sainte-Pélagie en 1883, il ajoute quelques notes pour une prochaine réédition. Eloge de la Fainéantise. « Le travail est l'opium du peuple et je ne veux pas mourir drogué » (Boris Vian)

Gus – noble vigneron qui du sang de la terre tire le nectar des dieux – me disait il y a quelques temps dans un commentaire qu’il « aimerait bien glander mais qu’il était obligé de trimer dans ses vignes ». Non ami Gus, ce que tu fais n’est pas un « travail » (du latin tripalium, instrument de torture) mais un « labeur ». Ils sont bien plus valorisant les termes « labeurer » ou « labourer » plus spécifique et « œuvrer », accomplir une œuvre. Le travail implique contrainte, souffrance, malédiction divine. Le sinistre M. La paresse, la fainéantise, le glandage sont l’apanage d’une sorte d’élite. Nous sommes influencés par cette culture où le religieux ( "Tu te nourriras à la sueur de ton front ! ") Il y a dans l’art de ne rien faire le signe d’une conscience vraiment affranchie des multiples contraintes qui, de la naissance à la mort, font de la vie une frénétique production de néant.

. - Oh ! - Merci ! Nous aurons bien mérité la retraite, soupirent les travailleurs. La paresse - Aide en philo.com. Analyse du sujet : Droit : Le droit est garanti contractuellement par la loi également pour l'ensemble des citoyens. Les droits définissent les libertés que chaque citoyen peut exercer sans compromettre celles des autres. Le droit d'exprimer librement ses opinions, par exemple, est ainsi garanti dans la mesure où ces opinions ne sont pas diffamatoires ou injurieuses, où elles ne compromettent pas le droit d'un autre citoyens à être traité avec respect. Paresse : La paresse est la propension à ne rien faire, la répugnance pour le travail. Elle est un des sept péchés capitaux punis par la morale chrétienne qui définit le travail et l'effort comme des valeurs suprêmes. Problématisation : Nous nous interrogeons sur le droit à la paresse. .: Le triomphe de la paresse. Il y a mille et une raison de ne pas aller travailler. La première étant que le travail est considéré, au moins dans le christianisme, comme une malédiction biblique.

Chassés du Paradis terrestre pour avoir goûté aux fruits de l’arbre de la connaissance, Adam et Eve sont condamnés à aller pointer à l’usine. En Orient d’ailleurs, le travail ne vaut pas mieux et Siddhârta abandonne femme, responsabilités et palais pour aller couler le restant de ses jours en méditant sous un arbre. Et dans la chrétienté médiévale, l’élite militaire et nobiliaire s’est rapidement arrangée pour imposer l’idée que travailler de ses mains n’était pas du ressort de ceux qui étaient déjà chargés d’assurer la protection des besogneux. La littérature a offert un glorieux asile à ceux qui faisaient le choix de la paresse ou de l’inaction. Les Français ne furent pas en reste et il eût été surprenant que le pays des rois fainéants n’eût pas produit en la matière quelques magistrales célébrations de la paresse. Eloge… par Bernard Langlois | Politis. [Justement, paresseux que je suis… Longtemps que je n'ai pas alimenté ce blog, c'est pas bien !

En classant un peu de vieilles choses, sur mon bureau virtuel, je suis tombé sur ce texte, rédigé il y a longtemps et jamais paru. Je me suis dit que ça vous changerait un peu d'une actualité particulièrement mortifère, non ?] Eloge de la paresse Longtemps je me suis levé de bonne heure. Preuve que je ne suis pas paresseux de naissance. Et quand je dis de bonne heure, c’est vraiment de très bonne heure : quand vous vous rasez le matin en rêvant à je ne sais quel destin, ou que vous trempez vos tartines en écoutant la radio d’une oreille distraite, dites-vous bien que le type qui vous parle, là, (ou la fille — la profession s’est beaucoup féminisée depuis mes débuts), est à la peine depuis au moins 4 H du matin. Faire l’éloge de la paresse vous place d’emblée sous quelques patronages illustres : — Celui de Diogène dans son tonneau : « - Demande-moi ce que tu veux !

Y-a-t-il un sens à faire l'éloge de la paresse? Sujets / La culture / Le travail / Un début de problématisation ... La paresse se présente à nous sous la condition d’une double distinction : si elle désigne de prime abord la fait de chercher à effectuer le moins de travail d’effort possible, elle désigne également le fait de se consacrer aux loisirs, au temps libre. Par conséquent, la paresse se conçoit ainsi comme la quête du moindre effort, de la moindre contrainte, mais orientée vers le temps libre, le temps où nous sommes libres de faire ce que bon nous semble une fois la contrainte du travail envolée. Le sens commun assimile en effet le loisir, comme le temps de la liberté ; quand on ne travaille pas, on peut se divertir, c’est-à-dire à proprement parler, détourner son esprit du travail pour s’adonner aux activités de la distraction.

Obtenir un corrigé personnalisé du sujet de philosophie : Y-a-t-il un sens à faire l'éloge de la paresse? Vous devez traiter ce sujet ? Obtenir ce corrigé - Fonctionnement de MaPhilo.net ... Eloge de la paresse. Sans cesse le savant nous crée de nouveaux besoins sans nous fournir le moyen de les satisfaire. La science vulgarisée, l'instruction, que l'on répand à profusion, est cause de la détresse sociale : elle engendre le progrès matériel et la cheminée d'usine, ce monstrueux phallus en permanente érection, éjacule de la suie sur les plus verdoyants paysages.La chimie frelate nos boissons, falsifie nos aliments ; de cette sophistication résultent d'innombrables maladies.

Quand nous sommes complètement démolis par l'ingestion des produits chimico-nutritifs, on nous en fait absorber d'autres sous formes de remèdes.Il ne nous reste plus, alors, qu'à rédiger notre testament[...] Ces insensés fatiguent la terre par leurs procédés de culture intensive, par leurs engrais artificiels. Henri Gustave Jossot " l'Evangile de la paresse " 1939 édité en 2011 chez Finitude. Source : Eloge de la paresse affinée par Raoul Vaneigem. Origine Dans l’opinion qui s’est forgée à son propos, la paresse a beaucoup gagné au discrédit croissant dont s’est grevé le travail.

Longtemps érigé en vertu par la bourgeoisie, qui en tirait profit, et par les bureaucraties syndicales, auxquelles il assurait leur plus-value de pouvoir, l’abrutissement du labeur quotidien a fini par se faire reconnaître pour ce qu’il est : une alchimie involutive transformant en un savoir de plomb l’or de la richesse existentielle. Cependant, l’estime dont se prévaut la paresse n’en continue pas moins à souffrir de la relation de couple qui, dans la sotte assimilation des bêtes à ce que les humains ont de plus méprisable, persiste à accoler la cigale et la fourmi. Qu’on le veuille ou non, la paresse demeure prise au piège du travail qu’elle rejette en chantant.

Quand il s’agit de ne rien faire, la première idée n’est-elle pas que la chose va de soi ? Le travail a dénaturé la paresse. Mais non ! Raoul Vaneigem. Eloge de la paresse affinée par Raoul Vaneigem. Eloge de la paresse | Baz'Art. Bon, pour rassurer tous ceux qui perdent leur travail en ces temps de crise, nous avons décidé de faire un éloge de la paresse. N’en déplaise aux partisans de l’effort, l’emploi se raréfiant, autant le laisser à ceux qui ne conçoivent la vie qu’autour de la valeur travail. Par contre, il nous paraît important de lutter pour rassurer le chômeur, le cancre, le fonctionnaire ou encore le rentier et l’actionnaire, car un homme qui culpabilise de son oisiveté risque de devenir un homme dépressif, malade, creusant le trou de notre chère et tendre sécurité sociale à grands coups d’anxiolytiques et de psychothérapie.

Certes, la paresse fait partie des sept péchés capitaux mais comme il s’agit du dernier, nous considérerons qu’il fallait bien que les catholiques en trouvent un septième pour obtenir le nombre parfait, symbole de l’abondance divine, et surtout éviter le nombre six, marque déjà déposée par le Diable. Par ailleurs, Marx insiste égaleme J'aime : J'aime chargement… L'éloge de la paresse. citations. Eloge de la paresse. Eloge de la paresse - Archives vidéo et radio Ina.fr. Eloge de la paresse: "Il faudrait qu'on travaille moins" Georges Moustaki - Le droit à la paresse. Eloge et décri de la paresse 4ème partie (4/4) Eloge et décri de la paresse - 3ème partie (3/4) Eloge et décri de la paresse - 1ère partie (1/4) Eloge et décri de la paresse - 1ère partie (1/4) MIA: Paul Lagargue: 'Le droit à la paresse' (1880) «Le droit à la paresse», à relire d’urgence.