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Pour l'IVG

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Confessions sanglantes : des ex-avorteurs déballent leurs tripes… David Kupelian expose en profondeur un des secrets les plus sordides de l’Amérique… «Les femmes doivent avoir le contrôle de leur propre corps» ; «L’avortement sûr et légal est le droit de chaque femme» ; «Qui décide?

Confessions sanglantes : des ex-avorteurs déballent leurs tripes…

Tu décides!» ; «L’avortement est une décision personnelle entre une femme et son docteur» ; «Qui prendra cette décision la plus personnelle d’une vie de femme? FAQ autour de l’IVG et de la nécessaire poursuite de la lutte : questions courantes et propositions de réponses Gaelle-Marie Zimmermann. [Ce texte est mis à votre disposition par A Contrario et Gaelle Marie Zimmerman : vous pouvez donc le copier et le republier sur vos propres sites, l'imprimer, le distribuer, en sélectionner des morceaux...

FAQ autour de l’IVG et de la nécessaire poursuite de la lutte : questions courantes et propositions de réponses Gaelle-Marie Zimmermann

Indiquez simplement la source et ne modifiez pas les propos, puisque l'auteur engage son nom sur le contenu. Et bien sûr, les médias en ligne "classiques" et sites commerciaux ne sont pas concernés par cette invitation à la copie : pour eux, application basique de l'exception de courte citation et interdiction de copier intégralement. Mais à part ça, pour les sites persos, c'est en libre-service] "Faire de l'IVG un acte médical comme un autre"

Discours culpabilisant, restructurations de services, manque d'intérêt du corps médical : le droit à l'avortement est malmené.

"Faire de l'IVG un acte médical comme un autre"

Le Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCEfh) remet un rapport (PDF), jeudi 7 novembre, au gouvernement, pour améliorer la prise en charge des interruptions volontaires de grossesse (IVG). Après un premier volet, remis mi-septembre, portant sur l'accès à une information neutre et objective sur l'IVG, le Haut conseil propose cette fois des pistes pour préciser la loi et réorganiser les soins.

L'auteure du document, Françoise Laurant, présidente de la commission Santé, droits sexuels et reproductifs du HCEfh, en détaille les grandes lignes. Lire le reportage : La Seine-et-Marne, un département qui illustre les difficultés d'accès à l'IVG Le droit pour les femmes à disposer de leur corps, et donc, si elles le jugent nécessaire, à avorter, est-il menacé aujourd'hui ? Concrètement, quels changements proposez-vous ? Mathilde Gérard. Droit à l'avortement : "Il ne faut pas baisser la garde" "Quelle histoire !

Droit à l'avortement : "Il ne faut pas baisser la garde"

" Les éclats de rire illuminent le visage de Joëlle Brunerie-Kauffmann quand elle raconte son combat avec les "copains" pour la contraception et la libération de la femme dans les années soixante-dix. "Féministe dans l'âme", "obstinée", voire "rentre-dedans", la gynécologue âgée de 71 ans a lutté pour le droit des femmes à l'avortement et bravé la loi. Aujourd'hui à la retraite, elle reste en alerte face "aux forces réactionnaires" et à une crise des vocations. Dans sa maison du 14e arrondissement de Paris, près de 40 ans après la loi Veil de 1975 légalisant l'interruption volontaire de grossesse, la gynécologue rappelle qu'"il ne faut pas baisser la garde", mais au contraire "se battre pour l'égalité". Le gouvernement va agir contre les sites anti-IVG.

Face à la prolifération des sites anti-IVG sur internet, Najat Vallaud Belkacem, la ministre des Droits des femmes, présentera lundi 16 septembre au Sénat plusieurs mesures dans le cadre de son projet de loi Egalité Hommes-Femmes.

Le gouvernement va agir contre les sites anti-IVG

D'apparence neutre et officielle, ces sites militants relayent de fausses informations sur l'IVG et sont mieux référencés que les sites comme ceux du Planning Familial. Pour les contrer, la ministre des Droits des femmes va créer fin septembre, le premier site officiel d'information sur l'IVG avec des informations de base: où, quand et comment avorter, en rappelant que l'IVG est un droit. Deuxième mesure : pour que les sites d'associations officielles sur l'IVG aient une meilleure visibilité sur internet, le ministère a incité Google à mieux référencer certaines associations comme le Planning familial.

Un programme appelé "Google Grants" représentant 10.000 euros d'achat de publicité sera mis en place. 6 min Témoignage IVG Juliette 3 min Pour aller plus loin. « Jamais plus » : les défenseurs du droit à l’avortement étaient (aussi) dans la rue. Mon corps est à moi – Nunca mas Dimanche, alors que les anti-IVG défilaient par milliers entre Denfert et Opéra à Paris, plusieurs centaines de militant(e)s s’étaient mobilisé(e)s place d’Italie pour défendre un droit acquis de haute lutte en 1975.

« Jamais plus » : les défenseurs du droit à l’avortement étaient (aussi) dans la rue

Récit d’une participante à cette manifestation. Le 17 janvier 1975, la loi Veil permettant l’interruption volontaire de grossesse était votée , mettant ainsi fin à des décennies d’avortements clandestins et de morts de femmes. Qui aurait pu penser que plus de 30 ans plus tard, des milliers (entre 16 000 et 40 000 selon BFMTV) de personnes défileraient contre ce droit, essentiel à la santé des femmes? Qui aurait pu croire qu’en 2014, dans un XXIème siècle certes encore balbutiant, l’Espagne s’apprêterait à retirer la quasi totalité de ce même droit sous l’impulsion d’un gouvernement conservateur à la légitimité plus que discutable? Mobilisation sur Internet « Avorter c’est mon droit, intégristes hors la loi!