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Blog Albert AMGAR

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Après les tomates, les pastèques et les melons, l'EFSA s'intéresse aux risques posés par Salmonella, Yersinia, Shigella et norovirus dans les carottes, l'ail et les oignons. Après avoir évalué les risques associés aux melons, pastèques et tomates vis-à-vis de Salmonella, l’EFSA, qui est, semble-t-il, en train de faire ses semis, c’est la période, vient de publier le 19 décembre 2014 un avis sur les carottes, les légumes tiges et les légumes bulbes et la présence de Salmonella, Yersinia, Shigella et norovirus. C’est tous ces bons légumes qu’il faudrait manger cinq fois par jour … Cet avis intéresserait-il les consommateurs ? A vous de voir … L’avis intégral « Scientific Opinion on the risk posed by pathogens in food of non-animal origin. Part 2 (Salmonella, Yersinia, Shigella and Norovirus in bulb and stem vegetables, and carrots) » est ici. Résumé. Les légumes tiges et les légumes bulbes ainsi que les carottes peuvent être transformés de façon minimale afin d’obtenir des produits prêts à être consommés, et ces étapes comprennent la sélection, le lavage, le nettoyage, la coupe, le conditionnement et le stockage.

NB : Traduction des textes par mes soins. Fruits Archives - Page 8 de 10 - Le Blog d'Albert Amgar - Le Blog d'Albert Amgar. De la prédiction de la présence de pathogènes d'origine alimentaire dans des produits alimentaires issus des exploitations agricoles. Facteurs de risque associés à la contamination par Salmonella et Listeria monocytogenes des champs de fruits et de légumes. Les épices et les contaminants microbiens. Voici un étude scientifique américaine qui passe en revue les éclosions de maladies infectieuses d'origine alimentaire au cours d ela période allant de 1973-2010 liées à des contaminants microbiens présents dans les épices.

Résumé. Cette étude a identifié quatorze éclosions de maladies déclarées et attribuées à la consommation d'épices contaminées par des pathogènes au cours de la période 1973-2010. Les pays signalant des éclosions sont le Canada, le Danemark, l'Angleterre et du Pays de Galles, France, Allemagne, Nouvelle-Zélande, la Norvège, la Serbie et les Etats-Unis.

Ensemble, ces foyers ont abouti à 1946 cas rapportés de maladies chez l’homme, 128 cas d’hospitalisations et deux décès. Les bébés/les enfants ont été la partie de la population la plus touchée avec 36% (5/14) des éclosions attribuées aux épices. Quatre foyers ont été associés à de multiples micro-organismes. Faits marquants Source Jane M. Articles similaires. Salmonella, un avertissement pour les végétariens ? Aliments bio : La question de la sécurité sanitaire. « Aliments bio : La question de la sécurité sanitaire ». Il s’agit d’un article de Zak Solomon publié le 30 août 2013 dans Food Safety News. C'est le troisième volet d'une série de trois articles sur les aliments bio publiés initialement dans Food Sentry, le 31 mai 2013. Le premier volet est « The Low-Down on Organic Foods » (A propos des aliments bio). Le second volet est « Organic vs.

Non-Organic: What’s the Difference? » (Bio versus non bio : Quelle est la différence ?). NB : Le point de vue énoncé ci-après est lié à la situation aux Etats-Unis. Les aliments bio sont-ils plus sûrs que les aliments non bio ? Selon des études récentes et des données limitées sur lesquelles elles sont fondées : Les résidus de pesticides sont généralement présents à la fois sur les produits bio et non bio, et, en moyenne, ils semblent être présents à des concentrations plus faibles sur les produits bio. La réponse de la sécurité sanitaire * pour plus de détails sur le National Organic Program, voir ce lien. Effets de la gestion d’exploitations agricoles et des facteurs environnementaux sur la présence de E. coli dans des épinards avant récolte.

STEC et végétaux consommés crus en France. Deux récents articles avaient traités du sujet de la contamination des fruits et des légumes frais, Retour sur les bactéries présentes sur les fruits et les légumes et Les bactéries présentes sur les fruits et les légumes frais varient-elles selon le type de fruits et de légumes et les pratiques agricoles ? Voici que la DGCCRF nous informe, si l’on peut dire, tant son communiqué du 8 avril 2013 est minimaliste, à moins que cela ne soit l‘étude elle-même, ou les deux.

Jugez plutôt … Il s’agit d’une « étude » sur les « Végétaux consommés crus : la DGCCRF reste vigilante ». Il s’agit donc de la recherche de STEC ou Escherichia coli producteurs de shigatoxines qui est absente sur ces 41 prélèvements. Mais vu le nombre de prélèvements que peut-on conclure ? NB : J'ai appris au moins une chose que l'on pouvait consommer des poireaux crus. Des recettes me disent que le poireau cru est inhabituel et le plus souvent, il doit être cuit, mais bon, si la DGCCRF est vigilante … Articles similaires. Retour sur les bactéries présentes sur les fruits et les légumes.

Retour sur une épidémie à Salmonella en 2012 liée à des melons cantaloups : une évaluation environnementale par la FDA. C'est passionnant ces enquêtes épidémiologiques et voici un résumé de l'évaluation environnementale d'une investigation réalisée par une équipe de la FDA. CIDRAP News du 4 mars 2013 rapporte que « la FDA trouve un lien entre la contamination des champs et la présence de Salmonella dans des melons cantaloups ». La contamination par Salmonella de melons d'un cultivateur de l'Indiana liés à une épidémie en 2012 a probablement eu lieu dans les champs durant la croissance du fruit et a probablement été répandue au cours des différentes étapes de manipulations, selon une évaluation environnementale de la Food and Drug Administration (FDA).

L'épidémie a rendu malades au moins 261 personnes, 3 personnes sont décédées, dans 24 États, selon le rapport du CDC du 5 octobre 2012. Les maladies étaient liées à la consommation de melons cantaloups de la société et a impliqué deux souches épidémiques, Salmonella Typhimurium et Salmonella Newport. Articles similaires. Le Blog d'Albert Amgar, résultats de recherche pour Végétaux. BIOPRO, projet commun de recherche en Allemagne, rapporte dans un communiqué du 18 juin 2013, que pour la prévention des EHEC : la mission est d’avoir des ‘salades sûres’ (EHEC prevention: mission ‘safe salad’).

Les fruits et les légumes crus sont très populaires et sont bons pour la santé, au moins tant qu'ils ne sont pas contaminés par des pathogènes tels que ceux qui ont causé l'épidémie de EHEC en 2011 où des aliments germés ont été identifiés comme étant la source de l'épidémie à E. coli. Des chercheurs de l'Université de Hohenheim se penchent sur la façon dont le risque que les consommateurs soient infectés par des légumes et les salades prêts à être consommés en l’état peut être minimisé. L'épidémie de EHEC de l'été 2011 a été la pire épidémie causée par EHEC en Allemagne à ce jour et l'une des plus importantes épidémies à travers le monde. 3850 personnes malades et 53 décès.

Le Dr. Que faire si des températures élevées ne peuvent être utilisés pour tuer les bactéries ? Des laitues certifiées de Californie mises en cause dans une éclosion à E. coli au Canada. La revue de PROCESS du 15 janvier 2013 indique que « Les Tiac liées aux végétaux ont augmenté. » En voici donc un exemple non pas en Europe mais au Canada via de la laitue de Californie. Voir à ce sujet les articles suivants : Il était une fois les mésaventures de Yum! Avec la sécurité des aliments, Les denrées alimentaires d’origine non animale sont-ils à risque ? La preuve par l’exemple au Canada, La DGCCRF et les contrôles officiels renforcés à l’importation des denrées alimentaires d’origine non animale et A propos de cas récents à E. coli O157:H7 au Canada. CIDRAP News du 15 janvier 2013 rapporte que « des laitues ayant le label safety pact sont apparemment mises en cause dans une éclosion au Canada. » L'épidémie a augmenté pour inclure désormais 28 cas au Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse et Ontario, l'Agence de santé publique du Canada (ASPC) a annoncé, hier, une augmentation de 2 cas depuis la précédente mise à jour du 11 janvier 2013.

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