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Hazan / LQR

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Les Éditions RAISONS D'AGIR. Eric Hazan. Eric Hazan annonce la guerre totale contre Sarkozy. LQR. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Description[modifier | modifier le code] « LQR » signifie Lingua Quintae Reipublicae, allusion à l'analyse linguistique menée par Victor Klemperer pendant la montée en puissance du Troisième Reich et de sa langue qu'il avait baptisée Lingua Tertii Imperii (la « Langue du Troisième Reich » en latin). L'auteur évoque également les figures de George Orwell se battant contre la novlangue et d'Hannah Arendt dénonçant la banalité du mal.

LQR est une langue non utilisée par le peuple mais déversée de manière constante par la publicité et les médias, telle la novlangue. Une émission de Là-bas si j'y suis a été consacrée à ce livre en février 2006[2]. LQR, le Langage de la Ve République[modifier | modifier le code] Critiques[modifier | modifier le code] LQR a reçu un accueil favorable de la part du Monde diplomatique[3], mais beaucoup plus sévère de la part du Monde[4]. Autres essais liés à cette thématique[modifier | modifier le code] Éric Hazan. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Hazan.

Biographie[modifier | modifier le code] Éric Hazan est né à Paris[1] d'une mère apatride née en Palestine et d'un père juif originaire d'Égypte[2], Fernand Hazan, éditeur, lui-même fils d'Émile Hazan, également éditeur. Il est signataire, en juin 2010, d'une pétition très controversée parue dans le journal Libération, appelant au renversement de la police qualifiée d'« armée d'occupation », intitulée Pour les cinq de Villiers-le-bel[5],[6]. Éric Hazan fait partie des signataires d'une tribune[7] dénonçant le texte d’orientation adopté pour trois ans par le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) à son congrès des 30 mars et à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Œuvres[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

"La langue de la Ve République masque le réel" L'intégralité du débat avec l'écrivain et éditeur Eric Hazan, auteur de "LQR, La propagande du quotidien", mardi 09 mai 2006. <BR>Un rendez-vous <a href=" target="_blank">Télérama</a>, en partenariat avec Le Monde.fr. Léo : Dans Télérama, vous dites "le temps où la presse était un contre-pouvoir est vraiment passé". Vous croyez vraiment qu'aujourd'hui, les médias parlent une langue plus épurée qu'auparavant ?

Eric Hazan : Epurée n'est probablement pas le mot juste. Je pense qu'il y a une intériorisation de la censure. Il n'y a pas de censure au sens habituel du terme. Rose des vents : Qu'est-ce qui vous a décidé à écrire et à publier LQR maintenant ? Eric Hazan : Oui, le formatage va croissant. Yannick : Pourquoi, d'après vous, la presse se priverait-elle d'employer une langue moins basée sur les euphémismes ? Eric Hazan : Il n'y a rien à y gagner, évidemment. Lire la suite sur Télérama.fr.