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Facebook : la mémoire cachée. L'appétit vorace de Facebook pour les données personnelles n'est un secret pour personne.

Facebook : la mémoire cachée

Régulièrement, son estomac numérique gargouille auprès de ses membres pour réclamer son dû. «Donnez-moi votre numéro de mobile, que je puisse renvoyer votre mot de passe en cas d'oubli !» «Expliquez-moi vos opinions politiques, que je puisse mieux cibler mes publicités !» «Dites-moi ce que vous lisez, ce que vous écoutez, ce que vous regardez, ce que vous cuisinez, que vos amis puissent en profiter !» Et la plupart des 800 millions d'inscrits, dociles, jettent leurs gros steaks de vie privée dans la gueule béante du réseau social. Les découvertes du jeune Max Schrems sont effarantes. «Statut : effacé» «Je ne cherche aucun gain financier ou personnel. Dégainant sa directive 95/46/CE qui garantit un tel droit à tout citoyen européen, Max Schrems écrit à Facebook pour réclamer l'accès à l'ensemble des données le concernant, via un formulaire très bien caché sur le site du réseau.

«Shadow profiles» L'Allemagne prend la tête à Facebook. Le commissaire de l’Autorité chargée de veiller au respect des libertés informatiques du land de Hambourg a vivement critiqué la fonction de reconnaissance faciale de Facebook.

L'Allemagne prend la tête à Facebook

Dans un communiqué publié le 2 août, Johannes Caspar reproche au réseau social aux 750 millions d'inscrits de ne pas respecter la législation allemande et européenne. En cause : la collecte de données biométriques sur ses utilisateurs sans demander leur consentement explicite au préalable, qui ne respecterait pas le droit à la vie privée. Mis à disposition sur le marché américain en décembre dernier, la reconnaissance faciale est déployée en Allemagne depuis le mois de juin. Grâce à la technologie biométrique, elle permet de reconnaître automatiquement le visage des membres de Facebook. Les noms de ces derniers sont ensuite suggérés pour identifier les nouvelles photos chargées sur le réseau social. Cette querelle n'est pas la première entre Facebook et le land de Hambourg. Lire les réactions à cet article. Une avalanche de bisous homos va accueillir le pape à Barcelone.

Dans la Gay Pride barcelonaise, en juin 2009 (Albert Gea/Reuters) Des centaines de couples homosexuels ont rendez-vous à Barcelone la semaine prochaine pour s’embrasser à l’unisson devant Benoît XVI. « Un baiser peut encore être considéré comme un acte révolutionnaire », s’étonne une organisatrice, alors que la page de leur mouvement a déjà été désactivée trois fois sur Facebook.

Une avalanche de bisous homos va accueillir le pape à Barcelone

Un véritable « bisouthon » attend le Benoît XVI lors de sa visite à Barcelone dimanche prochain. Tout est prévu au millimètre. A peine le pape sorti, dimanche matin, du palais de l’archevêché où il aura passé la nuit, à côté de la majestueuse cathédrale gothique du vieux centre barcelonais, pour rejoindre sa Papamobile, un signal sonore lancera des centaines de couples ou d’amis du même sexe dans des embrassades passionnées. Une nouvelle sonnerie marquera la fin des baisers deux minutes plus tard, et « nous partirons comme si rien ne s’était passé », précisent les organisateurs. « Ne pas céder aux provocations »