iPhone 5 : la Pomme se paye notre poire ! Apple : Faille Phone. Le système d'applications sur iPhone et iPad est fermé, certes, mais en contrepartie, c'est l'assurance d'une simplicité d'utilisation et d'une sécurité à toute épreuve. Car pour être présent sur l'Appstore, il faut passer le barrage de la validation. Et Apple ne laisserait pas passer un programme malveillant, vous pensez bien. Sauf si, comme vient de le découvrir Charlie Miller, chercheur en sécurité au cabinet Accuvant Labs, une faille dans le système d'exploitation iOS permettait de dissimuler des fonctionnalités cachées dans une application apparemment inoffensive. Miller a en effet découvert que la version iOS 4.3 avait changé les limitations d’exécution du code Javascript pour améliorer la vitesse du navigateur Safari. Sauf qu'une fois exécuté, InstaStock permet à son concepteur de prendre le contrôle à distance quasi total de la machine. «Jusqu'ici vous pouviez télécharger n'importe quoi sur l'App Store sans craindre un logiciel malveillant.
Lire les réactions à cet article. Apple valide l'homophobie. Apple s'empêtre depuis quelques heures dans la toile. La firme américaine subit ainsi de plein fouet les conséquences d'une politique de contrôle total sur l' App Store , sa boutique d'applications. En effet, en se réservant le droit de choisir les programmes téléchargeables par les utilisateurs de l'iPhone et l'iPad, elle s'est aussi réservé le droit d'être irréprochable sous peine de devoir en assumer les conséquences. Ce qui n'a visiblement pas été le cas quand la firme a décidé d'adouber une application créée par l'organisation Exodus International , visant à proposer toutes les ressources nécessaires pour que les homosexuels, grâce à leur foi, puissent retrouver le droit chemin. La ligne de l'association n'est pas nouvelle. Ce qui étonne en revanche, c'est l'aval d'Apple, qui a classé l'application comme une 4+, autrement dit ne proposant «aucun contenu répréhensible».
MAJ 23/03/11 : L'application d'Exodus International a été retirée aujourd'hui de l'App Store. Virginie MALBOS. Depuis que Steve Jobs est parti en guerre contre le porno, les journaux qui osent montrer du grivois se heurtent les uns après les autres à leur développement sur la tablette tactile iPad. Une victime de plus des pudibonderies du gourou d’Apple Steve Jobs. Charlie-Hebdo n’aura pas son application iPad.
Depuis que Steve Jobs est parti en guerre contre le porno, les journaux qui osent montrer un petit bout de sein ou une joyeuse raie des fesses se heurtent les uns après les autres à leur développement sur la tablette magique. Le livre de Jobs Dessin d’Oliv’ Ainsi, Playboy, L’Écho des Savanes ou encore le journal allemand Bild ont dû se plier aux règles édictées par Apple et abandonner toutes velléités érotiques voire sensuelles. Pour Charlie, explique à Bakchich son patron Charb, « il s’agirait plutôt de certains dessins considérés comme outranciers qui risquaient de ne pas passer la barrière de la censure ». « Une entreprise est venue nous démarcher pour développer notre application.
Mais à la fin, le type nous a expliqué qu’on n’aurait pas le final cut sur la publication sur iPad. Sex e-Toy. Ben, technicien pour un franchisé Apple, 990 euros par mois. Ben s’occupe du service après-vente dans petite entreprise qui vend du matériel Apple. Ce « croqueur de pomme à plein temps » a ouvert son porte-monnaie pour Eco89. Voilà quatorze mois que Ben (prénom d’emprunt), 21 ans, a été propulsé dans le monde du travail. Pour ne pas prendre de risques vis-à-vis de son employeur actuel et des entretiens d’embauche qu’il est en train de passer, il a souhaité garder l’anonymat. « Apple n’apprécierait sûrement pas que j’expose mes comptes. » Technicien pour une entreprise franchisée Apple et basée en province, il se définit comme un « Apple fan ».
Ben n’a pas eu le temps de terminer ses études. Un premier entretien, et le voilà embauché en CDI pour la marque qui l’intéresse. . « Il m’a fallu étudier pendant un mois à partir de cours en ligne sur le Web. Au départ, l’ordinateur fournit par son employeur n’était pas assez performant. Ben travaille seul. Ben a demandé une augmentation qui lui a été refusée. Revenus : 990 euros Salaire : 990 euros net.