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Education nationale

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Mille milliards de dollars : la dette des étudiants américains explose | Rue89 Eco. (De Boston) L’économie américaine est à nouveau minée par un problème de dette. Cette fois-ci, ce sont les étudiants qui sont directement visés, avec une dette globale de mille milliards de dollars en 2010. C’est le chiffre que donne la réserve fédérale new-yorkaise pour la dette issue des prêts bancaires des universitaires : un record. Selon le College Board, un groupe d’intérêt des universités, les étudiants empruntent deux fois plus qu’il y a dix ans (taux d’inflation inclus). Une situation qui ne peut que s’aggraver : aux Etats-Unis, la plupart des étudiants doivent financer eux-mêmes leurs études et le coût de l’éducation continue à fortement augmenter. Pas le droit à l’erreur Cette spirale est d’autant plus intenable que les étudiants doivent commencer à rembourser leur emprunt une fois le diplôme obtenu.

Même en cas de faillite personnelle, cette dette ne s’efface pas, contrairement aux autres types de dette. Le pire marché de l’emploi. Des écoles hors contrat veulent pallier les fermetures de classes. Cinq écoles privées catholiques du Pas-de-Calais ont décidé d'ouvrir à la rentrée 2011 des classes hors contrat, payées directement par les parents, pour accueillir les enfants de moins de trois ans et pallier les fermetures de classes annoncées dans le primaire. "Dans la région, nous perdons 29 classes à la rentrée dans le premier degré. Ces créations de classes hors contrat ont été instituées en concertation avec les établissements qui perdaient des classes, suite à des demandes des familles pour trouver des solutions de remplacement afin d'accueillir les enfants de moins de trois ans", indique à l'AFP Marcel Debove, directeur chargé de la maternelle et du primaire au diocèse d'Arras. "L'an dernier, nous avions 40 enfants de moins de trois ans.

Quatre autres classes de ce type ouvriront à la rentrée dans la région: trois à Calais et une à Béthune. Contrairement aux classes sous contrat, les enseignants seront rémunérés par les parents et non l'Education nationale. Selon M. (source AFP) Luc Chatel sèche sur un exo niveau CM2. L'enseignement privé arrosé par des financements publics. Apr. Le 10 juin, Rue89 publiait le témoignage d’Erwan Redon, « enseignant réfractaire » marseillais, convoqué le 7 juillet devant une commission disciplinaire pour s’être opposé à certaines mesures décidées au ministère de l’Education nationale. Les cas se multiplient de façon inquiétante : à la prochaine rentrée de septembre, Jean-Yves Le Gall perdra sa charge de directeur d’école pour avoir refusé le fichier base-élèves ; Christophe Brunault, Bastien Cazals et d’autres ont déjà écopé de pas mal de salaires au rabais. Bernard Girard revient sur l’histoire d’Alain Refalo, autre désobéisseur convoqué par sa hiérarchie le 9 juillet.

Jeudi 9 juillet, Alain Refalo est convoqué à l’Inspection académique de Haute-Garonne devant la commission administrative paritaire siégeant en formation disciplinaire. Alain Refalo fait partie de ces « enseignants désobéisseurs » entrés en résistance pédagogique contre la politique de Darcos touchant à l’école primaire : Exclusif: Chatel veut supprimer l'histoire-g o en terminale S. L'histoire-g o victime de la r forme du lyc e de Luc Chatel | Ru. La hausse des heures d’histoire-géo en première annoncée la semaine dernière masquait leur suppression en terminale S. Luc Chatel en visite dans le lycée Fenelon de Cambrai le 15 octobre (Pascal Rossignol/Reuters) La semaine dernière, on annonçait le passage de 2h30 à 4 heures hebdomadaires d’histoire-géographie pour toutes les classes de première -y compris la série scientifique. Tambours, trompettes, certains se réjouissaient d’avance de l’ouverture d’esprit que représenterait cet effort dans le tronc commun.

Or un « détail » manquait, et pas des moindres : en terminale S, l’histoire-géo devient facultative, à raison de deux heures par semaine. En fait, l’idée de cette suppression n’est pas complètement sortie de nulle part puisqu’on l’avait déjà évoquée l’an dernier, alors que Xavier Darcos occupait le poste de Luc Chatel. Mais la mobilisation avait alors eu raison des velléités ministérielles. « Chatel s’est fait bourrer le mou par les mathématiciens et les physiciens »