Chamanisme coréen. Cérémonie de kut en octobre 2007.
Appelé localement le Shinisme or Sinisme (en coréen: 신교, Hanja 神敎; Shingyo or Shinkyo, qu'on peut traduire "religion des esprits/dieux") or Shindo (en coréen: 신도; Hanja: 神道, "la voie des esprits/dieux"), est une forme de croyance polythéiste et animiste très ancienne de la péninsule coréenne. Il consiste en un culte s'adressant à des dieux (신 shin), aux ancêtres (조상 josang) ainsi qu'à des esprits de la nature. En Corée du Sud, des chamanes et des dieux. Les locaux ne payent pas de mine.
Les Coréens du Sud sont accros à la divination. Temps de lecture: 2 min — Repéré sur The Economist Dans des cafés, dans des temples, sous des tentes ou dans la rue, entre des étals de vêtements bon marché et des boutiques de cosmétiques: on trouve partout des tables de diseurs de bonne aventure en Corée du Sud.
Certains proposent les arts coréens de la morphopsychologie (la lecture des traits du visage), d'autres de la chiromancie (ceux des mains) ou du tarot. Mais la plupart pratiquent le saju, une forme ancienne de divination liée à l'astrologie chinoise, fondée sur les «quatre piliers de la destinée». Le Broken Hearts Tarot Club est l'un de ces lieux où les Séoulites de tous bords viennent tenter leur destin.
Implanté à Hongdae, le quartier étudiant de l'université de Hongik, il abrite derrière sa façade de néons roses un business des plus florissants. Un business de trois milliards d'euros. Politique et religion en Corée du Sud. 86 Bertrand Chung qu'il n'existe pas de facteur historique absolu.
Le changement social résulte de conjonctures particulières, du jeu de facteurs multiples. D'ailleurs, Max Weber lui-même n'entendait pas expliquer l'économie par la religion. Ces remarques nous font comprendre la difficulté et les limites de notre travail. Il se pose également un problème méthodologique. Notre analyse sera centrée sur la période d'après 1961, qui est profondément marquée par l'industrialisation rapide mais aussi par l'expansion des religions, cela sous l'autoritarisme du régime militaire. 1. Religion et superstition en Corée. 152 SOCIÉTÉ l/ANTHKOPOLOGIJi DE LYON avis, ce dernier est, de tous, le plus important , celui que tous les Coréens, depuis le grand fonctionnaire jusqu'à l'iimble tra¬ vailleur, accomplissent avec le plus de soin, car on peut dire qu'ils sont, avant tout, des adorateurs d'esprits.
Deschamps (Christian) Formes et caractéristiques de la religion populaire coréenne. Etude de la religion populaire dans un village du Kyeong-sang (Corée du Sud) BULLETIN DES OUVRAGES vrage De plus ture et méconnaît allemand plus apports de la choses agissant partir et Historismus même vrage ouvrage comme idéologique 35.231 Jewish 1901-1968 versity 1972 Cette sultat trois communauté mariages comportant religieuse par Italie Cette permet démographiques mixtes au moment et leurs que le Comme le mariage en proportionnellement parmi En fréquence pays 1850 Les notamment se multiplient comme vent étude un aper 187.
Paper Symbols in Chindo "Ssikkim Kut" : a Korean Shamanistic Ceremony. 66 Keith Howard for travel beyond this world, not for food and clothes, and the paper effigy is not taken around the ceremonial place to imitate its travels in the underworld.
There is evidence that the explanations offered for paper symbols have only recently become common knowledge among Chindo shamans. Because of the surprising lack of published reports on the use of paper objects in Korean ceremonies, and because my knowledge of Chinese ethnography is limited, this paper should be considered a preliminary report.1 I conducted fieldwork in Chindo, an island county (myôn lËi) in the southwest of the Korean peninsula with a population of 65,000 (1988) from 1982 onwards.
Chindo became famous after the Sambyôlch'o ELiïlfà rebellion in the fourteenth century when the king's forces, disillusioned with a humiliating peace treaty signed with the Mongols, set up a government-in-exile on the island. Politique et religion en Corée du Sud. Archives de sociologie des religions, n°17, 1964. Saut au contenu Archives de sociologie des religions, n°17, 1964. www.persee.fr/issue/assr_0003-9659_1964_num_17_1.
Introduction. Revue d'études comparatives Est-Ouest, 2001, vol. 32, n° 1, pp. 5-27 Introduction Eric SEIZELET 1.
La diversité du fait religieux en Asie orientale 1.1. James H. Grayson, Early Buddhism and Christianity in Korea. Book reviews 289 développement dans leur terre d'accueil.
L'auteur postule que les religions, dans leur processus de propagation, passent à travers une série de stades et sont soumises à des facteurs qui influencent leur développement. Il appelle "implantation," ce processus de développement social d'une religion, voulant signifier par là l'enracinement dans l'ordre social d'une culture donnée, d'idées, de croyances et de pratiques étrangères qui ont leur origine dans une autre culture. Il construit son modèle à partir de données empruntées à l'histoire de l'introduction du bouddhisme en Chine et l'applique au bouddhisme et au christianisme en Corée, impliquant ainsi qu'il existe des structures universelles.
L'examen de l'émergence du bouddhisme en Chine lui permet de distinguer un modèle qui comporte trois stades (subdivisés éventuellement en sous-stades) : 1 . Frits Vos, Die Religionen Koreas. 284 Comptes rendus donner au confucianisme le statut d'une religion d'Etat. Celui-ci avait, dès les origines, influencé la société coréenne, mais il n'avait pu s'imposer comme il le fera à partir du XIVe siècle, et de façon durable, jusqu'aux premières décennies du XXe siècle. Son emprise fut même plus forte qu'en Chine et l'auteur rappelle que le gouvernement des lettrés ne fut pas toujours bénéfique au pays et que les querelles entre chapelles furent à l'origine de bien des maux dont la Corée eut à souffrir. Pentecôtismes en Corée / Pentecostalisms in Korea.
De Paris à Séoul Patrick JOHNSTONE Operaci Mundo Guia Diaria de Oraci por el Mundo Centros de Literatura Cristiana de Colombia 1995 Jong-Chul CHOI Les Eglises chrétiennes et leurs engagements socio-politiques en Corée du Sud 1972-1990 une étude sociologique des rapports entre religions et politique doctorat de sociologie Université Paris IV 1991. Cahiers d'Extrême-Asie, vol. 6, 1991. Numéro spécial Chamanisme coréen - Special Issue on Korean Shamanism. Bouddhisme coréen. Le bouddhisme coréen se distingue des autres formes du bouddhisme par ses tentatives de résoudre certaines incohérences du bouddhisme mahāyāna. Les premiers moines coréens pensaient que les traditions qu'ils avaient reçues des autres pays étaient incohérentes. Ils ont donc développé une nouvelle approche holistique du bouddhisme. Cette approche est caractéristique d'à peu près tous les penseurs coréens et résulte en une variante propre du bouddhisme appelée tongbulgyo (le bouddhisme interpénétré) par les érudits coréens.
Histoire[modifier | modifier le code] Christianisme en Corée du Sud. Les débuts de l’évangélisation[modifier | modifier le code] C’est par les ouvrages des jésuites publiés en Chine que le christianisme est introduit en Corée au XVIIIe siècle, durant la dernière dynastie Yi. Cette époque voit le féodalisme centralisé vaciller sur ses bases.
D’une part, les bourgeoisies, nées du développement de l’agriculture, de l’artisanat et de l’industrie, commencent à former une nouvelle classe sociale riche, menaçant le pouvoir centralisé, et le mouvement du peuple, né du développement de la culture et de la religiosité populaire, intensifie sa critique vis-à-vis des dirigeants et de leur spéculations confucéennes. D’autre part, certains lettrés, et cela depuis le XVIIe siècle, en éprouvant l’aporie du néoconfucianisme, sont en quête d’une issue pour mieux promouvoir le bien-être du peuple. Ainsi naît une nouvelle école appelée Sil-hak — que l’on peut traduire par « Science du réel » ou « Étude pragmatique » — de tendance progressive, pragmatique et positiviste.
Chamanisme coréen. Cérémonie de kut en octobre 2007. Appelé localement le Shinisme or Sinisme (en coréen: 신교, Hanja 神敎; Shingyo or Shinkyo, qu'on peut traduire "religion des esprits/dieux") or Shindo (en coréen: 신도; Hanja: 神道, "la voie des esprits/dieux"), est une forme de croyance polythéiste et animiste très ancienne de la péninsule coréenne. Il consiste en un culte s'adressant à des dieux (신 shin), aux ancêtres (조상 josang) ainsi qu'à des esprits de la nature. Pour parler de sa dimensions proprement chamanique, (Korean: 무속, Hanja: 巫俗; musog or musok), le terme Muisme est privilégié (Hangul:무교, Hanja: 巫敎; Mugyo or Mukyo, "religion des mu (chamanes)"). Le chamanisme coréen demeure une pratique très vivante en Corée. Bien que proche des chamanismes sibériens et mandchous, il a de nombreuses spécificités nationales, qui lui ont valu un regain d'intérêt dans le dernier quart du XXe siècle.
Histoire[modifier | modifier le code] Politique et religion en Corée du Sud. Les églises font le plein en Corée. Courrier International et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). En vingt ans en Corée du Sud, 50 % de catholiques en plus.
Depuis des années, l’Église catholique en Corée du Sud affiche un taux de croissance remarquable d’environ 2 % par an (pour une population dont la croissance annuelle n’excède pas 0,8 %). Au point qu’on l’a surnommée « le tigre asiatique de l’Église ».